Devant la salle où se déroule un gala de charité, des personnes se saluent et arrivent dans de luxueuses voitures. Un homme et une femme assistent à la scène dans leur voiture.
Marie : Je conduis.
Cole fait un boum avec son arme collée contre sa tête.
Marie : T'as promis.
Cole : Yeahhh
Marie : Je t'aime.
Cole : Je sais.
Ils sortent de la voiture et se dirige vers la réception.
Cole : Que personne ne bouge !
Marie : Les clés ! Donnez-moi les clés !
Cole : Écartez-vous de la voiture ! (Il saisit l’homme, le jette à terre). Écartez-vous !
Marie monte dans la voiture.
Cole (à Marie): Fonce, chérie.
Marie : Cours, bébé !
Cole en courant vers sa voiture : Boucle ta ceinture !
Une course poursuite entre les deux voitures et la police s’engage… Finalement, Marie est stoppée par une voiture de police. Elle essaye de se sauver mais est mise à terre par un policier.
Marie (en se débattant) : Lâchez-moi !
Policier : Dans le dos !
Marie : Lâchez-moi !
Policier : Équipe 42, suspecte arrêtée.
Marie : Lâchez-moi !
Cole arrive dans une zone industrielle en klaxonnant, gare la voiture et en sort…
Cole : Trop facile, bébé ! Fêtons ça.
Un homme sort d’un hangar et se dirige vers un homme adossé à une voiture. Cole les rejoint et cherche Marie des yeux.
Cole : Où est-elle ? Que s'est-il passé ?
Homme 1 : C'était sur le scanner... Les flics l'ont traquée.
Homme 2 : C'est ce qui arrive quand on laisse une femme conduire.
Cole (vers Homme2) : Pourquoi souris-tu ?
Homme 2 : Cole, je...
Cole pousse violemment Homme 2 sur le capot de la voiture.
Cole : Va chercher un chamois. Nettoie ça.
Homme 1 : On devrait quitter la ville.
Cole : On ne part pas. On devra toujours bouger. Il nous faut une voiture.
Homme 1 : Et si elle parle ?
Cole : Tu ne connais pas Marie.
Dans la salle d’interrogatoire, un policier oblige Marie à s’asseoir.
Cho : "Vol à main armée, agression à main armée, "résistance, fugitif, conduite dangereuse".
Abbot : Un homme cruel aurait ajouté "feu rouge grillé et non respect de la limitation de vitesse", mais je ne suis pas cruel.
Marie : humm, FBI … Je ne sais pas, j'ai évalué les fédéraux.
Cho : Votre copain, Cole Foster, gère un gang de vol de voitures de luxe avec des gars de Phoenix jusqu'à Tulsa. Dépasser les limites de l'état l'a rendu fédéral.
Abbot : Vous avez quel âge, Marie ?
Marie : Qui s'en fiche ?
Abbot : Vous avez encore du temps à vivre. Vous ne voulez pas gâcher ça.
Cho : D'après la loi, on peut vous accuser de conspiration. Vous savez ce que ça signifie ? Que vous répondrez pour ce que vous avez fait et ce qu'il a fait.
Abbot : Et vous prendrez 50 à 60 ans facile. Vous ne voulez pas sortir de prison à 80 ans. Donc aidez-nous, et on fera tout disparaître. Dites-nous où est Cole.
Marie : Bâtards. J'irai en enfer pour Cole. Vous pensez que la prison m'impressionne ? Enfermez-moi.
Abbot : Emmenez-la.
Des policiers emmènent Marie.
Cho : Plan B ?
Abbot : Plan B.
Jane et Lisbon sont assis à l’arrière d’une voiture.
Jane : Ne dis pas plein de petits mensonges. Un grand est suffisant, et tout le reste est pareil... tu viens de Chicago, tu as trois frères, tu es chatouilleuse.
Lisbon : Je ne suis pas chatouilleuse.
Jane : Si, tu l'es.
Lisbon : On est chatouilleux quand on se fait chatouiller.
Jane : Si tu veux qu'on te fasse confiance, demande une faveur... même une petite.
Lisbon : Jane, je sais ce que je fais.
Jane : Une dernière chose. Quand tu te douches, promets-moi... que tu porteras tes tongs. A) Car ça te rend moins séduisante, ce qui devrait compter, et B) car le sol est sale.
Lisbon : ok
Jane : ok
Lisbon : Je comprends.
Abbot arrive et parle à travers la vitre ouverte.
Abbot : C'est l'heure. Ça va ?
Lisbon ôte son imper, aidée de Jane.
Abbot : Le gardien a tout organisé donc tu partageras ta cellule avec Marie. Plus vite t'as la location de Cole, mieux c'est.
Lisbon : Je suis prête.
Abbot : Fais attention.
Jane passe les menottes à Lisbon et lui sert les mains avec les siennes.
Jane : Je t'attendrai.
Lisbon : Vas-y.
Jane sort et regarde la voiture entrer en prison.
Lisbon tient son paquetage et marche dans les couloirs escortée par une gardienne.
Gardienne: McGregor, Teresa. Transférée d'Amarillo, numéro de prisonnier 90026, c'est ça ? On ne tolère pas les gangs, les drogues ou la violence. Tu transgresses ces règles, et tu seras transférée dans une prison de haute sécurité. Tiens-toi correctement, et tout ira bien. C'est là.
Lisbon entre dans sa cellule.
Lisbon (en s’adressant à Marie) : Je m'appelle Teresa McGregor. Je suis ta nouvelle co-détenue.
Marie : T'es là pour quoi ?
Lisbon : Cambriolage. Le juge n'a pas mis de caution, pour multirécidivisme, donc me voilà. Et toi ?
Marie : Vol de voitures. Ils m'ont accusé de ça, et d'un million d'autres choses... McGregor. C'est irlandais ?
Lisbon : Mes grands-parents viennent de Derry.
Marie : Marie Flanagan. Les miens viennent de ... quelque part par là. Je ne sais pas.
Lisbon : Ça te dérange si je prends la couchette du haut ? Je suis un peu claustro.
Marie : Ça dépend... es-tu assez folle pour me la prendre ?
Lisbon : Oublie.
Marie : C'est ce que je pensais.
Retour au bureau du FBI, Vega se dirige vers son bureau une tasse à la main.
Wylie (en parlant à Vega) : Qu'as-tu là ?
Vega : Du café. Pourquoi ?
Wylie : C'est la tasse de Jane.
Vega : Sérieux ?
Wylie : C'est une erreur de débutant, pas grave. Lave-la, range-la, et il ne le saura jamais. Peut-être pas.
Vega : Bien sûr.
Une femme sort de l’ascenseur, suivie d’Abbot.
Vega : Une idée de qui c'est ? Elle était là, il y a quelques jours.
Wylie : Elle s'appelle Cass, je crois. Abbot a dit qu'elle était de la CIA. J'ignore pourquoi elle y est. Sérieux, il faut que tu laves ça.
Dans le bureau d’Abbot.
Cass : Votre agent est en place ?
Abbot : Elle partage une cellule avec Flanagan. Le plan est que Lisbon puisse lui faire dévoiler la cachette de Cole Foster. J'espère que ça sera rapide.
Cass : Je sais que c'est risqué. L'Agence apprécie... tout ce que vous faites ici.
Abbot : Mme Cass, je suis enclin aux coopérations inter-agences... C'est super. Mais grâce à vous, j'ai mis en danger un de mes meilleurs agents pour attraper un voleur de voitures, et je ne sais pas pourquoi la CIA s'y intéresse autant.
Cass : Entre nous ?
Abbot : Bien sûr !
Cass : Foster vend les voitures qu'il vole à l'étranger. Ses acheteurs proviennent d'Europe de l'Est.
Abbot : Donc, il est relié à un trafic international.
Cass : Ceux qui trafiquent des voitures de luxe peuvent trafiquer autre chose... de la drogue, de l'argent, des bombes.
Abbot : Vous pensez qu'il pourrait être lié à des terroristes.
Cass : Ceux avec qui il bosse le sont, et si vous l'arrêtez, on pourra avoir ces noms.
Abbot : Pourquoi seulement aujourd'hui ?
Cass : La NSA a intercepté des conversations concernant des projets pour une opération, ici aux USA. On pense qu'un des contacts de Foster est ici pour cela et c'est imminent. Écoutez, je sais qu'un de vos agents est en danger mais vous serez d'accord pour dire que ça en vaut la peine.
Dans le bureau de réunion, Jane examine une carte.
Cho (en s’adressant à Abbot qui vient d’entrer): Qu'en dit la CIA ?
Abbot : Bien, rien de plus. Qu'est-ce que c'est ?
Jane : Une carte faite par Wylie. Hum, c'est le trajet de Marie lors de sa course-poursuite. Notez comme elle prend cette direction, ensuite celle-ci, et à nouveau cette direction.
Abbot : Et alors ?
Jane : Et bien, quand on est pourchassé, le subconscient nous dit qu'il faut revenir chez soi, mais le conscient ne veut pas donner cette piste à nos poursuivants. Donc, elle a... zigzagué dans un sens, mais ce qu'elle voulait vraiment, c'était se rendre dans ce périmètre.
Cho : Ça a du sens...une zone industrielle. La crise économique a frappé durement...de nombreux entrepôts sont vides.
Abbot : Le parfait endroit pour cacher des voitures volées. Si on peut trouver l'emplacement de Cole là-bas, on pourra le cueillir.
Cho : Mais il y a beaucoup de surface à couvrir. On a besoin d'en savoir un peu plus.
Abbot : C'est quel entrepôt ?
Jane : Je ne peux pas tout faire.
Abbot : Affinons la recherche.
Cho : Je m'y mets.
Cho quitte la pièce.
Jane : Vous avez changé d'après-rasage. Il y a de l'ambre gris dedans. C'est très cher pour le bureau. Quelle est l'occasion spéciale ?
Abbot : - Une soirée avec ma femme.
Jane : Cool !
Abbot : Lena fait partie des noms pour un poste au Département du Commerce, donc on fête ça.
Jane : Vous la féliciterez pour moi.
Abbot : C'est pas encore fait mais on est optimiste. Vous savez Jane... On ramènera Lisbon saine et sauve.
Jane : Je n'en doute pas.
En prison Lisbon est couché et regarde dans le vide. Au FBI, Jane a le regard inquiet.
Le lendemain, en prison, Lisbon lit et entend :
C'est quoi ton problème ?
Je t'aime pas.
Je m'en fous !
Excuse moi.
Je vais utiliser le téléphone.
Mets-toi en ligne comme les autres.
J'étais en ligne !
Vraiment ?
Méfie-toi !
Quoi je ne t'ai pas parlé toi !
Dégage !
Tu te crois trop importante pour faire la queue ?
T'as pas cessé de me reluquer depuis que je suis sortie de ma cellule
Lisbon : Qu'est ce qu'il se passe ?
Détenue 1 : Occupe-toi de tes affaires !
Marie : Restes en dehors de ça.
Gardien : Arrêtez ça.
Lisbon : Je ne cherche pas la bagarre.
Détenue 1 : T'es qui toi, salope ?
Lisbon : Quelqu'un qui ne veut pas être transféré en haute sécurité, juste comme toi.
Détenue 1 : Vraiment ?
Lisbon : On va retourner à nos couchettes,
Détenue 2 : Téléphone disponible. J'appelle mon vieux.
Détenue 1 : Qu'importe.(puis en s’adressant à Marie) oh, et à bientôt.
Marie : Qu'est-ce que c'était ?
Lisbon : J'ai élevé trois frères. T'apprends à gérer les conflits.
Marie : J'avais pas besoin de ton aide, compris ? Je peux gérer ça toute seule.
Au FBI, Jane avance le téléphone à la main.
Jane : Comment tu t'en sors ? Des problèmes avec la co-détenue ?
Lisbon : C'est comme si on dansait le cha-cha... Je fais un pas en avant, elle fait un pas en arrière.
Jane : A-t-elle des amis ?
Lisbon : Elle cherche la bagarre un peu trop. Une solitaire.
Jane : Elle a besoin d'une amie. Comme tout le monde.
Lisbon : Tu n'as pas rencontré cette fille.
Jane : Une dure à cuire, qui aime cacher ses émotions derrière une apparence rigide ? Je crois que j'ai rencontré une femme comme ça avant.
Lisbon : Vraiment ?
Jane : Tu veux savoir comment j'ai baissé sa garde ?
Lisbon : Comment ?
Jane : J'ai baissé la mienne.
De retour dans la cellule. Marie et Lisbon sont couchées.
Lisbon : Marie … Marie.
Marie : Quoi ?
Lisbon : Je ne peux pas dormir. Et toi ?
Marie : Il fait trop chaud.
Lisbon : Mon petit ami me manque.
Marie : Que fait-il ?
Lisbon : C'est un arnaqueur. Il fait travailler son cerveau pour s'en sortir.
Jane : Comme un escroc ? C'est cool. Depuis combien de temps êtes vous ensemble ?
Lisbon : On se connait depuis longtemps, depuis des années, mais on n'était pas ensemble. Je veux dire, on était amis, mais... Je n'arrivais pas à admettre que mes sentiments avaient changé. Pas même à moi-même.
Marie : Je sais ce que c'est.
Lisbon : J'ai essayé de partir loin. J'ai rencontré un mec sympa. C'était un homme bien. Mais pas le bon. J'allais l'épouser. C'est alors que Patrick m'a dit qu'il m'aimait et qu'il ne voulait pas que je parte.
Marie : Qu'as-tu fait ?
Lisbon : Je suis restée. Ca faisait tellement de bien de ne plus vivre un mensonge. Peur, aussi. Je ne sais pas ce qu'il va se passer. Tu sais, s'il restera ou bien...
Marie : Mon mec... Il s'appelle Cole. C'est un vrai hors la loi. J'aime ça. Cole et moi, on vit libre. Je veux dire, presque sauvage. Tu vois, en ce moment, on vit dans un entrepôt.
Lisbon : Vous vivez dans un entrepôt ?
Marie : En fait c'est plus une cachette. Des voitures comme T'en as jamais vu... des millions de dollars, du matériel coûteux, Mais nous vivons en dehors des chimichangas de la station essence. C'est extravagant.
Lisbon : Extravagant est une chose, pas de douche en est une autre.
Marie : On a une douche. Cole a volé des tuyaux d'un motel anonyme près du bloc.
Au FBI, Abbot sort de l’ascenseur et s’adresse à Cho, assis à son bureau.
Abbot : J'ai entendu dire qu'on a une piste.
Cho : Lisbon a appelé. Marie lui a parlé d'un entrepôt dans lequel Cole et elle vivent.
Abbot : Elle a donné l'emplacement ?
Wylie : Pas une adresse, mais en regardant dans le quartier que Jane a identifié, on trouve un entrepôt qui correspond à ce que Marie nous a dit, un peu plus bas que la station service chimichangas.
Abbot : Chimichangas ?
Wylie : Ce n'est pas important. Ce qui est important, c'est que l'entrepôt est loué par une fausse société.
Cho : Ça ressemble à ce qu'on cherche...
Retour en salle d’interrogatoire.
Abbot : C'est suffisant pour un mandat. Pourquoi ne pas prendre une équipe et allez voir là-bas
ce que vous pourriez y trouver ?
Homme 1 : C'est une charge de merde. Vous n'avez rien contre moi. Vous allez entendre mon avocat.
Cho : On vient de vous attraper dans un entrepôt plein de véhicules volés. Vous êtes bien le premier à essayer de faire un deal avec moi. Si vous êtes trop stupide, j'ignore quelle valeur vous auriez pour le FBI.
Homme 1 : Allez, mec. Parlons.
Cho : Pouvez-vous me dire où se trouve Cole Foster ?
Homme 1 : Sa meuf s'est fait attraper la semaine dernière. Ça l'a rendu parano. Il est en ville. C'est tout ce que je sais.
Cho : S'il est tellement paranoïaque, pourquoi être resté dans les parages ?
Homme 1 : Bonne question.
Cho : Dîtes-moi comment je peux le trouver.
Homme 1 : Mec, je n'ai même pas son numéro de portable. Hendricks est celui qui sait comment le contacter.
Cho : Ronald Hendricks ?
Homme 1 : C'est ça.
Sur un ordinateur
Cho : Et comment puis-je trouver Hendricks ?
Homme 1 : Je ne sais pas. Il est avec Cole je suppose.
Abbot clique sur la souris du PC.
Abbot : Nous avons fait une recherche sur Hendricks. Sans succès.
Jane : Peut-être.
Abbot : Marie est inutile comme source d'informations maintenant. Faisons sortir Lisbon.
Jane : Peut-être que Marie ne nous est pas utile comme source d'information, mais elle a encore un rôle.
Abbot : Comment ça ?
Jane : Eh bien, Cole devrait quitter la ville, mais il ne le fera pas. C'est évident pourquoi il ne veut pas
abandonner Marie, alors on va la lui donner.
Abbot : Comment ?
Jane : Nous n'allons pas faire sortir Lisbon de prison ... on va l'aider à s'évader.
Dans la salle de visites de la prison.
Lisbon : Tu as mis un gilet ?
Jane : Ce vieux truc ? J'ai pensé que je devais jouer le jeu.
Lisbon : J'aime ça.
Jane : C'est bon à savoir.
Jane : Comment ça va ?
Lisbon : Je vais bien. La nourriture n'est pas bonne. Je tuerais pour une salade. Donc, on ne l'a pas ? Et maintenant ?
Jane : Toi et Marie allez vous évader d'ici et nous mener directement à Cole.
Lisbon : Okay
Jane : Tu géreras l'évasion, Marie gérera l'itinéraire.
Lisbon : Et vous pensez que Cole va l'attendre ?
Jane : Peut-être. Ou il sera très proche.
Lisbon : Comment va-t-on s'évader ?
Jane : Je travaille sur un plan.
Lisbon : Donc je dis juste : "Marie, on s'évade ?"
Jane : Ça ne sera pas ton idée, mais la sienne. Mon cousin Ricky a de nouveau besoin d'une chirurgie. Il va bientôt perdre sa vésicule biliaire. Le médecin a dit que ca devrait aller.
Lisbon : Hein ?
Jane : Hein, qu'est-ce-que ça fait ? Ça fait quoi une vésicule biliaire ? Je veux dire, on peut toujours vivre sans vésicule biliaire ? Quand elle quittera cette pièce, s'évader sera la seule chose à laquelle elle pensera.
Toujours en prison, Abbot est assis et parle à Marie.
Abbot : Asseyez-vous.
Marie : Mordez-moi.
Abbot : Donc, je pense que vous n'avez pas changé d'avis pour nous dire où se trouve Cole Foster ? Ok. Bien, il peut vous envoyer une carte postale quand vous serez installée.
Marie : Qu'est-ce-que ça veut dire ?
Abbot : Ça veut dire que je permets à la police de Houston de retenir les charges contre vous. Vous allez être transférée à Mountain View en attendant votre procès.
Marie : Mountain View ? C'est une prison haute sécurité.
Abbot : Eh bien, la procédure administrative devrait prendre 48 heures si vous voulez y être coffrée.
Marie : Sans façon. Mountain View, c'est pour les fous.
Abbot C'est un environnement plus structuré... 23 heures par jour en cellule, une supervision constante.
Marie : Vous ne pouvez pas faire ça. Vous ne pouvez pas.
Abbot : Je peux ! Profitez de votre temps ici ces 48 prochaines heures. C'est les meilleurs moments que vous allez avoir pour un moment.
Dans la cellule, Marie pleure.
Marie : Sécurité Maximale. J'ai entendu que vous ne sortez même pas de votre cellule pour une douche, ils en amènent juste une à la porte. Je n'irais pas. Je n'irais pas.
Lisbon : Ca sent pas bon. J'ai aussi de mauvaises nouvelles. Le procureur en a après moi. Je suis une triple perdante. J'encoure entre 25 ans et à vie. Je peux pas le faire.
Marie : Les sales porcs. J'en ai tellement marre d'être bousculée. C'est...
Lisbon : J'aurais aimé pouvoir faire quelque chose. Juste se tirer d'ici.
Marie : Comme s'évader ?
Lisbon : Peut-être. C'est plus facile de se barrer d'ici que de Mountain View.
Marie : Tu t'es déjà infiltrée ? A quel point ça peut être dur ?
Lisbon : Difficile. Mais ça ne signifie pas impossible.
Marie : Mais tu sais comment sortir ? Tu es intelligente.
Lisbon : Peut-être. Mais si j'arrive à nous faire passer de l'autre côté du mur, on devra nous faire sortir de l'État sur le champ. Sinon, les flics n'auraient plus qu'à nous cueillir.
Marie : Mon homme pourrait nous amener n'importe où. Où tu veux aller ?
Lisbon : Patrick est en Floride, je pourrais aller le voir.
Marie : Je n'irais pas dans une prison haute sécurité. Moi je dis qu'on doit le faire.
Lisbon : Je suis partante.
Marie : Je vais passer un appel. Je savais que je t'aimais bien.
Au téléphone de la prison
Détenue 3 : Mark, écoute-moi un instant. Tu vas m'écouter ? Tu n'as vraiment rien entre tes oreilles, à part de la cire. Tu es mon frère et je t'adore, mais tu es encore plus con qu'un sac de patates. Maintenant, tu peux te calmer et m'écouter juste une minute ?
Dans les locaux du FBI
Vega : Celle-là est énervée conte son frère. Ce n'est pas Marie.
Wylie : Elle a droit à un appel avant l'extinction des feux. Nouvel appel. Elle veut savoir qui donne à manger à Taco, son chat. J'espère qu'on s'en occupe.
Vega : Il faut pas un mandat pour écouter les appels ?
Wylie : Pas pour les cabines téléphoniques des prisons. C'est son fils qui nourrit Taco. Taco a à manger.
Vega : Bien. Nouvel appel. Ce n'est pas Marie.
Wylie : Tu sais, je suis déjà sortie avec une incarcérée.
Vega : Non.
Wylie : Elle s'appellait Velma... "Big Vel"
Vega : Big Vel ? Et pourquoi "Big Vel" est allée en prison ?
Wylie : Vol de chevaux.
Vega : D'accord.
Wylie : Attends. Nouvel appel. Je crois que c'est elle.
Cole : Marie.
Marie (au téléphone) : Je t'écoute.
J'ai des nouvelles.
De grosses nouvelles.
Les gosses rentrent du camp demain.
Tu dois récupérer les gosses un peu plus tôt que prévu.
Cole : C'est noté.
Vega : C'est Cole ?
Wylie : Je ne sais pas.
Cole : Je les récupère quand ?
Marie : Je te ferai signe bientôt. Sois prêt.
Vega : On peut tracer l'appel ?
Wylie : Non, elle a appelé d'un portable. Aucune chance de le tracer comme ça. Maintenant il va venir à nous. Il est temps de planifier une évasion !
Dans la salle de réunion du FBI.
Wylie : Voilà les caméras. Eux ils sont là où nous allons trouver les contrebandiers. J'ai les cartes des lignes électriques, des canalisations, le planning des gardes.
Jane : Le problème est simple... Lisbon et Marie sont derrière le mur, il faut les faire passer de l'autre côté. Il y a trois moyens de les faire passer... Par-dessus, dessous, ou à travers.
Cho : Elles n'ont pas le temps de creuser.
Wylie : Les égouts, si elles peuvent accéder à la principale zone de drainage ?
Cho : Elles auraient besoin d'outils pour l'ouvrir.
Vega : Elles peuvent passer par-dessus le mur ?
Cho : Et les gardes ?
Vega : Vous voyez le coin sud ici ? Visibilité réduite.
Cho : En fait, cette partie du mur fait 10 mètres.
Wylie : Des grappins ?
Cho : Des grappins ?
Jane : Il me semble qu'elles devraient passer à travers. Celui qui a construit cette prison a été assez sympa pour poser des portes sur les murs. Pourquoi ne les utiliseraient-elles pas ? Tu vois, là, cette porte. Elles devraient passer là par cette porte. Il leur faudra un balai et un seau avec un trou dedans.
Lisbon et Marie sont dans la prison.
Cho : Ok,donc elles auront l'air de se charger du nettoyage. Pourquoi il faut un trou dans le seau ?
Jane : On y viendra. Cette porte est la clé...pas comme voie de sortie. C'est une mauvaise piste. (on voit Marie et Lisbon s’occuper des seaux) C'est la frontière entre les gardes et les détenus. Lors du changement de garde, ça devrait être vide sauf pour le gardien. Quand les sceaux seront vides, ça va provoquer une réaction en chaine une bruyante réaction.
Vega : Si elles sont vues en tenues de prisons de l'autre côté, game over.
Jane : C'est pourquoi elles doivent aller directement dans les vestiaires des employés.
Wylie : Et si elles arrivent juste avant le changement de service, elles peuvent partir avec les employés de la cafétéria.
Cho : Et si quelqu'un pense qu'elles n'en font pas parties ?
Jane : La clé pour s'infiltrer ou s'évader de n'importe où, c'est la posture et l'élan. Tu dois continuer à avancer comme si tu savais où tu allais. Les gens voient ce genre de démarche, et ils s'imaginent
que tu fais partis d'ici avant même qu'ils puissent y penser. Après elle est à vous.
Marie : C'est Hendricks là-bas. Il nous emmènera à Cole et Cole nous fera sortir de l'état.
Hendricks : C'est ton amie ?
Marie : Teresa, c'est Hendricks. Garde tes pattes loin d'elle, elle est prise.
Lisbon, Marie et Hendricks montent dans la voiture qui est suivie par Abbot et Cho.
Abbot (au téléphone) : On est en position. On surveille la voiture. Vega, la voiture de Lisbon vient de sortir. Pas trop près. Cole n'est pas dedans. Vous les voyez ?
Vega (au bureau du FBI) : Pas de soucis. L'hélico les a.
Wylie : Je pensais que Cole serait partit les chercher lui-même.
Jane : Il se prend pour une bête chassée...Il se cache.
Les voitures se suivent.
Abbot : Attendez. Ils ralentissent. Je ne suis pas sûr de ce qu'ils font.
La voiture entre dans un parking souterrain.
Abbot : Vega, faîtes attention. On vient d'entrer dans un parking.
Cho : L'hélico ne peut pas voir là-dedans. On va la perdre.
Jane : Abbott, que se passe-t-il ?
Abbot : Ils ont changé de voiture. Je vais la suivre. (Il sort de la voiture et dit à Cho) Regardez la sortie.
Hendricks : Vous voulez suivre votre chemin, c'est votre choix.
Lisbon : J'ai besoin d'un voyage en dehors du Texas. C'était le marché. Allons-y.
Hendricks, Marie et Lisbon partent avec une nouvelle voiture.
Abbot (au téléphone) : Ils ont échangé les véhicules. Pas de nouvelles de Lisbon. Avec Cho, on traversera les rues nord et sud, dans un rayon d'un kilomètre. On demandera aux autres de nous aider.
Jane : Vous ignorez toujours quel type de voiture elle conduit. (à Wylie) Le garage est loin ?
Wylie : À trois kilomètres d'ici.
Jane : Très bien. Ils doivent rencontrer Cole quelque part. Ça nous laisse un peu de temps. Allons-y.
On va aider à chercher.
Jane et Vega partent…
La voiture des fugitifs arrive en trombe dans une station-service.
Hendricks : Cole m'a dit d'appeler d'ici. Il me fera savoir où le rencontrer.
Marie : Dites-lui de se dépêcher.
Marie (à Lisbon) : T'as faim ?
Lisbon : Carrément.
Marie : Oui, je meurs de faim. Allons manger quelque chose.
Hendricks (toujours au téléphone) : Quoi ?
Marie : On sort de prison.
Hendricks donne de l’argent à Marie. Lisbon et Marie sortent de la voiture.
Dans la boutique de la station-service.
Marie : Je prendrai un gros paquet de cookies et des bonbons. Et un soda assez grand pour se noyer dedans. Qu'est-ce que vous voulez ?
Lisbon : Je pense que je vais juste prendre de l'eau.
Marie : Regarde ça...
Lisbon : Du chocolat. Ça pourrait être bien.
Marie : Voilà...
Un homme de dos approche et surprend Marie, puis l’embrasse.
Cole : Hey, fauteuse de troubles.
Marie : Qu'est ce que tu fais ?
Cole : Quoi, c'est ta nouvelle meilleure amie ?
Marie : C'est Teresa McGregor. Teresa McGregor, voici Cole.
Cole : Teresa McGregor ? Je ne la connais pas. Pourquoi l'as-tu amenée ?
Marie : Car je lui ai promis de la sortir.
Cole : Je n'ai pas promis à Teresa McGregor de l'emmener.
Lisbon : Ce n'est pas de la charité. Le plan d'évasion était mon idée.
Marie : Allez, Cole ! C'est une fille bien, sérieusement.
Cole : D'accord fille bien. Que dirais tu de sortir du Texas ?
Lisbon : Ça me semble bien.
Cole : Très bien. A 500m sur cette route, il y a un hélicoptère prêt à décoller. On évitera tous les pièges qu'ils ont tendu pour vous, fauteuses de troubles.
Marie : Un hélicoptère ? Depuis quand tu sais piloter ?
Cole : Hendricks les pilotait en Afghanistan. Ne t'inquiète pas. Achetez ce dont vont avez besoin. Partons d'ici. J'ai le sixième. Allons-y.
Lisbon : Je vais juste prendre de l'aspirine. J'ai une migraine.
Cole (Cole s’adresse au caissier) : Tu fais quoi avec ce téléphone ?
Le caissier : Pardon ?
Cole : Laisse-moi vérifier ton téléphone. (pendant que Lisbon essaye de laisser un message dans le fond du magasin) Montre-le ! Tu caches quoi ?
Cole essaye de prendre le téléphone.
Le caissier : Hé mec ! T'es malade ? Recule ! Tu veux que j'appelle les flics ?
Cole dégaine son arme et tire 6 fois sur le caissier.
Marie (tout en rigolant) : Viens ici. Tu l'as vu basculer comme ça !
Cole (à Lisbon ) : Viens là. Viens par là !
Cole : Un problème ?
Lisbon : Je t'ai dit qu'elle était sympa.
Lisbon : Aucun problème.
Cole : Très bien, allons-y ! Allons-y, braves gens ! Dehors !
Cole et Marie partent pendant que Lisbon trace une marque dans le sang de la victime.
Jane arrive avec Vega à la station-service.
Policier : Restez où vous êtes. C'est une scène de crime.
Vega : Michelle Vega, du FBI. On a entendu un appel de la police rapportant des "coups de feu". On croit que c'est lié à la disparition d'un agent. J'ai besoin de votre aide.
Policier : Oui, m'dame.
Vega : Combien de temps avez vous étés sur la scène de crime ?
Policier : L'appel nous est parvenu il y a 15 minutes. Je suis ici depuis environ une minute. Vous êtes venus rapidement.
Vega : Encerclez la scène du crime et demandez à tous les autres officiers de mettre en place un périmètre.
Jane examine le magasin et trouve le carnet de Lisbon, le regarde et le met dans la poche intérieure de sa veste.
Vega : Et regardez pour voir si les caméras de sécurités ont pris en vidéo le crime.
Policier : oui madame.
Jane voit la trace laissée par Lisbon.
Jane : C'est elle. C'est l'empreinte de Lisbon.
Vega : Donc elle est toujours avec lui. C'est bien ?
Jane : Regardez l'angle de son pied. Comme si elle pointait. Elle nous indique cette direction.
Vega : Ou elle a marché dedans par accident.
Jane : Elle n'aurait jamais fait ça. Allons-y.
Vega : Jane, on ignore où ils sont. Il y a un protocole ici. J'appelle Abbott, pour expliquer la situation voir si ils sont proches.
Jane : Appelez qui vous avez besoin.
Vega : Prenons ça étape par étape.
Jane : Absolument.
Jane sort de la boutique, examine les parages et prend un pack d’eau devant la boutique qu’il pose à l’avant d’une voiture. Il entre dans la voiture et part. Sous les yeux de Vega, il jette par la fenêtre de la voiture une première bouteille.
Vega (au téléphone) : Abbot !
Près de l’hélicoptère.
Cole (sortant sa tête de l’hélico) : Allons dans les airs !
Hendricks : Il me faut quelques minutes. Laisse-moi vérifier une dernière chose.
Maire (à Lisbon) : Tu rejoins quand ton mec ?
Lisbon : Je vais l'appeler dès qu'on sort de l'état.
Lisbon s’approche de l’arme posée sur une table par Hendricks.
Marie (à Cole) : Je t'aime bébé.
Cole voit que Lisbon s’approche de l’arme.
Cole : Hey, ici, Missy !
Marie : Qu'est-ce que tu faisais ?
Lisbon : Rien.
Cole : Hendricks, attrape ton arme.
Marie sort son arme.
Cole (à Lisbon) : À quoi tu joues ? Pourquoi tu as besoin d'un flingue ?
Lisbon (qui lève ses mains en l’air) : Je ne sais pas de quoi tu parles.
Cole : C'est vrai ?
Hendricks : D'où elle vient ?
Jane approche prudemment.
Marie : On était dans la même cellule. Je te l'ai dit.
Cole : Alors pourquoi elle veut un flingue ?
Marie : Comment je le saurais ?
Cole : je n'aime pas ça. Je n'aime pas ça. Ne m'appelle pas "bébé".
Jane regarde son portable.
Cole : Elle cherchait le flingue. Elle se croit maligne. Elle croit qu'elle va nous avoir.
Marie : Qu'est ce qu'on va faire ?
Cole : Tu veux que je te fasse un dessin ? Tu sais quoi.
Marie : Laissez-moi réfléchir une seconde, d'accord ?
Jane court à la voiture des fugitifs et arrache le rétro intérieur.
Cole : Ce n'est pas le moment. Il est temps d'agir.
Hendricks : Nous sommes prêts à partir.
Cole : Pas avant de s'être occupé d'elle. On ne peut pas la laisser derrière nous. Elle connaît nos plans (en s’adressant à Marie) Ça laisse qu'une seule option.
Marie : C'est quelqu'un de bien. Fait ça vite.
Cole approche l’arme de la tempe de Lisbon.
Jane : Excusez-moi. Patrick Jane, FBI. Lâchez vos armes. Vous venez avec moi. Vous êtes encerclés de snipers. Si vous posez vos armes, vous sortez de là vivants. Vous entendez ça ?
Cole :Vous mentez.
Jane : Vraiment ? Vous pensez que je viendrais ici, non-armé, sans couverture ?
Marie : Je vous ai déjà vu quelque part.
Hendricks : Cole, il y a un sniper dans l'arbre. Je peux voir son miroir.
Jane : Personne n'a a mourir..pas aujourd'hui.
Marie : Je vous connais. Qu'est-ce qu'il fait là ?
Cole : Qui c'est ?
Marie : C'est son copain ! Je l'ai vu en prison. C'est un charlatan. C'est un coup monté. Qu'est ce qu'il se passe ?
Cole tire dans l’arbre et fait éclater le miroir.
Jane : Nous y voilà.
Cole : Vous êtes venus nous affronter ici tout seul avec rien d'autre qu'un rétroviseur pour support ?
Jane : Ça valait le coup d'essayer. (s’adressant à Lisbon) Désolé, je n'ai pas pu trouver mieux.
Lisbon : Pas de soucis.
Cole prend en joue Jane.
Abbot, accompagné d’agents du FBI, arrive et crie…
Abbot : Posez votre arme ! Posez votre arme ! Ne bougez plus !
Lisbon (saisissant l’arme de Marie) : À terre !
Cho : À genoux ! Mains sur la tête ! Je veux voir vos mains !
Agent du FBI : Faites-le ! C'est un ordre !
Cho : Menottez-la, Vega.
Jane (à Abbot) : Je suis tellement heureux que vous nous ayez trouvé.
Abbot (qui tend une bouteille d’eau à Jane) : Vous avez fait tomber ça.
Jane (qui s’approche de Lisbon ) : Hey
Lisbon : hey
Jane : Nous y voilà.
Lisbon boit un peu d’eau.
Le soir, au siège du FBI.
Cole : Je sais ce que vous voulez. Vous voulez mes contacts, des contrebandiers internationaux. Je peux vous les donner... Beaucoup d'entre eux..des noms, des lieux. Pas du tout, je vous dirai leur plat préféré. Mais d'abord, vous allez me donner quoi ?
Cho : Vous nous dites tout, et on n'accusera pas Marie pour complicité du meurtre que vous avez commis. Elle sortira, aura une chance d'avoir une vie normale.
Cole : Vous plaisantez ? Vous pensez que je vais laisser passer ma seule chance pour cette salope ? Vous allez faire quelque chose pour moi.
Cho : Vous avez tué un homme sans aucune raison, devant des caméras, et devant un agent du FBI. Pas de peine de mort. C'est le deal. Vous allez mourir en prison... ça ne sera pas juste pour un moment. À prendre ou à laisser.
Cole : J'accepte.
Dans le bureau d’Abbot.
Cass : On peut bosser avec ça.
Sur l’écran,
Cho (qui tend un papier à Cole) : Lisez ça.
Abbot : On vous enverra un rapport dès qu'il aura fini de signer.
Cho sort de la salle d’interrogatoire, un papier à la main.
Vega : Agent Cho, il a enfin parlé ?
Cho : Oui. Vous avez bien travaillé aujourd'hui.
Vega : Agent Cho, monsieur, je peux dire quelque chose ?
Cho : Inutile de m'appeler monsieur ou agent.
Vega : J'ai observé votre travail, et j'admire la façon dont vous vous comportez au travail. Cet endroit est un peu fou, mais vous m'impressionné.
Cho : Ok
Vega : J'aimerais avoir l'occasion de plus travailler avec vous, voir comment vous agissez, pour avoir des repères.
Cho : Je ne sais pas. Je dois y réfléchir.
Vega : Ça parait bien. Merci.
Au FBI, le lendemain, Jane sort de l’ascenseur.
Cho : J'ai parlé à Abbott. La CIA a pris contact avec lui grâce à un des noms donnés par Cole, un passeur.
Jane : Super. Ça progresse.
Cho : La CIA a mit la pression sur Cole pour qu'il déballe tout... associés, habitudes, vie personnelle.
Jane : Quel est le rapport avec nous ?
Cho : On connait la copine d'un des passeurs. Toi aussi.
Jane : Vraiment ?
Cho tend à Jane un dossier. Ce dernier l’ouvre et voit la photo d’Erica Flynn. Jane fait « Ohhh ».