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#108 : Le fil rouge

Pendant que la police suspecte qu'un dealer en procès est derrière le meurtre d'un témoin dans son affaire, et de sa petite amie, Patrick Jane voit un motif différent pour le crime, ainsi qu'un différent suspect.

Avis de Télé Star : Un suspense plutôt bien distillé sur fond de mini-guerre des polices.

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Titre VO
The Thin Red Line

Titre VF
Le fil rouge

Première diffusion
25.11.2008

Première diffusion en France
11.05.2009

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Extrait (en anglais)

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Extrait 4 (VO) Jane / Lisbon

Extrait 4 (VO) Jane / Lisbon

  

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Scénario   Ken Woodruf
Réalisation   Matt Earl Beesley
Avec  

Gregory Itzin (Virgil Minelli)
Julian Acosta (Detective Steve Presiado)
Steve Braun (Officer Sam Blakely)
Katie McNeil (Katherine Blakely)
Mark Rolston (Detective Dale Blakely)
Tamara Clatterbuck (Lacey Wells)
...

 

L'Agent Sam Blakely arrive le premier sur les lieux d'un crime dans un motel suite à l'appel du gérant.

Lorsque le CBI arrive sur place, ils apprenent que les victimes sont une jeune femme Patricia Madigan et Joseph Purcell qui était sur le point de témoigner dans une affaire de drogues dans laquelle Carass est mis en cause. Teresa est étonnée de constater que Purcell ne bénéficiait pas de la protection de la police. Sans le témoignage de Purcell l'accusation n'a plus rien contre Carass. Minelli explique que Purcell avait une protection mais qu'il avait disparu il y'a quelques semaines.

Patrick qui observe autour de lui, voit sur une table un biberon vide. La victime tient dans sa main une clef de voiture. Patrick sort et clique sur le porte-clefs pour ouvrir la voiture correspondante. Dans la voiture il trouve une petite fille qui est la fille de Patricia Madigan. Les services sociaux sont aussitôt appelés.

L'équipe CBI rencontre les détectives Dale Blakely et Steve Presiado qui sont des policiers du département de police de Davis. Patrick a établi que l'officier qui a répondu initialement à l'appel était un Blakely et le détective Blakely a confirmé que c'est son fils. Comme toujours, les questions de compétences causent des frictions et le détective semble moins enthousiaste à l'idée de travailler avec le CBI sur cette affaire. Blakely tente de donner le contrôle de l'affaire au département de police de Davis en suggérant qu'il y a plus de liaisons entre les deux agences de forces de l'ordre. Il explique qu'ils chassent Rick Carass depuis longtemps et qu'ils ne vont pas s'arrêter avant de l'avoir eut. Teresa Lisbon quant à elle distribue les tâches. Van Pelt est chargée d'aller en face du motel au magasin de spiritueux visionner les vidéos de surveillance. Patrick questionne Blakely pour savoir si il sait comment Purcell a disparu. Puis Lisbon lui demande comment il peut être sûr que Carass est responsable de ces meurtres. Lisbon dit que Purcell devait avoir beaucoup d'ennemis. Patrick lui dit que la cible était peut-être Patricia Madigan. Pour Lisbon s'est effectivement possible puisque Patricia avait l'air d'être venue pour peu de temps au motel. Elle suggère qu'elle a été suivie. Jane et Lisbon se rendent chez Lacy Wells.

Lisbon et Jane frappent à la porte de Lacy. Celle-ci apparaît. C'est une femme plutôt dur. Lacy confirme que Patricia a vécu quelques temps chez elle avec son bébé Kaylee depuis l'arrestation de son compagnon Joe. Lacy a vraiment l'air bouleversé de la disparition de Patricia. Cela faisait deux ans que les deux femmes se connaissaient. Lacy dit que Joe a appelé Patricia vers minuit pour qu'elle lui rapporte de la nourriture. Patrick lui demande pourquoi elle a emmené Kaylee à cette heure de la nuit. Lacy explique que ce soir là elle avait bu et que Patricia ne voulait pas laisser Kaylee avec elle.

Rigsby et Cho attendent planquer pour arrêter Carass. Blakely et Presidio qui les accompagnent ont leurs fusils chargés et sont prêts à y aller. Rigsby leur rappelle qu'il s'agit d'une opération commune et qu'ils doivent attendre que tout le monde soit prêt. Une fois prêt, l'équipe tente d'arrêter Carass mais celui-ci leur échappe. C'est à ce moment là que Lisbon et Jane arrivent sur place. C'est Jane qui par un stratagème permettra à l'équipe d'arrêter Carass. Blakely et Presidio veulent emmener Carass mais Lisbon insiste et leur dit qu'il est sous la garde du CBI.

Lisbon et Cho conduisent l'interrogatoire de Carass. Patrick quant à lui regarde la scène. Carass se maîtrise et fait preuve de calme pour donner l'impression que tout ceci ne le concerne pas et qu'il n'en a que faire. Il nie son implication dans les meurtres. Il admet que la mort de Purcell est bénéfique dans l'avancement de son affaire de drogue. Il admet également les menaces qu'il a faites à l'encontre de Purcell et que si il l'avait trouvé il l'aurait tué. Carass fournit aux enquêteurs un solide alibi. Carass demande à voir son avocat.

L'équipe est à présent réunit autour d'un repas. Rigsby confirme l'alibi de Carass même si il dit que celui-ci a des personnes qui tuent pour lui et donc qu'il n'est pas complètement blanchi dans cette affaire. Patrick pense que Carass n'est pas le coupable car les meurtres ne sont pas sa signature car Carass n'aurait pas eut la patience d'attendre de suivre Patricia pour arriver à son but. Patrick rappelle que la personne visée n'est peut-être pas Purcell mais Patricia Madigan. De plus il explique que Presidio était un flic colérique et qu'il avait un 38. Lisbon suggère de vérifier avant d'impliquer un flic dans un meurtre. Lisbon demande aussi de voir avec Lacy si elle reconnaît le flic.

Plus tard dans la nuit l'équipe du CBI échaffaude un plan pour amener le coupable à se démasquer. Ils donnent de mauvaises informations. Dans une ruelle l'arme au point l'agent Sam Blakely s'approche d'un véhicule et se met à tirer au travers d'une vitre. Il s'agit en réalité d'un mannequin. Il est aussitôt arrêté et emmené au poste pour interrogatoire.

Sam refuse de parler. Le père de Sam arrive au poste et demande à son fils de dire la vérité. Sam raconte alors qu'il soupçonnait son père d'avoir une liaison et qu'il se rendait au motel pour découvrir la vérité. Quant il est entré dans la chambre il a vu Purcell et Patricia. Purcell a dégainé son arme et commencé à tirer. Sam a alors riposté. Puis il quitta la scène du crime. Malheureusement, comme il se trouvait tout près quand l'appel a été transmis il a dû se rendre sur les lieux.

Dale Blakely admet alors que Patricia Madigan était sa fille. Lorsque la mère de Patricia était sur le point de mourir il y'a quatre ans en arrière elle a tout avoué à Dale et à la jeune fille. Blakely n'avait pas mis sa femme au courant de peur de lui faire trop de mal.

A la maison des Blakely dévastés par le chagrin Katherine et Dale vaquent à leur occupation. Patrick frappe à leur porte. Dans un premier Katherine ne souhaite pas ouvrir mais elle fini par le faire. Patrick tient dans ses bras Kaylee la fille de Patricia Madigan et la petite fille de Blakely. Un grand sourire aux lèvres, Patrick met l'enfant dans les bras de Katherine et explique que c'est leur petite fille et qu'ils représentent tout ce qu'il lui reste au monde. Patrick repart.

Episode 1.08 - The Thin Red Line
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Devant un motel.

Gérant : Vous êtes là. Dieu merci. Il y a eu des cris et des coups de feu dans la chambre 222. Celle de droite. Celle-là.
Agent : Police ! Ouvrez la porte. Ouvrez !

Le CBI arrive sur les lieux.
Minelli : Content de vous voir. Nous avons une jeune femme, Patricia Madigan, et Joseph Purcell, le témoin principal dans le procès Californie contre Carris, l'affaire de narco-trafiquant du procureur général.
Lisbon : Un témoin clé sans protection policière ?
Minelli : Il était sous protection... jusqu'à sa récente disparition. Il voulait plus témoigner, j'imagine. Avec la mort de Purcell, l'affaire contre Carris meurt aussi. Il s'en tire. Donc de toute évidence, il est dans notre intérêt de résoudre cette affaire. La police de Davis étant sur l'affaire Carris, on va devoir faire avec. Ne les snobez pas.
Lisbon : Qui est Carris et où il ou elle se trouve ?
Minelli : Rick Carris est connu pour être l'un des dealers d'amphets à Davis. Il a été coincé il y a un mois à la suite d'une vaste opération. Il est dehors, grace à une caution de 2 millions $. Purcell a été l'un de ses plus gros revendeurs à une époque. Regardez. Ce taré est témoin dans la plus grosse affaire de cocaïne du pays et il en deale de sa chambre d'hôtel... Comme si Carris n'en saurait rien. Il a joué avec sa vie.
Lisbon : il doit y en avoir une soixantaine de grammes.
Jane : Ce n'est pas de la cocaïne.
Lisbon : Lait en poudre pour bébé
Minelli : Oui, on coupe la drogue avec.
Lisbon : Jane ?
Grace : Tu cherches quoi ?
Jane : La femme avait ses clefs à la main. Elle n'avait pas prévu de rester.

Dans une voiture, Jane trouve un bébé.
Jane : Salut.
Lisbon : Coucou, joli bébé !
Jane : Que va-t-il lui arriver ?
Lisbon : Les services sociaux ont des foyers spécialisés. Ils s'en occuperont jusqu'à ce qu'on trouve la famille de Patricia.
Jane : Si elle en a une.
Assistante sociale : Services sociaux. Je viens pour Kaylee.
Jane : Au revoir !

Minelli : Lisbon, Jane, Van Pelt, - Inspecteur Blakely et Preciado, criminelle de Davis. Ils seront vos contacts
avec la police de Davis. En mon nom et celui de votre chef, je vous enjoins à travailler tous en harmonie. Ça veut dire, restez corrects. Tenez-moi au courant.
Jane : Salut. Votre nom est Blakely ? Comme l'agent arrivé en premier sur les lieux.
Blakely :  c'est mon fils.
Preciado : Le pauvre... Son premier cadavre. Il en a dégueulé ses tripes.
Blakely : Il s'en remettra. Écoutez, juste pour être clair, considérez-nous comme des collaborateurs si vous voulez, mais ça reste l'affaire de la police de Davis. Les stups tentent de coincer Carris depuis des années.
Lisbon : Nous comprenons votre position. Vous avez vérifié si cette boutique a une caméra ?
Preciado : Pas encore. On interroge les clients.
Grace : Je m'en occupe.
Jane : Question idiote, comment Purcell a pu vous échapper ?
Lisbon  : Ça arrive, non ?
Preciado : Ouais. Ça arrive.
Blakely : Quand on interpellera Rick Carris, on vous appelle.
Lisbon  : Vous êtes certain que Carris a fait ça ? Purcell est du genre à avoir plusieurs ennemis.
Preciado : Ouais. On est certain.
Jane : Et si la cible n'était pas Purcell, mais la fille ?
Blakely : Pourquoi ça ?
Jane : Et pourquoi pas ?
Lisbon : Mais elle est au départ de cette enquête. Elle n'était là qu'un instant, le tireur est entré dès son arrivée. Ce qui indique qu'on l'a suivie ici. Alors on va refaire le chemin à l'envers.  Quelle est l'adresse de Patricia Madigan ?
Blakely : On sait pas. On a vérifié sur ses papiers, mais elle ne vivait plus chez elle.
Preciado : Vous compliquez inutilement les choses. On sait que c'est un contrat commandité par Rick Carris. S'il est en ville, on le trouvera. Vous, détendez-vous, visitez la région. On vous appelle dès qu'on a du nouveau.

Lisbon : Quand apprendrez-vous à travailler en gardant votre sang froid ?
Jane : Ils vous ont énervée aussi, ces connards sexistes.
Lisbon : Ils m'ont énervée.
Jane : Oui, je l'ai dit.
Lisbon : Vous l'avez dit ironiquement.
Jane : Tenez. Ces magazines étaient dans sa voiture.
Lisbon : "50 idées fraîches et fleuries pour un mariage printanier"? Qu'est-ce qu'elle faisait avec ça ?
a-t-elle reçu ça ?
Jane : Et c'est bien, il y a une adresse
Lisbon : Lacey Wells. 65758 Rancho Highway. Allons-y.

Lisbon : Lacey Wells ?
Lacey : Vous êtes flics ?
Lisbon : Oui, CBI.
Lacey : Qu'y a-t-il ?
Lisbon : Connaissez-vous Patricia Madigan ?
Lacey : Elle vit ici. Pourquoi ? Où est-elle ?
Lisbon : On l'a assassinée ce matin.
Lacey :  Mon dieu.
Lisbon : Depuis combien de temps la connaissez-vous ?
Lacey :  Deux ans, environ.
Lisbon : Elle vit chez vous depuis quand ?
Lacey :  L'arrestation de Joe. 2 ou 3 mois. Elle pouvait pas rester avec lui. Ce sale enfoiré ! Je savais qu'il lui attirerait des problèmes.
Lisbon : Voyez-vous quelqu'un qui aurait voulu la tuer ?
Lacey :  À part Rick Carris et toute sa clique ? Bien sûr, un paquet de monde.
Lisbon : Que s'est-il passé la nuit dernière ?
Lacey :   Joe l'a appelée, très tard. Il était fou furieux, mais c'est un paranoïaque. Il voulait pas sortir. Il voyait les gars de Carris partout. Il l'a suppliée de lui apporter de la nourriture. Ce qu'elle a fait... comme une idiote. Et c'est... la dernière fois que je les ai vu, elle et Kaylee.
Lisbon : Pourquoi emmener Kaylee au milieu de la nuit ? Vous ne pouviez pas la garder ?
Lacey :   J'avais bu. Et elle ne voulait pas me la laisser. Elle avait ses défauts, mais c'était une bonne mère. Cette gosse est toujours propre, bien changée et souriante. Regardez l'état de la pièce.
Jane : Oui, c'est joli. Comment payait-elle le loyer ?
Lacey :  Elle avait toujours de l'argent quand il en fallait. On s'est faites arrêter à noël dernier. Elle a surgi avec 10 000 $ pour payer les cautions, et plus encore pour payer l'avocat. On a été arrêtées avec 30g d'amphets, elle a fait disparaître cette histoire.
Lisbon : Elle se droguait ?
Lacey :  Non. C'était pour moi. Mais c'était dans sa voiture, alors... vous voyez...
Jane : D'où venait l'argent pour payer l'avocat ?
Lacey :  Elle ne racolait pas, alors j'ai pensé qu'elle avait un amant plein aux as. Un mec est venu une ou deux fois, il n'est jamais entré. Elle allait faire un tour avec lui, et elle avait de l'argent quand elle revenait.
Jane : Comment était-il ?
Lacey :  C'était... un grand gars, maigre, cheveux noirs, avec une voiture bleue.
Lisbon : Excusez-moi.
Jane : Ça sonne sans arrêt.

Rigsby (au téléphone): La crime de Sacramento vient d'appeler. Ils ont l'adresse de Carris. À Boonville,
à mi-chemin entre ici et Davis.
Lisbon : Prenez une équipe, on arrive.
Rigsby :  J'informe Blakely et Preciado ?
Lisbon : Oui, ce sont nos partenaires sur ce coup. Retiens-les jusqu'à mon arrivée. - Merci, Lacey.
Lacey :  Les services sociaux... ils ne vont pas... ils ne ramèneront pas Kaylee ici, hein ? Je l'adore, mais je suis pas... je pourrais pas...
Lisbon : Ne vous inquiétez pas. Ils ne la ramèneront pas ici.
Lacey :  Elle ira dans un endroit bien ? On prendra soin d'elle ?
Lisbon : Oui... Ils font de leur mieux.
Lacey :  C'est une brave gosse...

Maison de Carris.
Rigsby : 
 Où allez-vous ?
Preciado : Procéder à l'arrestation. Couvrez l'arrière.
Rigsby :  Attendez.
Preciado : Quoi ? Vous aidez ou vous vous tournez les pouces ?
Cho : On se calme.
Rigsby :  C'est une opération conjointe. On attend le chef et l'équipe d'intervention.
Preciado : C'est encore notre arrestation, on n'a pas le temps d'attendre votre maman.
Cho : On a tout le temps. On va faire ça bien. Sinon, il y aura des blessés.
Preciado : C'est ça le boulot de flics. Des gens sont blessés. On n'est pas des gratte papier.
Rigsby :  Du boulot de flics ? Comme la protection de témoins !
Cho : Laisse tomber. Laisse tomber. Regarde-moi. On leur a dit d'attendre. Si ça foire, tant pis pour eux. On ne sera pas impliqués. Sois malin, laisse couler.

Lisbon : Qu'y a-t-il ? Ils font quoi ?
Rigsby :  Ils refusent d'attendre les renforts. Impossible de leur parler.
Cho : Ils veulent du sang.

A l'extérieur.
Rigsby :  On bouge plus, Police. À genoux, immédiatement. 
Cho : Montre tes mains.
Preciado : C'est notre arrestation. Bas les pattes.
Lisbon : Comptez dessus. Écartez-vous !
Blakely :  Calme-toi.

Au CBI
Lisbon : Oui, on comprend. Vous êtes très calme et maître de vous, Rick... pour un homme soupçonné d'un double meurtre.
Carris : Je n'ai rien fait. Bien que, j'ai été si souvent assis là, suis pas inquiet.
Cho : C'est vrai, hein ? Si souvent. "Agression... possession, vente de drogue."
Lisbon : Si cette affaire de trafic ressort... ce sera votre troisième. Cette fois, c'est la prison à vie.
Cho : Ça fait long.
Lisbon : À cause du témoignage de Purcell.
Carris : C'est pas un secret que sa mort était une énorme aubaine pour moi. Énorme. Je dois avouer, je... commençais vraiment à craindre la perpétuité, mais vous savez quoi ? J'ai des anges gardiens féroces, qui veillent sur moi.
Cho : Êtes-vous un homme de parole ?
Carris : Oui.
Cho : Vous faites ce que vous dites ?
Carris : Je vois où vous voulez en venir.
Cho : Ça vient du répondeur de Purcell : (Voix de Carris :  Joe, t'es un homme mort. Mort. Je vais te tuer moi-même. Te regarder dans les yeux, t'arracher le cœur et l'enfoncer dans ta gorge".
Lisbon : C'est bien vous ?
Carris : La vantardise me perdra.
Cho : Vous avez trouvé Patricia, l'avez suivie à l'hôtel où se cachait Purcell. Vous les avez tués pour vous épargner la prison, comme vous l'aviez dit.
Carris : J'ai dit que j'allais lui arracher le cœur et lui faire bouffer.
Lisbon : C'est une métaphore ça.
Carris : Si je l'avais trouvé, j'aurais tenu parole. Et je le cherchais. Alors c'est sûr que c'est pas moi. Je lui aurais peut-être pas arraché le cœur, mais je l'aurais planté. J'ai une réputation à tenir.
Cho : Où étiez-vous hier soir ?
Carris : À mon bar, le Del's Tavern.
Cho : Jusqu'à quand ?
Carris : J'en sais rien, 23 h 30.
Cho : Quelqu'un était avec vous ?
Carris : Oui. Sasha.
Cho : Sasha a un nom de famille ?
Carris : Sasha la serveuse.
Cho : Votre employée. C'est pas terrible comme alibi.
Carris : Comme votre affaire, mec. Vous n'avez ni arme du crime, ni témoin. Alors allez vous faire foutre, ou apportez une lampe solaire et des bières. Je serai ravi de vous rendre la pareille et vous écouter gaspiller votre temps.
Lisbon : Je vais plutôt vous remettre à la police de Davis. Ils sont impatients de vous parler.
Carris : Bien. Peu importe. Je veux parler à mon avocat.
Lisbon : D'accord. On en a terminé ici.

Au CBI
Jane : Le repas est là.
Grace : Une hawaïenne ? Cho déteste l'ananas.
Jane : Il peut les enlever, non ?
Grace : Oui, je suppose. Je ne dis rien quand lui et Rigsby prennent mexicain.
Jane : Tu n'aimes pas quoi dans le mexicain ?
Grace : La coriandre. Je supporte pas. Mais je ne dis rien.
Jane : Tu ne dis rien ? Pourquoi ça ?
Grace : Il faut savoir faire des concessions.
Jane : C'est bien d'être gentille, mais pour avancer, parfois faut être salope. Et tu sais l'être, j'en suis sûr.
Grace : Alors là, merci.
Jane : Tout est question d'équilibre, Grace. Yin... yang. Gentillesse... saloperie. Un peu de saloperie dans la gentillesse, un peu de gentillesse dans la saloperie.
Grace : Je vais faire des efforts.
Jane : Ne le dis à personne.

Cho : Il y a de l'ananas dans la pizza.
Grace : Enlève-les.
Cho : Je saurai qu'il était là.
Rigsby : Carris était au Del's Tavern. Sasha la serveuse dit qu'elle était avec lui jusqu'à 00 h 45. Pendant la fusillade au motel.
Cho : Elle en est sûre car ils baisaient avec la télé allumée. Une interwiew de cette actrice mariée à un chanteur.
Rigsby : Carris engagerait quelqu'un pour faire le sale boulot. Il se vantait en racontant qu'il arracherait le cœur de Purcell lui-même. C'est un dealer, pas un aztèque.
Jane : Bien vu. Pas un aztèque. Tu as raison. Carris n'est pas le tueur.
Cho : Pourquoi ?
Jane : Il l'a dit... pas son style. Il n'aurait pas eu la patience de guetter Patricia pour arriver à Purcell. S'il l'avait trouvée, il l'aurait cuisinée jusqu'à ce qu'elle parle.
Lisbon : Pour argumenter, disons que vous avez raison.
Jane : Je dis que finalement, Patricia Matigan était visée.
Lisbon : Ça fait 2 fois que vous dites ça.
Jane : Patricia était une jeune femme attirante mais sans travail, qui obtenait régulièrement de l'argent d'on ne sait où...
Cho : Petit ami.
Jane : ... et pouvait faire disparaitre une inculpation de drogue.
Rigsby : Un copain flic.
Jane : Et maigre, cheveux noirs, avec une voiture bleue, selon Lacey Wells.
Grace : C'est la description de Preciado.
Jane : J'y ai pensé aussi. Et c'est un homme colérique, on le sait maintenant, qui porte probablement un 38, non ?
Rigsby : Oui. Je crois bien.
Grace : Joe et Patricia ont été tués par un 38.
Cho : Oui, exact.
Lisbon : Doucement. Quel serait son mobile ?
Rigsby : Crime passionnel. Il trouve celle qu'il aime avec un autre, et tue les deux.
Grace : Il n'aurait pas été si surpris. Elle avait un enfant de Purcell.
Jane : Comment elle va ? La puce ?
Grace : Bien, je pense, enfin, c'est un bébé. Au chaud, nourris, ils sont heureux.
Cho : Allons parler avec Preciado.
Lisbon : On est déjà mal vus par la police de Davis. Il faut être sûrs d'avoir raison, trouver des faits, puis agir.
Rigsby : Oui, chef.
Lisbon : Vérifions si Patricia a fait tomber cette inculpation à Noël et assurons-nous que l'histoire avec l'argent n'est pas fausse. Puis on ira voir Lacey, lui montrer des photos. Si elle identifie Preciado, et s'il a une voiture bleue, et s'il porte un 38, on ira le voir pour lui parler.
Grace : Preciado a une voiture bleue.
Cho : Je prends la salade. 

Preciado : Gladys Knight et les Pips. Vous nous ramenez le prisonnier ?
Lisbon : Inspecteur Preciado, nous souhaitons nous entretenir avec vous un moment. Nous avons des questions à vous poser.
Preciado : Quelles questions ?
Rigsby : Vous portez bien un 38 ?
Preciado : Vous allez m’accuser de meurtre ? Sales enfoirés. Vous avez le culot...
Blakely : Calme-toi. Laisse-moi gérer ça.
Preciado : Ça me concerne. Qui vous donne le droit de venir m'accuser ? Quelle arme je porte ? Allez vous faire foutre.
Lisbon : C’est dans la Constitution de l'État de Californie. Nous sommes venus à vous par respect. On pouvait faire ça au poste devant tous. Vous l'auriez regretté.
Preciado : Non, c'est vous. Vous bluffez.
Lisbon : On sait que vous fréquentiez Patricia. Lacey Wells vous a identifié sur une photo.
Cho : Venez parler avec nous, éclaircir quelques trucs.
Blakely : Quelles sortes de trucs ?
Lisbon : Ça ne vous concerne pas.
Blakely : Si. C'est mon partenaire.
Preciado : Laisse tomber, Dale. Laisse tomber. Je gère. Je vous suis.

Au CBI
Jane : Bien... ravi de vous revoir.
Preciado : Quel est son problème ?
Lisbon : Connaissiez-vous bien Patricia ?
Preciado : Allons droit au but. Vous avez quoi ? De flic à flic.
Lisbon : De flic à flic ? On sait que vous lui donniez de l'argent. Qu'elle a échappé à une arrestation à Noël. Les preuves ont disparu de la police de Davis.
Preciado : Des preuves perdues, c'est ça ? Du dépôt de la police ? Ça arrive.
Lisbon : Vous les avez prises.
Preciado : C'est ce que vous pensez.
Lisbon : On pourrait creuser et le prouver, mais je ne veux pas perdre du temps. Je préfère vous en parler, éviter d'entraîner d'autres flics dans ce bazar.
Preciado : Continuez.
Lisbon : Nous pensons que vous et Patricia aviez des relations sexuelles.
Preciado : C'était... C'était une indic.
Lisbon : Elle devrait être enregistrée alors, non ? Et vous auriez mis ça en dépense professionnelle, mais vous ne l'avez pas fait, n'est-ce pas ? Pourquoi ? Selon moi... car vous êtes un honnête homme.
Preciado : Oui. Bien sûr. D'accord. Je me la tapais. Et alors ?
Lisbon : Vous étiez au courant de sa liaison avec votre témoin disparu ?
Preciado : On avait une relation d'affaire. Je la payais pour baiser. Je me fichais de sa vie quand j'étais pas là.
Lisbon : Vous lui avez donné beaucoup d'argent. Beaucoup. Un homme séduisant comme vous, il doit y avoir autre chose là dessous. Elle savait quoi sur vous ?
Preciado : Elle était ponctuelle, propre et parlait pas trop, et j'aime ça.
Lisbon : Saviez-vous que Purcell était le père de son enfant ?
Preciado : Non.
Lisbon : Un junkie, dealer de bas étage avec votre femme... Ça vous a fait quoi ?
Preciado : J'en avais rien à foutre.
Jane : Voulez-vous le reste de mon sandwich ? Je n’arrive pas à le finir
Preciado : Quoi ?
Jane : C'est un bon sandwich. Allez-y. Goûtez.
Preciado : C'est quoi son problème ?
Lisbon : Où étiez-vous à 00 h 45 lundi matin ?
Preciado : Chez mon partenaire. On a regardé le match. J'avais trop bu, alors j'ai dormi sur le canapé.
Lisbon : Chez Blakely ? Juste vous deux ?
Preciado : Et sa femme.
Lisbon : Vous aviez votre arme ?
Preciado : Oui, je l'avais.
Lisbon : Je peux vous l'emprunter, que la balistique y jette un œil ? Je ne veux pas rendre tout ça officiel, aller voir un juge. Sinon, tout le monde serait au courant. Si vous n'avez rien fait, voilà le moyen de le prouver. C'est le seul 38 que vous ayez ?
Preciado : Oui, c'est le seul. Et si vous prenez encore ma main, je vous arrache le bras et vous tabasse avec. Compris ?
Jane : Compris. 

Plus tard
Lisbon : Alors ?
Jane : Marrant comme les flics sont de mauvais menteurs. Ils n'ont pas l'habitude de se contrôler lors d'interrogatoires.
Lisbon : Je suis flic, et je vous mens tout le temps. Vous ne le savez jamais.
Jane : Désolé pour vous, mais vous êtes limpide, ma chére. Je sais toujours quand vous mentez. Je vous laisse croire le contraire pour ne pas que vous vous sentiez mal.
Lisbon : Citez-moi une fois.
Jane : À Thanksgiving, vous avez dit retourner dans l'est chez votre frère, mais vous projetiez de passer 3 jours seule chez vous, à regarder de vieux films.
Lisbon : D'accord, ça fait une fois. Et pour Preciado ?
Jane : Son pouls étant filant, malhonnête.
Lisbon : Filant ?
Jane : Difficile de décrire ça. Un pouls malhonnête est différent d'un pouls indigné. Ici, difficile de dire sur quoi il ment exactement, mais il a triché dès le début. Quelque chose cloche dans son histoire. Où allez vous ?
Lisbon : Au zoo. Il y a des bébés tigres.
Jane : Menteuse.
Lisbon : Très bien. Je vais parler à Blakely.
Jane : Blakely ne vous dira rien.
Lisbon : Non, Blakely est de la vieille école. Il couvrirait son partenaire sans faillir, mais pas sa femme. Je garde le mari dans le bureau, pendant que vous parlez à sa femme.
Jane : Charmant.

Chez les Blakely.
Sam : Qu'y a-t-il ?
Jane : Patrick Jane, CBI.
Sam : Oui, de quoi s'agit-il ?
Jane : Je souhaite parler à Katherine Blakely. Sam ? Officier Sam Blakely ?
Sam : Oui, ce n'est pas le bon moment. Si vous voulez lui parler, appelez et fixez un rendez-vous.
Jane : Oui, je passais juste par là. C'est dommage, Sam, Je dois vraiment lui parler.
Katherine : Qui est-ce, Sam ?
Jane : CBI. Enquêtes criminelles pour un double homicide.
Katherine : Un double homicide ?
Jane : Le meurtre Purcell-Matigan ?
Sam : Le couple que j'ai trouvé.
Kaherine : Oh oui, quelle horrible affaire, ce pauvre bébé ;.. Je vous laisse travailler.
Jane : Non, Madame, c'est à vous que je souhaiterais parler.

A l’intérieur
Katherine : Je suis très fière de mes deux policiers. 3 générations de cette famille dans les forces de l'ordre de Davis. Quand les gens voient le nom de Blakely à Davis, ils savent ce que ça représente.
Sam : Bon sang, maman. Ça suffit.
Katherine : Il déteste que je me vante de lui. Dites-moi, pourquoi diable voulez-vous me parler au sujet de ces meurtres ?
Jane : Officier Blakely, pouvez-vous nous laisser ?
Sam : Je peux rester.
Jane : C'est plutôt confidentiel.
Katherine : Vas-y, Sam.
Sam : Je devrais pas, maman. Papa n'aimerait pas ça.
Katherine : Tu n'es pas ton père. Laisse-nous un instant. Vas-y. - Sam a été très perturbé. C'était son 1er appel pour meurtre. Pauvre chéri. Je me souviens la première fois où Dale a eu ce genre d'appel. On venait de se marier, et quand il est rentré à la maison il a pleuré. Il a essayé de le cacher. Mais je lui ai dit, et je l'ai dit à Sam, il n'y a pas de honte à se sentir triste.
Jane : En effet.
Katherine : Vous avez vécu ça, sans aucun doute. La mort fait partie du boulot.
Jane : Oui, elle en fait partie.
Katherine : Désolée. Je m'égare. De quoi vouliez-vous me parler, M. Jane ?
Jane : Le partenaire de votre mari, l'inspecteur Preciado, est peut-être impliqué dans l'affaire.
Katherine : Steve ? Non.
Jane : Il a dit être ici chez vous, dormant sur le canapé, au moment des meurtres. C'était à 00 h 45 lundi matin. Était-il là ?
Katherine : Oui, il était là. Il a passé la nuit. Pourquoi vous intéresser à Steve ? C'est un homme tellement droit.
Jane : Il a dit avoir eu une liaison avec Patricia.
Katherine : Steve Preciado ?
Jane : Oui. Pourquoi pas ?
Katherine : Je ne sais pas. Ça me semble peu probable.
Jane : Vous me cachez quelque chose. C'est une enquête d'état. Dites-moi la vérité.
Katherine : Promettez de ne pas dire que je vous en ai parlé.
Jane : Promis.
Katherine : Dale dit que Steve a des problèmes, d’ordre... sexuel?
Jane : Des problèmes sexuels. Il y a des traitements.
Katherine : Oui. C'est un cas désespéré, apparemment.
Jane : C'est étrange. C'est vraiment bizarre, car c'est lui qui nous a dit qu'il avait une liaison.
Katherine : Connaissant Steve, je suis sûre qu'il mentait pour préserver son image de macho ou pour protéger quelqu'un d'autre. Je suis désolée. Je suis stupide.
Jane : Non, c'est...
Sam : Que s'est-il passé ?
Katherine : Rien, c'est juste un petit accident.
Sam : Que lui avez-vous dit ? Qu'avez-vous fait ?
Katherine : Il n'a rien fait. Ton père...
Sam : Mon père ? Vous lui avez dit quoi ?
Katherine : Tu le savais. Tu savais toi qui était cette fille. C'est pour ça que vous chuchotiez dans les coins et agissiez si bizarrement.
Sam : Non, maman. Tu te trompes. Tu ne comprends pas. Papa n'avait pas de liaison.

Appelé par son fils, Blakely arrive. Lisbon arrive peu après.
Sam : Papa, maman pense que tu...
Katherine : Quoi, Sam ? Je pense quoi ? Tu avais juré sur la vie de ton fils que tu ne me trahirais plus !
Blakely : Rentre, chérie. Je te dirai la vérité, mais pas ici. Non. Pas ici.
Katherine : Tu es Dale Blakely. Tu es un des gentils.
Blakely : Rentre tout de suite !
Jane : Inspecteur Blakely !
Blakely : Fermez-là.

Lisbon : Vous allez bien ?
Jane : Il m'a agressé.
Lisbon : Cette nouvelle technique est à revoir, je vous l’assure.
Jane : Oui. Je ne dis pas le contraire.

Minelli : On les arrête maintenant. Bravo !
Lisbon : On a le droit. Il a agressé Jane, et il semble coupable.
Minelli : Avant d'inculper un flic, soyez plus que sûre. Ça doit être béton.
Lisbon : Oui...Je sais …
Minelli : Si vous avez tort, on n'a plus de suspect pour les meurtres, le procureur n'instruira aucune affaire contre Carris, et on aura arrêté indûment un officier expérimenté dans
son propre district.
Lisbon 
: Oui, patron.

Dans la salle d’interrogatoire.
Cho 
: Quelle était la nature de votre relation avec Patricia ?
Blakely :
Je l'aidais.
Cho : L'aider, avec près de de 1 000 $ par mois. Ça fait beaucoup. Que vous donnait-elle en retour ?
Blakely : Rien.
Cho : Qu'avez vous raconté à votre femme pour l'argent ?
Blakely : Je n'ai plus rien à dire.
Cho : Comment vivez-vous ? Piochez-vous dans l'argent de la drogue ?
Blakely : Je n'ai jamais pris un centime. Pas un seul.
Cho : Donc si Patricia avait voulu plus d'argent, vous auriez été mal, non ?
Blakely : Je veux un avocat.
Cho : Je vais vous en trouver un. Où est votre arme de service ?
L’Agent Rigsby dit que vous l'aviez pas sur vous.
Blakely : Elle a été volée.
Cho :  Oui ?
Blakely :  Dans ma voiture.
Cho :  Pas de problème. Ça arrive. C'était un 38 ?
Blakely : C'est exact.
Cho :  J’appelle un avocat.


A l’extérieur
Jane : Il ne parlera pas. Le pauvre.
Lisbon : Comme on fait son lit, on se couche.
Jane : J'ai du mal à comprendre ça. Si les gens font leur lit, pourquoi s'y couchent-ils ? Pourquoi pas se coucher dans un autre lit ou par terre, si c'est si important ?

Grace :
Sam Blakely est là.
Lisbon : Je m'en occupe.


Lisbon : Merci d'être venu.
Sam : J'avais pas le choix. Vous avez bouclé mon père.
Jane : Comment va votre mère ?
Sam : Laissez-la. Mon père est innocent.
Jane : On le sait.
Sam : Vous faites une grosse... quoi ?
Jane : On sait que votre père est innocent.
Lisbon : Ce sont les images des caméras de surveillance du magasin en face du motel. On les a eues aujourd'hui.
Grace : Là, il est 00 h 45. La voiture de Patricia Matigan arrive et lui, c'est un homme de Rick Carris.
Jane : On a sous-estimé Carris. Il a retrouvé Patricia et l'a faite suivre.
Sam : On voit sa plaque d'immatriculation. Vous pouvez agrandir ?
Grace : Oui, on peut. On sait qui c'est. Un homme de Carris, il s'appelle Q-tip.
Jane : Mais écoutez ça. Carris dit que Q-tip ne l'a pas tué. Il est venu pour tuer Joe, mais il est arrivé trop tard. Il semble que quelqu'un l'a devancé.
Sam : Hé bien il vos a menti
Lisbon : Carris dit que Q-tip a vu le vrai meurtrier, Il a vu toute la scène. Alors Carris nous a proposé un marché. Si on le laisse sortir, Q-tip nous dira ce qu'il a vu, identifiera le vrai meurtrier.
Sam : Et vous le croyez ?
Jane : Non. C'est un ex-détenu insignifiant. Q-tip l'a vraiment tué. Carris essaie de sauver sa peau en rejetant la faute ailleurs.
Lisbon : Sur votre père, sans doute. Il devait savoir pour sa relation avec Patricia. On va jouer le jeu, laisser le meurtrier venir à nous. Carris a organisé un rendez-vous avec Q-tip. On le travaillera jusqu'à ce qu'il dise la vérité.
Sam : Je vous sers à quoi ?
Lisbon : Si ça devait marcher, je veux pas avoir tout un tas de policiers furieux grouillant autour de Carris et ses hommes. Et le CBI est un peu impopulaire ici en ce moment.
Sam : Oui, c'est sûr.
Lisbon : Donc... vous pourriez parler à votre chef, lui expliquer ce que nous allons faire.
Sam : Connaissant le chef il voudra connaître les détails, quand et où vous allez rencontrer ce Q-tip, et la personne que vous avez infiltrée.
Lisbon : Bien sûr. Mais ça doit rester entre vous et le chef. On ne veut pas alerter Carris.
Jane : Il croit qu'il joue avec une bande d'idiots.
Sam : Je comprends.

Plus tard.
Lisbon : Bien, tout le monde. Le jeu commence. Carris arrive. Il appellera quand il retrouvera Q-tip.
Grace : Compris ?
Rigsby : Bien reçu.
Sam : Bien
Cho : Bien reçu.
Lisbon : L'entrepôt est sur la 5ème et Geary. Dos aux docks. Q-tip a la même voiture que sur la vidéo. Plaque californienne : 5-Nora-Tom-Queen-9-5-7. Il sera là dans 10 min.
Cho : 10 min ? Je pourrais jamais y être.
Lisbon : Faites de votre mieux.
Grace : On y va. On y sera dans... 12 minutes.
Lisbon : Bon sang. Il n'attendra pas si longtemps.
Jane : Officier Blakely, êtes-vous près de la 5ème et Geary ? Officier Blakely ? Sam ?

Révolver en main, Sam s’approche de la voiture et tire sur le conducteur.
Grace : Lâchez votre arme !
Rigsby : Lâchez-la !

De retour au CBI.
Sam : Carris n'avait rien proposé.
Jane : On a fabriqué la séquence caméra. Q-tip était qu'un type qui passait près du motel à ce moment là. Van Pelt... a inséré elle-même la plaque d’immatriculation
Sam : Astucieux. Bravo à vous les gars.
Lisbon : On sait que vous êtes un brave homme. Que vous ne vous attendiez pas que les choses prennent une telle tournure. Que s'est-il passé ?
Sam : Je n'ai rien à dire.
Lisbon : Vous n'avez plus rien à cacher, maintenant.
Sam : À vous expliquer non plus.

Cho accompagne Blakely.
Cho :
Asseyez-vous inspecteur.
Blakely : Merci. - Fils.
Sam : Papa.
Blakely : Il y a une fin à tout. Il est temps. Allez dis-leur la vérité.
Sam : La vérité ? Dire la vérité à tout prix. C'est ce qui fait un homme, hein ? Dire la vérité. Un homme a son honneur et sa parole, et c'est tout.
Blakely : Ne va pas sur ce terrain, pour l'amour de dieu. Donne-leur les faits.
Sam : Tu veux des faits ? Maman soupçonnait papa d'avoir une liaison. J'ai posé des questions ici et là. J'ai vite entendu parler de cette fille, Patricia Matigan, qu'il protégeait. J'étais furieux. Comprenez bien. On m'a balancé ces foutaises sur l'intégrité toute ma vie. Pas vrai, papa ? Honnêteté, honneur, famille... balancés à la gueule, et tout ce temps, il entretient une pute ? Non. Jamais. Je lui ai demandé si c'était vrai et il m'a dit que non. Je savais qu'il me mentait. Je le savais. Alors dimanche soir, je... suis sorti pour découvrir la vérité. J'étais sûr qu'elle allait retrouver mon père. Elle est allée faire des courses avant d’aller au motel. J'ai pensé, "je le tiens là." Purcell a dû penser que Carris m'avait envoyé le tuer. J'ai pas eu le choix. J'ai paniqué. Je me suis enfui. Et le central a appelé, me renvoyant directement au motel. J'étais l’unité la plus proche, que faire d'autre ? Refuser l'appel ? Je devais le prendre.
Jane : La vérité finit toujour par éclater. Patricia n'était pas votre maîtresse, hein ?
Blakely : Non. C'était ma fille, la sœur de Sam. Comment avez-vous su ?
Jane : Sam a dit à sa mère que vous ne la trompiez pas. Je l'ai cru. Mais alors qui était Patricia ? Qui était-elle pour vous ? Et pourquoi tant de secrets ? Je me suis dit qu'elle devait être votre fille.
Blakely : J'ignorais l'existence de Patricia, jusqu'à il y a 4 ans. Sa mère était mourante. Alors... elle m'a contactée, m'a dit que j'avais une enfant de 16 ans que je ne connaissais pas. Ça m'a bouleversé. Ça m'a anéanti. Je voulais dire la vérité à Katherine, mais... vous savez, je... Mon dieu. Je n'ai pas pu. Je ne pouvais pas la blesser ainsi.
Jane : Sait-elle maintenant ?
Blakely : Oui, elle sait. Elle sait.

Chez les Blakely.
Katherine :
Désolée. On est occupés.
Jane : Katherine, c'est Patrick Jane. Pouvez-vous m'ouvrir ?
Katherine : Non. Désolée.
Jane : Vous pouvez et vous allez m'ouvrir. J'ai quelque chose pour vous.

Elle ouvre la porte.
Jane :
Voici Kaylee, Votre petite-fille, en quelque sorte. Voilà. Elle adore les céréales au chocolat. Ça n'a rien à voir avec moi. Et elle aime faire la sieste à 14h.
Katherine : Mais... quoi ?
Jane : Vous êtes tout ce qu’il lui reste. Les services sociaux passeront pour les papiers à signer. Le nom de Kaylee ne lui va pas trop, je trouve. Si vous voulez le changer, personne ne s’y opposera. Vous aurez peut-être besoin de ces trucs. Au revoir.

Manager of the hotel : You're here. Thank god. There was screaming and gunshots upstairs in room 222. The one-- the one on the right. Right there.
Sam Blakely : Police! Open the door. Come on, open up!

Minelli : Glad you could make it. We have a young female, Patricia matigan and joseph purcell,who was gonna be the star witness in california vs. Carris, which was one of the attorney general's favorite upcoming narcotics cases.
Lisbon : State's witness, and no police protection?
Minelli : Uh-huh. Davis p.D. Had it covered that is, until purcell went a.W.O.L. A few weeks ago. Didn't want to testify, I guess. With purcell dead, the case against Carris dies, too. He walks. So obviously, guys, for all of our sakes, This is a must-close. Davis p.D. Is still running the Carris case, by the way,so we have to work with them. Don't freeze 'em out.
Lisbon : Who is Carris, and where is he or she right now
Minelli :Rick Carris is the man to know in the davis meth business. He was busted a month ago after a big, expensive operation. He's out and about on a $2 million bond. Purcell here is one of his top street captains. Look at that. This fool is state's witness against the biggest cocaine dealer in the county, and he's dealing the same drug out of his own motel room--like carris wouldn't hear about that. He must have had a death wish.
Lisbon : Looks like a couple of ounces.
Jane : It's not cocaine.
Minelli : It's...
Lisbon : It's powdered milk.
Minelli : Yes, that's often used to cut the product.
Lisbon : Jane?
Van Pelt : What are you looking for?
Jane : The girl had her keys in her hand. She was only planning on stopping by.
Minelli : Oh no
Lisbon : Hello.

Jane : So what happens to her?
Lisbon : Social services have foster homes that specialize in babies. They'll take care of her until we can find patrice's family.
Jane : If she has a family.
Lisbon : Yeah
Social worker : Social services. This is kaylee?
Jane : Goodbye
Minelli : Lisbon, Jane, Van Pelt. Detectives Blakely and Preciado, davis homicide. They will be your liaisons with davis p.D. I speak for myself and your chief when I urge you all to work harmoniously. that means play nice. Keep me posted.
Jane : Hi. So your name's Blakely?
Blakely : Mm-hmm.
Jane : The first responder was a blakely.
Blakely : That was my son.
Preciado : Poor kid--first time rolling up on a body. Puked his guts up later.
Blakely : He'll be okay. Listen, uh, just so we're clear, now you can call us "liaisons" if you like, but this is still a davis p.D. Case. Our narcotics unit's been trying to bust rick carris for years.
Lisbon : We appreciate your position. Have you checked the liquor store over there for surveillance cameras?
Preciado : Not yet. We're still questioning the guests
Van Pelt : I'll get on it.
Jane : I got a dumb question. How come you guys let joe purcell slip away?
Lisbon : Stuff happens, right?
Preciado : Yeah. Stuff happens.
Blakely : Yeah. When we bring in rick carris, we'll give you a call.
Lisbon : You're confident it was carris who did this? Purcell seems like the type of man who had quite a few enemies.
Preciado :Yeah, we're confident.
Jane : What if purcell wasn't the target? What if the girl was the target?
Blakely : What makes you think that?
Jane : What makes you think she wasn't?
Lisbon : Either way, she's the place to start with the investigation she was only here for a moment, so the shooter came in as soon as she arrived, which suggests that he or they followed her here. So we'll retrace her steps. What's patrice matigan's current address?
Blakely : We don't know. We checked the address on her licens Aand registration, but she hasn't lived her for several months.
Preciado : You're making this more difficult than it needs to be. We know whodunit. This was a hit ordered by rick carris. If he's in town, we'll round him up. You guys relax, see the sights. We'll call you when there's any news.
Lisbon : When are you gonna learn to cool it without being told?
Jane : Oh, come on. They pissed you off, too, the sexist pigs.
Lisbon : They were.
Jane : I just said they were.
Lisbon :You were saying it ironically.
Jane : Here. There was a couple of issues of that in her car.
Lisbon : "Fifty fresh and floral ideas for a spring wedding"? Where did Patrice Matigan have this?
Jane : Mailing address.
Lisbon : "Lacey Wells. 65758 rancho highway." Let's go.

Lisbon :Lacey Wells?
Lacey Wells : You the cops?
Lisbon : Yeah, cbi.
Lacey Wells : What's the problem?
Lisbon : Do you know Patricia Matigan?
Lacey Wells : She lives here. What about her? And where is she?
Lisbon : She was murdered early this morning.
Lacey Wells : Oh, my god.
Lisbon : How long have you known Patricia?
Lacey Wells : Couple of years, like that.
Lisbon : And she's lived here with you for how long?
Lacey Wells : Since Joe got busted. Two, three months. She couldn't stay with him, the way he lives. That son of a bitch! Now I knew he'd get her into trouble.
Lisbon : Can you think of anybody who would have wanted to kill him?
Lacey Wells : Aside from rick carris and any of his crew Sure, lots of people.
Jane : Can you tell us what happened last night?
Lacey Wells : Joe called her really late. He's mad hungry, but he's paranoid. Won't leave his room. Thinks rick carris' boys are everywhere. Begs her to bring him some food, which she does... Like a fool. And that's... That's the last I saw of her and kaylee.
Jane : Why would she take kaylee out with her in the middle of the night? Couldn't you have babysat for her?
Lacey Wells : I had been drinking. And she didn't want to leave kaylee with me. She had her flaws, but she was a good mom. I mean, that kid is always clean and...and dry, and she's smiling. Look at how she keeps this place.
Jane : Yeah. It's nice. How does she pay the rent?
Lacey Wells : Oh, she always has money when she needs it. You know, her and me got busted this last christmas, and she came up with, like, 10 grand to front the bail and even more for the lawyer. I mean, we were busted with a whole ounce of meth, and she made that crap disappear.
Lisbon : She was into meth?
Lacey Wells : No. No. No, it was my drugs. But it was in her car, so you know...
Jane : Did you ask her how she got the money to pay for the lawyer?
Lacey Wells : She wasn't the hooker type, so I just figured she had a rich boyfriend hidden somewhere. You know, a couple of times, a dude would come by and not come in. You know, she'd go for a ride, and then she had cash when she came back.
Jane : What did he look like?
Lacey Wells : He's, um, like a skinny, tough guy, dark hair and drove a blue car.
Lisbon : Excuse me.
Jane : It always goes off.
Lisbon : Lisbon.
Rigsby : Just got a call from sacramento homicide. Snitch gave 'em a location on rick carris. He's in boonville, halfway between here and davis.
Lisbon : Get an entry team. We're on our way.
Rigsby : Should I tell Blakely and Preciado?
Lisbon : Of course. Davis p.D. Are our partners in this hold off on going in until I get there. Thank you, Lacey.
Lacey Wells : Yeah, hey, uh, listen, social services... They're...they're not gonna bring kaylee back here, are they?
Lisbon : No.
Lacey Wells : I-i love her and all, but I'm not-- i-i couldn't...
Lisbon : Don't worry. They're not gonna bring her back here, okay?
Lacey Wells : She's goes somewhere okay, though, right? I mean, they'll-- they'll take care of her good?
Lisbon : Yes. They try.
Lacey Wells : She's a good kid, so...

Rigsby : Hey. Where you going?
Preciado : To make the bust. What do you think? Cover the back.
Rigsby : Wait.
Preciado : What? Oh, you guys wanna help or you gonna stand there and pick your nose?
Rigsby : Come on, guys. Play nice. This is a joint operation. We go in together when our boss and the entry team get here.
Preciado : Unh-unh-unh. This is our arrest. Always has been, and we got no time to wait for your mommy.
Cho : Hey, there's always time, all right? Let 's do this right. Go in too quickly, and someone will get hurt.
Preciado : This is real police work, sonny. People get hurt. Go push some paper.
Rigsby : Real police work? You mean like protecting a state's witness
Cho : Rigsby, hey, hey. Walk away. Walk away. Look at me. All right? We told 'em not to go in, if this goes south now, it's their necks. We don't want to be involved in any way. Be smart. Let it go.
Lisbon : What's going on? What are they doing?
Rigsby : Blakely and Preciado wouldn't wait for the entry team. Tried to talk to them. They wouldn't listen.
Cho : They're out for blood.
Cops : Don't move, cops.
Cho : Get on your knees right now.
Rigsby : Let's see your hands.
Preciado : That's our bust. Hand him over.
Lisbon : The hell we will. Walk away.
Blakely : Hey, calm down.

Lisbon : Yes, we get it. You're very calm and in control, rick... For a man being questioned in a double murder investigation.
Rick Carris : I didn't do this thing. Although, I've been sat in this frickin' chair so many times, this is kind of restful.
Cho : That's right, isn't it? Many times. "Assault, possession, intent to distribute."
Lisbon : This trafficking case coming up--that's three now for you.You get nailed, you're in for life.
Cho : That's a long time.
Lisbon : All on the testimony of joe purcell.
Rick Carris : Look, it's no secret joe purcell's death. Was a huge boon for me, man. Come on, it was huge. And I gotta confess, I was really starting to feel that life sentence breathe down my neck, but you know what? I got angels, man. I got fierce angels on my shoulders.
Cho : Are you a man of your word, rick?
Rick Carris : I am.
Cho : You do what you say you'll do?
Rick Carris : Look, I know where this is going.
Cho : This is from purcell's answering machine
Rick Carris : Hey, joe. You're a dead man. Dead. I'm gonna do you my own self. I'm gonna look you in the eye and cut your heart out and shove it down your throat, you mo
Lisbon : That is you, isn't it?
Rick Carris : Hyperbole is lost on some people.
Cho : We think you kept your word, rick. You found patrice. You followed her to joe purcell hiding at the motel. You killed him and that young girl just to stay out of prison, just like you said you would.
Rick Carris : No, I said I was gonna cut his heart out and feed it to him
Lisbon : Poetic license.
Rick Carris : Nuh-unh. No, if I had found him, I'd have kept my word. Believe me, and I was looking for him. That's how you know it wasn't me, man. All right, maybe I wouldn't have cut his heart out or nothing, but I definitely would have cut him. I mean, I've got a reputation to consider.
Cho : Where were you last night?
Rick Carris : A bar I own, Del's avern.
Cho : Until when?
Rick Carris : I don't know. 11:30, maybe.
Cho : Anyone with you?
Rick Carris : Oh, yeah. Sasha.
Cho : Sasha. Sasha have a second name?
Rick Carris : Sasha the cocktail waitress.
Cho : One young lady in your employ. That's not much of an alibi.
Rick Carris : It's not much of a case, man.You got no murder weapon and you got no witnesses. So you can kiss my ass, unless you want to get a sun lamp in here and a couple of beers. I'll be happy to kick back and listen to you guys waste your frickin' time.
Lisbon : I guess I'll just hand you over to the Davis P.D. They're very anxious to talk to you.
Rick Carris : All right. Whatever. Look, I want to talk to my lawyer now, please.
Lisbon : Okay. So we're done here.

Jane : Food's here.
Van Pelt : Hawaiian? Cho hates pineapple.
Jane : Well, he can take it off, can't he?
Van Pelt : Yeah, I guess. I don't complain when he and rigsby order mexican.
Jane : What is it you don't like about mexican?
Van Pelt : Cilantro. I can't stand it. But I don't make a fuss.
Jane : Oh, you don't, do you? Why is that?
Van Pelt : Sometimes you have to go along to get along.
Jane :Well, it's nice to be nice, but if you want to get ahead in life, sometimes you have to be a bitch. I know you know how.
Van Pelt : Gee, thanks.
Jane : It's all about the balance, grace. Yin—yang. Nice—bitch. A little bit of bitch inside the nice, a little bit of nice inside the bitch.
Van Pelt : Yeah, I'll work on that.
Jane : Keep 'em guessing.

Cho : There's pineapple on it.
Van Pelt : You can take it off.
Cho : I'll know it's been there.
Rigsby : So carris was at Del's Tavern. Sasha the cocktail waitress says she was with him At his residence at 12:45 A.M. When the motel shootings took place.
Cho : She's confident about the time frame because they were having sex with the tv on. And it was the scottish guy talking to that actress who married the country singer.
Rigsby : Carris would have got someone else to do the dirty work for him anyway. He was only boasting when he said about how he's gonna rip out Purcell's heart himself. He's a drug dealer, not an aztec.
Jane : That's good. Not an aztec. You're right. Carris isn't responsible for these murders.
Cho : Why not?
Jane : He told you himself, it's not his style. He wouldn't have had the patience to watch and follow Patricia until she led him to Purcell. And if he had found her, he would have just jumped right in and hurt her until she gave Purcell up.
Lisbon : Just for the sake of argument, let's assume you're right
Jane : Yes, I'm saying that maybe Patricia Matigan was the target.
Lisbon : That's the second time you said that.
Jane : Well, Patricia she was an attractive young woman, but didn't work and had a regular supply of money from somewhere...
Cho : Boyfriend.
Jane : And was able to make a very serious drug charge disappear.
Rigsby :Cop boyfriend.
Jane : Skinny cop boyfriend with dark hair that drives a blue car, if you listen to Lacey Wells.
Van Pelt : Detective preciado is skinny with dark hair.
Jane : He had crossed my mind. And a hot-tempered man, as we now know, who probably carries what, a .38?
Rigsby : Yeah.
Jane : Yeah.
Rigsby : I think he does. Yeah.
Van Pelt : Joe and Patricia were shot with a .38.
Cho : Yes, they were.
Lisbon : Slow down. What's his motive?
Rigsby : Well, it's a simple crime of passion, isn't it. He comes upon the woman he loves with another man. Kills them both.
Van Pelt : Oh, damn. He couldn't have been that surprised. She had joe purcell's baby.
Jane : How is she? The baby.
Van Pelt : Uh, fine, I guess. I mean, she's a baby. Keep 'em warm and fed, they're happy.
Cho : Let's go have a chat with Preciado.
Lisbon : We're already in hot water with the Davis P.D. We need to be sure we're right, find out the facts and then act.
Rigsby : Yes, boss.
Lisbon : Let's see if Patricia really did dodge a possession charge at christmas and let's make sure the story about the accident money is bogus. Then we'll go to the friend, Lacey, and we'll show her pictures. If she i.D.S Preciado as the man she saw, and if Preciado drives a blue car and if he carries a .38, we'll go, and we'll talk to him.
Van Pelt : Preciado owns a blue car.
Cho : May I have your salad?

Preciado : Oh, gladys knight and the pips. You brought our prisoner back?
Lisbon : Detective preciado, we need to sit down with you for a while. We have a few questions for you. Preciado : What questions?
Rigsby : That's a .38 you carry, isn't it?
Preciado : You trying to say it was me? You miserable sons of bitches. Where the hell do you get the nerve--
Blakely : Hold on, steve. Cool it. Let me handle this
Preciado : No. No, this one's mine. Where the hell do you get the nerve to come up here in my town, talking to me like that? What weapon do I carry? Kiss my ass.
Lisbon : The california state constitution. We've come to you out here out of respect. We could have found you in the police station and made a fuss.
Preciado : You should be glad you didn't.
Rigsby : No, you should be glad we didn't.
Preciado : You have nothing on me.
Lisbon : We can put you with patrice. Her roommate, lacey wells, i.D. 'd you from a photo.
Cho : Come have a quiet talk with us clear up a couple of things, no big deal.
Blakely : What couple of things?
Lisbon : This doesn't concern you, detective.
Blakely : Excuse me. He's my partner.
Preciado : Leave it alone, dale. Just leave it. I can handle this. Let's go.

Jane : Good--good to meet you again.
Preciado : What's the matter with him?
Lisbon : How well did you know patrice matigan?
Preciado : Let's not screw around here. Just tell me what you have, cop to cop.
Lisbon : Cop to cop? We know you were giving her money. We know she got off of a meth bust last christmas. Evidence was lost, right? From the davis p.D. Lockup?
Preciado : Happens.
Lisbon : We figure you took it.
Preciado : That's what you figure.
Lisbon : Yes, and we could dig in and prove it, but I don't wan to spend any time doing that. I'd rather just talk straight with you, avoid dragging other good cops into this mess, right?
Preciado : Go on.
Lisbon : We figure you and patrice were having a sexual relationship.
Preciado : She was... She was a confidential informant.
Lisbon : We considered that, but then she'd be on file, right? And you would have put in for the money as a c.I. Expense, but you didn't do that, did you? Why? My guess-- because you're an honest man.
Preciado : Yeah. Sure. Okay. I was banging her. So what?
Lisbon : Did you know she was also in a relationship with your missing witness?
Preciado : We had a business relationship. I paid her for sex I didn't know or care what she did when I wasn't there.
Lisbon : You paid her a lot of money. A lot. Good-looking man like you, there had to have been more to it than that. Did she have something on you?
Preciado : Well, she was punctual and clean and didn't say much I like that in a woman.
Lisbon : Did you know your man joe purcell was the father of her child?
Preciado : No.
Lisbon : A lowlife junkie dealer with your woman-- How'd that make you feel?
Preciado : Couldn't care less.
Jane : Do you, uh, want the rest of my sandwich? I can't finish it.
Preciado : What?
Jane : It's good sandwich. Try it. Good sandwich.
Preciado : What is wrong with him?
Lisbon : Where were you at 12:45 a.M. Monday morning?
Preciado : I was at my partner's. We watched the game. I was too drunk to drive, so I slept on the couch.
Lisbon : At blakely's? Just you and him?
Preciado : And his wife.
Lisbon : Do you have your weapon on you?
Preciado : Yes, I do.
Lisbon : Mind if we borrow it for a while, have ballistics take a look at it? Look, I don't want to have to make this official, talk to a judge or anything. Once we do that, the cat's out of the bag for good. If you're clean on this, here's the way to prove it. Is this the only .38 in your possession?
Preciado : Yes, it is. And if you try to hold my hand again, I'm gonna tear your arm off and beat you unconscious with it. Get me?
Jane : Gotcha.

Lisbon : Well?
Jane : You know, it's just funny what bad liars cops are. I guess they're not used to concealing themselves under questioning.
Lisbon : I'm a cop, and I lie to you all the time. You never catch it.
Jane : Well, sorry to burst your bubble, but you're translucent, my dear. I always know when you're lying. Sometimes I let you think you fooled me just so you don't feel bad.
Lisbon : Name one time.
Jane : Mm. Last thanksgiving you said you were going back east to your brother's house, but I knew you were actually planning on having three days at home alone to watch old movies and eat ice cream.
Lisbon : Okay, so that's one time. What about preciado?
Jane : His stress pulse rate was thready, dishonest.
Lisbon : Thready?
Jane : Hard to describe pulses. Uh, a dishonest pulse feels different to an indignant pulse. In this case, hard to say what he's lying about exactly, but he was signaling deception from first to last. There's something off about his whole story. Where are we going?
Lisbon : To the zoo. They have new tiger cubs
Jane : Oh. Liar.
Lisbon : Oh, very good. I'm gonna go and speak with blakely.
Jane : Blakely's not gonna tell you anything.
Lisbon : Nah, blakely's old-school. He'll back his partner to the moon, but his wife might be less steadfast. I'll keep the husband in the office while you go and talk to the wife.
Jane : Ah. Sweet.

Sam Blakely : What is it?
Jane : Patrick jane, cbi.
Sam Blakely : Yeah, uh, what is it?
Jane : I'd like to speak with katherine blakely. Sam? Officer sam blakely?
Sam Blakely : Yeah. Uh, now isn't very convenient. Uh, if you want to speak with her, you should call and arrange something.
Jane : Yes, I was just passing by. That's a shame, sam I really did need to speak to her.
Katherine Blakely : Who is it, sam?
Jane : Cbi, ma'am. Murder investigation.
Katherine Blakely : Murder investigation?
Jane : The purcell-matigan killings?
Sam Blakely : The couple I found.
Katherine Blakely : Oh, my lord. Yes. Terrible thing. That poor little baby. Well, I'll--i'll leave you to it then.
Jane : No, ma'am. It's... You that I wish to speak with.

Katherine Blakely : I am so proud of my two policemen. There are three generations of davis law enforcement in this family. Three. When people see the blakely name in davis, they know that it stands for something.
Sam Blakely : Cripe sakes, ma. It's enough.
Katherine Blakely : Oh, he hates me bragging on him. So tell me, why on earth do you want to ask me about these killings?
Jane : Officer blakely, could we have a moment alone, please?
Sam Blakely : It's okay.
Jane : It's kind of confidential stuff, ma'am.
Katherine Blakely : Well, go on, sam.
Sam Blakely : I don't think I should, mom. Dad wouldn't like it.
Katherine Blakely : Well, you're not your dad. Just give us a moment. Go on. Sam was so upset that night. It was his first time coming up on a killing. Poor thing. I remember the first time dale caught a bad call. We were newlyweds, and he came home and he actually cried. Tried to hide it. But I told him and I told sam That there is no shame in feeling sad.
Jane : There isn't.
Katherine Blakely : You've experienced the same thing, no doubt. Death is part of the job.
Jane : Yes. Yes, it is.
Katherine Blakely : Sorry. Rambling. What did you wanna talk to me about, mr. Jane?
Jane : Ma'am, your husband's partner, detective preciado, is a person of interest in the case.
Katherine Blakely : Steve? No.
Jane : He said that he was here at your house, sleeping on your couch, at the time of the murders. That was 12:45 a.M. Monday morning. Was he here?
Katherine Blakely : Yes. Yes, he was. He--he stayed the night. Why would you be interested in steve? He's such a straight arrow.
Jane : He said that he was having an affair with patrice matigan.
Katherine Blakely : Steve preciado?
Jane : Yes. Why not?
Katherine Blakely : Uh, I don't know. It--it--it just doesn't seem likely.
Jane : Katherine, you're hiding something. This is a state investigation. You're obligated to tell me the truth.
Katherine Blakely : Well, you have to promise that you will not say it was me who spoke of it.
Jane : I won't tell a soul.
Katherine Blakely : Well, dale says that steve has a problem, you know... Down there?
Jane : Down there. There's pills for that now.
Katherine Blakely : Yes. No. He's a hopeless case, apparently.
Jane : Well, that's strange. That's very strange, 'cause he's the one that told us he was having an affair with patrice.
Katherine Blakely : Oh, well, knowing steve, I'm sure he was lying to protect his machismo or protecting someone else. Oh. I-i'm so sorry. How stupid of me.
Jane : No, it's--it's...
Sam Blakely : What happened?
Katherine Blakely : Nothing. It--it's just a little accident.
Sam Blakely : What did you say to her, huh? What do you--what have you done?
Katherine Blakely : He's done nothing. Your father...
Sam Blakely : My father? What? What did you tell her?
Katherine Blakely : You knew. You knew that's who she was. That's why the two of you have been whispering in corners and acting so strange.
Sam Blakely : No, ma. You got it all wrong. You don't understand. Dad wasn't having an affair.Dad, mom thinks that--
Katherine Blakely : What, sam? What do I think? You swore on his life. You swore on your son's life you would never betray me again!
Blakely : Come inside, hon I'm gonna tell you the truth, just not out here.
Katherine Blakely : Oh, no. Not out here. You're dale blakely. You're one of the good guys.
Blakely : Get in the house now!
Jane : Detective blakely... Uhh!
Blakely : Ooh! Shut your mouth.
Lisbon : You okay?
Jane : Assault. Assault.
Lisbon : I would rethink this new technique of yours.
Jane : Yeah, yeah, yeah. I can't disagree.

Minelli : Now we're arresting them. Hooray.
Lisbon : We have the right. He assaulted jane, and he looks good for the murders.
Minelli : Before you charge a cop with murder, you better loo better than good. You better look like the damn mona lisa.
Lisbon : Yes, I hear--
Minelli : Because if you're wrong, we will have no murder suspect, the attorney general will have no narcotics case against carris, and we will have wrongly arrested a distinguished veteran officer in his home jurisdiction.
Lisbon : Yes, boss.

Cho : What was the nature of your relationship with patrice matigan?
Blakely : I was helping her out.
Cho : Helping her with close to 1,000 bucks a month. That's a lot of help.What did she give you in return?
Blakely : Nothing.
Cho : Okay. What story did you tell your wife about the money?
Blakely : I... Got nothing left to say.
Cho : How were you making ends meet? Did you maybe take a little drug money now and again?
Blakely : I never took a penny. Not a damn penny.
Cho : So I guess if patrice started asking you for more money, you'd have been hard-pressed, right?
Blakely : Get me a lawyer.
Cho : I'll set that up for you. Oh. Where's your service revolver? Agent rigsby tells me you didn't have it with you.
Blakely : It was stolen.
Cho : Yeah?
Blakely : Yeah, from my car.
Cho : Okay. It's no problem. It happens. A .38, was it?
Blakely : That's right.
Cho : I'll get you that lawyer.

Jane : He's not gonna talk. Poor soul.
Lisbon : He made his bed. He can lie in it.
Jane : You know, I never really understood that one. Just 'cause someone makes their bed, Why do they have to lie in it? What's to stop them from lying in another bed or on the floor, for that matter?
Van Pelt : Sam blakely's here.
Lisbon : I'm on it.

Lisbon : Officer blakely, thanks for coming.
Sam Blakely : I got no choice. You have my father locked up.
Jane : Is your mother okay?
Sam Blakely : Don't worry about my mother. My father is innocent.
Jane : We know that.
Sam Blakely : You people are making a big--what?
Jane : We know your father didn't do it.
Lisbon : This is from the security cameras in the liquor store in front of the motel. We finally got to look at it today.
Van Pelt : This is at 12:40 a.M. That's patrice matigan's car arriving. And that is rick carris' man.
Jane : We misjudged carris. He found patrice, had a man follow her.
Sam Blakely : You can see his license plate right there. Can you make that bigger?
Van Pelt : Yes, we can. We know who it is. A thug that works for rick carris named q-tip.
Jane : But get this. Carris says q-tip didn't kill him. Q-tip went to kill joe, but he got there too late. Someone else got to him first.
Sam Blakely : Well, that's gotta be a bunch of bull.
Lisbon : Carris says his man q-tip actually saw the real killer, saw the whole thing. So carris is offering us a deal. If we let him out, his man q-tip will tell us exactly what he saw, i.D. the real killer.
Sam Blakely : And you believe him
Jane : Of course not. It's a transparent con. Q-tip killed him all right. Carris is just trying to save his skin by laying the blame elsewhere.
Lisbon : On your father probably. He must have known about his connection to patrice. So we're gonna play along, let the shooter come to us. Carris has set up a meeting with q-tip tonight. So we'll grab up q-tip and work him until we get the real story.
Sam Blakely : So, uh, what do you need me for exactly? If this is gonna work,
Lisbon : I can't have a whole bunch of angry davis p.D. Swarming all over carris and his crew. And the cbi is kind of unpopular with you guys right now.
Sam Blakely : Yes, you are.
Lisbon : So... We were hoping you'd have a quiet word with your chief, let him know what we're up to.
Sam Blakely : Well, knowing the chief, he's gonna want to know the details, um, when and where you're gonna be meeting this q-tip and what personnel you got operating undercover.
Lisbon : Sure. But this needs to stay close between you and the chief. We don't want to spook carris.
Jane : He thinks he's playing us for a bunch of idiots.
Sam Blakely : Mm. I understand.

Lisbon : Okay, team. Let the games begin. Carris is on his way. He's gonna make the call when he makes the meet with q-tip. Be ready to act fast. Clear?
Van Pelt : Got it.
Sam Blakely : Okay.
Cho : Roger that.
Lisbon : The warehouse is on fifth and geary. Loading dock in the back. Q-tip's in the same car he was on the tape. California plate 5-nora-tom-queen-9-5-7. Be there in ten minutes.
Cho : Ten minutes? I can't get to fifth and geary in ten minutes
Lisbon : Well, do your best.
Van Pelt : On our way. E.T.A. To geary and fifth--12 minutes.
Lisbon : Damn it. He won't wait that long.
Jane : Officer blakely, are you closer to fifth and geary? Officer blakely? Sam?

Van Pelt : Blakely, drop the gun!
Rigsby : Drop it!

Sam Blakely : Carris never made a deal, did he?
Jane : No. We, uh, edited the surveillance footage. Q-tip was just some guy that happened to walk up to the motel at some point, And, uh, van pelt she laid in the license plate with, uh, photoshop.
Sam Blakely : That's clever. Kudos to you guys.
Lisbon : We know you're a decent man, sam. We know you didn't mean for things to go down like this. Just tell us what happened.
Sam Blakely : I got nothing to say.
Lisbon : There's no use in hiding anything now.
Sam Blakely : There's no use in explaining either
Cho : Mm. Take a seat, detective.
Blakely : Thank you. Son.
Sam Blakely : Dad.
Blakely : Well, there's--there's always a reckoning. This is it. Just... Just tell them the truth.
Sam Blakely : The truth, huh? Tell the truth no matter what. That's the mark of a man, right, dad? Tell the truth. A man has his honor and his word, and that's it.
Blakely : Don't go over the same ground for god sake. Just give 'em the facts.
Sam Blakely : You want the facts? Okay. Mom suspected that dad was having an affair. Well, I asked around on the street. Pretty soon I hear that he's keeping this girl, Patrice matigan, on the side. I was mad as hell. You gotta understand. This integrity crap was banged into me my entire life. Right, dad? Honesty, honor, family-- banged into me, and then all this time, he's keeping a whore on the side? No. Never. I went and I asked him if it was true, and he said no. I knew he was lying to me. I knew it. So sunday night i... Went back to find the truth. I thought, for sure, she was gonna meet dad.

Sam Blakely : And she went to the store, went to a motel. I thought, "aha, I got him now." Purcell must have thought I'd been sent by carris to kill him. I had no choice.

Sam Blakely : I panicked. I drove away. And dispatch called, sent me right back to the motel. I was the closest unit. What was I gonna do? Refuse the call? I had to take it.
Jane : There's always a reckoning. Patrice wasn't your mistress, was she?
Blakely : No. She was my daughter, Sam's sister. How did you know?
Jane : Sam told his mother you weren't cheating on her. I believed him. But then who was patrice? Who was she to you? And why all the secrecy? I just figured she had to have been your daughter.
Blakely : I never knew patrice existed until four years ago. Her mother was dying. So... She got in touch, told me I had a 16-year-old child I never knew about. Blew my mind. Just... Oh, blew my mind. You know, I wanted to tell katherine the truth, but... Y-you know, i... Oh, my god. I couldn't do it. I just couldn't hurt her like that.
Jane : Does she know now?
Blakely : Yeah, she knows. She knows.

Katherine Blakely : Sorry. Busy right now.
Jane : Katherine, it's patrick jane. Can you open the door?
Katherine Blakely : I can't.
Jane : You can and you will. I have something I need to give you. This is kaylee, your granddaughter, kind of. Here. She's very fond of cheerios. That's, uh, that has nothing to do with me. And she likes to take her big nap at 2:00.
Katherine Blakely : But--what?
Jane : You're all she has. Social services will be along later to get the paperwork signed. The name kaylee doesn't really suit her, if you ask me. If you want to change it, I'm sure no one will make a fuss. Oh. Oh. Hey. You might need those. Bye.

 

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