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#311 : Envoyée au tapis

L'équipe enquête sur une affaire où une femme ayant des liens avec la lutte professionnelle est assassinée. Pendant ce temps, LaRoche a trouvé une nouvelle personne qui a retenu son intérêt dans son enquête : Rigsby.

Screencaps

Avis de Télé Star : Par manque de punch, cette incursion dans le milieu des sports de combat paine à maintenir l'intérêt.

 

Popularité


3.73 - 11 votes

Titre VO
Bloodsport

Titre VF
Envoyée au tapis

Première diffusion
06.01.2011

Première diffusion en France
05.10.2011

Vidéos

Trailer long CBS

Trailer long CBS

  

Plus de détails

Scénario   Eoghan Mahony
Réalisation   Roxann Dawson
Avec  

Pruitt Taylor Vince (J.J. LaRoche)
Rey Valentin (Manny Flacco)
Vasili Bogazianos (Len Artash)
Sherman Augustus (Suge Lima)
Jake McLaughlin (Rowdy Merriman)
Jaimi Paige (Charlotte Mitchell)

Audience US : 14,88 millions de téléspectateurs (2.9%)

Audience Fr : 9,84 millions de téléspectateurs

Mixed Martial Arts Contest – Gakland Californie.

Wayne Rigsby et une jeune femme assistant à un match de boxe. La jeune femme se lève et profère des encouragements très vifs. Cela ne semble pas plaire à Rigsby.

Une femme poussant un chariot avance dans un couloir. Elle s’arrête quand elle voit des tâches au sol. Elle touche et se rend compte qu’il s’agit de sang.

La jeune femme assise à côté de Rigsby lui demande s’il a frappé beaucoup de mecs. Elle lui dit que ça l’exciterait de le voir frapper quelqu’un.

La femme dans le couloir suit les traces de sang.

Les deux hommes continuent à se battre. Alors que la femme ouvre un placard dans lequel se trouve une jeune femme ensanglantée un des deux hommes tombe à terre KO.

Un homme reconnaît la morte il dit qu’elle s’appelle Charlotte Mitchell et qu’elle était écrivain. Lisbon demande à Rigsby de prendre les dépositions de tous les gardes, les fournisseurs ainsi que les agents. Elle demande aussi à Rigsby de savoir qui a accès aux coulisses. Rigsby pense qu’il doit y avoir une centaine de personnes.

L’homme se retourne vers Lisbon et lui dit qu’il ne possède pas l’endroit. Il dit qu’il a juste fait de la pub pour le combat rien de plus. Charlotte Mitchell écrivait un bouquin sur le combat et sur son gars Manny Flacco et Rowdy Merriman. Rigsby annonce qu’il a reçu le rapport initial du légiste. Charlotte a reçu 2 balles à bout portant. Son sac à main, argent, bijoux rien n’a été pris ou touché. L’heure du décès estimée est 20h30, 21h30. L’homme dit que ça correspond au milieu du combat. L’homme ajoute que durant le combat Charlotte Mitchell devait être assise à côté de lui mais qu’elle n’est pas venue. L’homme demande à Jane pourquoi il le fixe ainsi. Jane lui dit qu’il ne le fixe pas mais qu’il pensait à autre chose. Jane dit à l’homme qu’il s’appelle Leonard Artash, organisateur. Jane propose d’aller discuter avec les compétiteurs. Jane dit qu’il ne s’agissait pas d’un vol, ni d’un acte sexuel donc que ça a quelque chose à voir avec le combat. Artash dit que les deux combattants étaient dans la cage donc ça les exclus.

 

Manny Flacco est dans sa loge. Un homme le félicite et lui dit qu’il a été fantastique. Jane et Lisbon entrent et son accueillis froidement. Manny n’est pas au courant et c’est Lisbon qui lui apprend le décès de Charlotte. Manny est surpris. Manny n’est pas content de ne pas avoir été informé. La femme présente ainsi que son entraîneur lui disent que c’était pour son bien et pour le protéger. Jane demande à Manny s’il aimait Charlotte. Il lui dit que oui comme tout le monde. Jane quitte la pièce mais Lisbon reste car elle a encore quelques questions à poser.

Jane avance dans un couloir. Un homme imposant lui dit qu’il ne peut pas entrer. Jane l’hypnotise et entre quand même. Jane entre dans une pièce dans laquelle se trouve Rowdy le perdant. Il lui déclame quelques vers de Nitzche. Rowdy lui demande qui il est. Jane montre sa carte du CBI et dit qu’il enquête sur un meurtre. Rowdy n’en a que faire.

Il dit que Manny n’aurait jamais pu gagner si l’arbitre n’avait pas été de son côté. Il dit que Manny lui a donné des coups de tête tout le long du combat ce qui est interdit. Puis Rowdy demande qui est mort. Jane lui dit que c’est Charlotte Mtichell. Rowdy dit que du coup il n’y aura plus de livre. Il demande si elle a été violée car il dit qu’elle était plutôt bonne. Jane commence à partir puis se retourne : il dit à Rowdy que soit il est un manipulateur qui est en train de cacher sa complicité dans cette affaire ou alors il est un débile profond. Jane demande lequel des deux. Jane ouvre la porte et se met à courir car Rowdy le poursuit. Jane passe devant Lisbon. Elle demande aux hommes de le laisser tranquille car il est policier.

 

Au CBI, Van Pelt apporte le rapport de la balistique à Lisbon. Les impacts et strillent trouvées sur la balle indiquent que le pistolet utilisé pour tuer Charlotte Mitchell a aussi servi dans un meurtre datant de 2001. L’arme n’avait jamais été retrouvée. Le meurtrier était un homme dénommé Joe Reyes. Il est sorti il y a huit mois. Une sortie anticipée. Lisbon demande à Van Pelt d’aller avec Rigsby interroger Reyes. Lisbon va aller voir le père de Charlotte. Van Pelt dit que Rigsby est occupé avec LaRoche qu’il l’interroge.

LaRoche explique à Rigsby : Todd Johnson un suspect a été tué alors qu’il était enfermé par le CBI. Rigsby répond : « Oui le tueur de flic, brûlé vif dans sa cellule ». LaRoche dit qu’il voulait juste avoir l’avis de Rigsby sur quelques trucs. Il demande à Rigsby s’il enquêtait sur les incendies avant de venir au CBI. Rigsby répond que oui à San Diego. LaRoche demande à Rigsby s'il s’y connaît en accélérateurs de combustion. Rigsby dit que oui. Et demande : liquide ou solide. LaRoche lui dit utilisés en ajoutant du Xylène. Rigsby avoue que c’est terriblement efficace.

LaRoche demande ensuite des renseignements sur le système d’alerte incendie. Rigsby dit qu’il y a une partie qui serait facile à désactiver une autre moins. LaRoche lui demande si il pourrait le faire. Rigsby dit qu’effectivement il pourrait. Rigsby demande à LaRoche si il l’accuse. LaRoche lui demande si il avoue. LaRoche ouvre le dossier de Rigsby et dit « Votre père est Steven Robert Rigsby ». Rigsby demande ce qu’il a voir là dedans. LaRoche dit « il était affilié au gang de motards Iron Gods. » Le père de Rigsby s’est livré à plusieurs méfaits : vol, stupéfiants, agression, homicide. LaRoche dit qu’il a tout à fait le profil. Rigsby répond qu’il n’a rien à voir avec son père, qu’il ne le plus parle plus et qu’il ne sait pas où il se trouve. Lisbon fait irruption et semble très mécontente. Elle dit à LaRoche qu’il devait l’informer quand il interrogeait un des membres de son équipe. LaRoche répond que ce n’est pas une obligation juste une faveur qu’il accorde occasionnellement. Lisbon rétorque que dans le futur elle lui demande de lui accorder cette faveur. LaRoche remercie Rigsby qui se lève et quitte la pièce.

Rigsby et Van Pelt se rendent au Community Worship Service. Reyes officie et accueille Van Pelt et Rigsby. Rigsby sort sa plaque et demande à l’homme s’il est Joseph Reyes. Il apprend qu’une jeune femme a été tuée avec l’arme que lui-même avait utilisée en 2001. Reyes dit ne pas connaître Charlotte Mitchell. Reyes dit qu’il n’a plus l’arme car il l’a donnée à une amie de l’époque. Reyes ne sait pas ce que cette amie a fait de l’arme puisqu’il ne l’a pas revue depuis son arrestation. Cette femme s’appelle May Dawn. Reyes ne connaît pas l’adresse de May.

Jane et Lisbon sont à la résidence de Tom Mitchell le père de Charlotte. Tom Mitchell visionne une vidéo sur laquelle se trouve sa fille. Cette vidéo correspond au premier article publié par Charlotte dans un journal. Tom explique que sa fille Charlotte était une bonne personne. Jane demande s’il peut jeter un coup d’œil dans la maison. Tom dit qu’il s’est excusé auprès de sa fille la semaine passée car il lui avait appris un métier qui se meurt. Lisbon prend les carnets de note de Charlotte. Lisbon retourne avec Tom dans le salon tandis que Jane reste dans le bureau de Charlotte. 

Tom reste sur le canapé à reprendre le visionnage de la vidéo de sa fille tandis que Lisbon va lui chercher un verre d’eau. L’homme pleure et semble accabler par son chagrin. A son retour, Lisbon trouver Tom gisant sur le sol. Elle appelle Jane en lui disant de téléphoner pour une ambulance car Tom fait une crise cardiaque. Elle pratique un massage cardiaque.


Au CBI, Lisbon informe Jane que Tom Mitchell a eut une grosse crise cardiaque. Il est stabilisé mais reste inconscient. Lisbon dit ensuite qu’elle a lu tous les carnets de Charlotte. Elle faisait des recherches à propos des combats arrangés. Lisbon décide qu’il est temps d’aller parler au promoteur Artash pour l’interroger à propos des combats truqués.

 

Jane et Lisbon arrivent et Artash est au téléphone. D’après Artash les arrangements de combat n’existent. Le conseil le découvrirait immédiatement et tous ceux qui seraient impliqués seraient finis. Jane va discuter avec l’ancien entraîneur de Flacco tandis que Lisbon continue de discuter avec Artash.

L’entraîneur comprend tout de suite que Jane travaille dans la police. Jane lui dit qu’il est là à propos de Charlotte. L’entraîneur comprend que la police pense qu’il y a un lien avec le combat car sinon il ne serait pas là. Jane demande l’aide de l’entraîneur pour la mort de Charlotte. Mais celui-ci dit qu’il ne va pas faire son boulot à sa place. Alors Jane lui donne un indice sur le sportif d’Artash. Il lui dit qu’il touche son front juste avant de lancer un uppercut du droit. Et quand il fait son gars devrait faire un pas sur la droite et lancer un crochet. L’entraîneur s’aperçoit que Jane a raison. Il lui dit qu’il a le regard aiguisé. L’entraîneur dit ne pas savoir qui a tué Charlotte par contre il pense que Flacco a une face caché. Il ne sait pas laquelle exactement mais c’est un pressentiment qu’il a. Jane demande à l’entraîneur qui l’a viré de son poste. Il répond juste qu’il vaut mieux que ça.

Cho et Rigsby rendent visite à l’ancienne copine de Joe Reyes. Elle fait traverser des enfants à un passage protégé. Elle dit qu’elle a donnée l’arme à son cousin Bobby. Elle ne sait pas ce qu’il en a fait. Bobby est mort à cause d’une bombe en Irak. Le portable de Rigsby sonne. C’est LaRoche qu’il l’appelle pour savoir quand il serait possible de poursuivre leur conversation. Rigsby lui dit qu’il sera au CBI dans une heure. May ne veut pas que tout ça s’ébruite car dans le quartier où elle travaille personne ne sait rien de son passé de plus elle a deux enfants. Cho et Rigsby prennent congés de May. Cho dit à Rigsby que May était à une réunion le soir du meurtre de Charlotte. Cho trouve que Rigsby a l’air perturbé. Il lui demande si tout va bien et Rigsby lui dit que oui. Il ne lui dit pas que c’est LaRoche qui l’a appelé.

Rigsby se retrouve une nouvelle fois face  LaRoche et ses questions. Celui-ci lui dit que Rigsby a menti quand il a dit ne pas avoir eut de contact avec son père. Son registre de téléphone montre 6 appels de son père entre juin et juillet 2008. Rigsby ne comprend pas la relation qu’il peut y avoir avec la mort d’un tueur de flics.

LaRoche lui dit que c’est un lien indirect. LaRoche dit que des études ont prouvé que la criminalité est un facteur génétique. LaRoche dit à Rigsby que ce n’est pas forcément de sa faute mais qu’il peut avoir une prédisposition à un comportement criminel scientifiquement parlant. Rigsby se met en colère et dit que son père l’a appelé par rapport à une parole de flic. Il ne pouvait pas l’ignorer ni raccrocher. Rigsby dit qu’il avait tout simplement oublié cette conversation. Il se lève et dit à LaRoche qu’ils en ont finis.

Van Pelt retourne voir Lisbon. Elle dit qu’elle a trouvée quelque chose. Un gardien a eut une altercation avec Charlotte Mitchell. Elle essayait de pénétrer dans les vestiaires alors qu’elle n’avait pas de badge lui autorisant l’accès. Elle était en colère et s’est énervée. Le gardien l’a expulsée. Il était à peu près 6h30. Lisbon demandent à Van Pelt à ce que Merriman et Flacco soient amenés au CBI.

 

Merriman arrive avec ses acolytes. Il est accueilli par Cho qui lui dit que ceux-ci devront attendre dehors. Flacco est également présent. Merriman l’insulte et lui dit qu’il a utilisé des bandages en plâtre. Lisbon est avec Mr et Mme Flacco et leur demande de venir avec elle. Mais Merriman continue de proférer des insultes. Les deux hommes sont prêts à se battre. Lisbon s’interpose leur demande de se calmer auquel cas elle sera contrainte de les menotter. Jane arrive avec une tasse de thé à la main. Comme il en rajoute les deux hommes se battent.  

Mr Lima est amené au CBI pour être interroger par Rigsby. Lima ne comprend pas le comportement du CBI envers Manny son poulain.

Merriman est quand à lui interrogé par Cho. Il dit qu’il n’a pas tué Charlotte. Cho dit à Merriman qu’il a des antécédents de violence envers les femmes. Charlotte n’a pas voulu coucher avec Merriman. D’après lui elle était très BCBG. Merriman dit à Cho qu’il n’a rien à cacher. Par contre il affirme que Flacco si et qu’il avait une relation avec Charlotte.


Lisbon interroge Flacco en présence de sa femme après lui avoir demandé si ça ne le dérangeait pas. Lisbon demande à Flacco qu’elles étaient ses relations avec Charlotte. Il répond qu’elle écrivait un bouquin sur lui et Rowdy ainsi que le combat. Cela faisait six mois que Charlotte et Flacco se voyaient pour le bouquin. Lisbon lui demande ce qu’ils faisaient ensemble quand Flacco ne s’entrainait pas. Flacco dit qu’il ne couchait pas avec Charlotte.

Mais sa femme Bea dit que si. Bea dit qu’elle a connu Flacco quand elle avait 13 ans qu’ils sont mariés et qu’ils ont 4 enfants. Elle connaît les femmes et les hommes. Le soir du combat Mme Flacco était en coulisses car elle ne supporte pas de voir son mari se battre. Bea dit qu’elle n’a pas tuée Charlotte. Avant de partir elle conseille à Lisbon d’interroger Floyd Benton car Charlotte allait écrire sur comment il dope ses jeunes poulains à son gymnase.

Lisbon interroge Benton. Elle lui demande où il se trouvait le soir du combat. Il dit qu’il se trouvait au combat. Lisbon lui parle des suspicions de dopage. Benton comprend immédiatement que c’est Bea Flacco qui a parlé de ça. D’après Benton le fait que Charlotte ait découvert cela n’était pas un scoop. Les athlètes se dopent dit-il ! Lisbon dit à Benton que l’usage de stéroïde est un crime. Il lui répond qu’elle n’a qu’à l’arrêter et qu’il ne résistera pas.

Lisbon va voir Jane qui est en pleine réflexion sur le canapé. Elle lui dit que les suspects ont tous un motif et ils ont tous eu l’opportunité. Lisbon dit ne rien avoir trouvé dans les notes de Charlotte. Jane souhaite quand même y jeter un coup d’œil.

 

Reyes vient au CBI. Il dit à Rigsby qu’il a entendu à la télévision que le père de Charlotte avait eu une crise cardiaque. Il veut savoir s’il va s’en sortir. Rigsby dit ne pas savoir car il est en soins intensifs. Reyes semble perturbé. Il dit qu’il a menti. Rigsby lui propose de s’asseoir. Reyes raconte qu’il continue de voir Dawn encore aujourd’hui. Reyes est allé voir Dawn qui lui a raconté ce qu’elle avait dit à Rigsby à propos de l’arme. Reyes dit que ce n’est pas vrai que Dawn n’a pas donné l’arme à Bobby son cousin. Elle a dit ça pour ne pas avoir de souci.

East Oakland en Californie, Cho et Rigsby vont parleer à Frank Lopez. Cho lui parle d’il y a dix ans et de Dawn May qui lui a donné un revolver 9 mm. L’homme dans un premier temps dit ne pas se souvenir, puis il avoue. Mais il dit avoir perdu l’arme suite à une bagarre dans un club. L’homme dit qu’il était ici le soir du meurtre.

Cho demande à Rigsby pourquoi LaRoche désire lui parler. Alors Rigsby dit à Cho qu’il ne lui a pas dit mais il y a deux ans son père l’a appelé car il risquait de voir sa libération conditionnelle annulée  après avoir été vu avec des criminels reconnus. Il risquait 20 ans de prison. Rigsby lu a donc procuré un alibi en disant que son père était avec lui. Mais comme Rigsby était de la même famille, l’agent de probation voulait savoir s’il y avait quelqu’un d’autre avec eux. Rigsby a dit que Cho se trouvait avec eux. Cho ne semble pas très content. Rigsby dit qu’il ne l’a pas fait exprès. Que c’est sorti tout seul mais qu’il ne pouvait plus faire machine arrière. Rigsby dit que sa carrière est fichue si la vérité se sait. Cho comprend que non s’il ment à son tour. Rigsby dit qu’il ne veut pas que Cho mente mais qu’il veut qu’il fasse ce qui lui semble le plus juste. Alors que les deux hommes montent en voiture, Rigsby demande à Cho ce qu’il va faire. Cho répond qu’il ne mentira pas pour lui.

Jane est au CBI et regarde la télévision. Artash parle de Flacco qui va concourir aux mondiaux. Lisbon entre dans la pièce. Jane lui dit de l’accompagner car il va parler à Artash.

Jane demande à Artash où il est né quel était le nom de son père. Puis il demande à Benton le nom de son père. Ensuite il demande à Artash le nom de sa mère. Jane sort un carnet de notes de sa poche ayant appartenu à Charlotte. Les deux hommes disent ne pas le reconnaître. Jane pense que les dernières notes sont une espèce de sténo codée. Jane dit que ça n’a pas d’importance et que le père de Charlotte doit savoir de quoi il s’agit. Jane ajoute que d’après les médecins Tom Mitchell est en train de récupérer et qu’il devrait reprendre conscience d’ici 12 à 24 heures. Ainsi, Tom Mitchell pourra dire ce que racontent les notes de Charlotte ainsi que ce que Charlotte a appris et qu’il l’a tuée. Lisbon dit à Jane qu’elle a lue toutes les notes de Charlotte et qu’aucune sténo ne figurerait dedans. Jane répond juste que c’est étrange.

Cho est à son tour interrogé par LaRoche. LaRoche commence par demander à Cho s’il est exact qu’il a été dans l’armée. Celui-ci lui répond que oui dans les forces spéciales. LaRoche dit donc qu’il comprend ce que c’est que le sens de l’honneur. LaRoche montre à Cho une déclaration de Rigsby dans laquelle il est dit que Cho Rigsby et le père criminel de Rigsby ont passé un après-midi ensemble. LaRoche demande à Cho s’il s’en souvient. Cho lit les déclarations de Rigsby. LaRoche raconte que Rigsby avait commencé par dire qu’il n’avait plus de contact avec son père avant de se rétracter. LaRoche dit que Cho fait partie de l’alibi du père de Rigsby. Il a besoin que Cho lui confirme sa présence ou pas cette après-midi la. Cho regarde LaRoche dans les yeux et lui dit qu’il y était. LaRoche demande alors ce qu’ils ont fait tous les trois cette après-midi. Cho répond juste qu’il ne se rappelle pas. Cela étonne LaRoche. Cho répète qu’il était là. Il le jure. LaRoche met fin à l’entretien.

Cho va voir Rigsby et lui qu’il a confirmé être avec Rigsby et son père. Lisbon les interrompt disant qu’ils doivent se rendre à l’hôpital.

 

A l’hôpital, Cho dit dans son oreillette que tout est Ok dans la chambre de Mitchell que le corridor est OK. Rigsby en salle d’attente dit que tout est OK aussi. Van Pelt voit arriver Reyes. Rigsby dit à Cho qu’il le voit et de lui couper le chemin. Rigsby demande à Reyes ce qu’il fait ici. Reyes est embarqué par Cho et Rigsby.

Un homme qui porte des gants bleus pénètre dans la chambre de Mitchell. Il s’agit de Lima. Il baisse les stores de la chambre.  Puis il se saisit d’un oreiller. Il ouvre le rideau et voit une marionnette couchée dans le lit et intubée. Lisbon pointe une arme en direction de Lima et lui demande lever les mains en l’air. Jane dit que Mr Mitchell a quitté les soins intensifs la veille et qu’il ne manquera pas de lui transmettre ses salutations. Lima dit qu’ils n’ont rien. Jane reconnaît avoir écrit le code en sténo. Charlotte Mitchell a été assassinée pour avoir découvert un secret. Jane devait juste convaincre que le secret n’était pas mort avec elle. Lisbon dit que l’arme devrait convaincre le tribunal. Lima dit qu’ils ont tout faux.

Lisbon et Jane rendent à Mr Mitchell les carnets de sa fille. Jane dit qu’il est désolé d’avoir gribouillé l’un d’entre eux mais c’était pour découvrir l’assassin de sa fille.

Lisbon et Jane vont voir Artash. Celui-ci dit ne pas imaginer que Lima soit un meurtrier. Jane dit que Nargiz qui signifie narcisse est le nom d’une fleur qui est aussi le nom de la mère d’Astash et que c’est le nom qu’il a donné à son club. Jane dit alors que c’est là que Frank Lopez a perdu l’arme de Joe Reyes. 

 

Lisbon dit à Artash qu’effectivement il ne connaît pas les personnes précitées mais qu’elle sait comment il s’est procuré l’arme qui a servi à tuer Charlotte.  Astash doit alors se lever car il est en état d’arrestation. La seule chose que Lisbon ne sait pas encore c’est pourquoi il fallait tuer Charlotte.

 

Au CBI, Lisbon demande à Flacco si il se souvient qu’il y a environ un an il a subi un test sanguin. Flacco s’en rappelle. Les résultats ont montré qu’il était solide comme un roc. C’est Lima qui le lui a dit. Lisbon lui répond que Lima a menti. Lima et Artash on envoyé les échantillons de sang au nom de Lima au lieu du sien au cas où. Les marqueurs ont montré un taux de protéines trop élevé, ce qui témoigne d’un saignement cérébro-spinal. Charlotte Mitchell s’est rendu compte de l’inversion.

Flashback : Charlotte est au téléphone et dit qu’elle sait que le prélèvement était de Manny Flacco et pas de Lima. Elle est au téléphone avec Artash. Elle ajoute que si Manny va dans la cage il mourra. Artash demande de quoi elle parle et où elle s’est procurée les échantillons. Charlotte menace Artash de tout arrêté que sinon elle va le dénoncer. Artash lui dit de se calmer qu’il va tout arrêter. Artash se retourne vers Lima et lui dit qu’ils ont un problème.

Retour au présent : Bea est en colère la vie de Manny a été soumise à des risques. Lisbon dit qu’aucune autorité médicale n’aurait laissé Manny rentrer dans la cage si cela avait été su.

Flashback : Lima discute très violemment avec Charlotte. Elle lui dit qu’elle va tout raconter. Lima l’empoigne et lui tire dessus. La jeune femme s’écroule.

Flacco et sa femme entrent dans l’ascenseur. Bea dit à Manny que ça va aller et qu’ils vont surmonter tout ça.

Jane ne comprend pas pourquoi Lisbon s’en fait pour Flacco. Elle dit qu’il a perdu son gagne-pain. Jane lui dit que de combattre il perd la vie. Et puis Jane pense qu’il a retrouvé son mariage donc c’est un bon deal. Lisbon dit à Jane qu’il est romantique. Jane dit que c’est ce qui fait tourner la terre.

Rigsby vient voir Cho et le dit merci. Cho baisse la tête et ne répond pas. Jane regarde la scène sans trop comprendre ce qu’il se passe.

Fin…

MIXED MARTIAL ARTS CONTEST, OAKLAND CALIFORNIA.

 

Un combat de boxe not limit, beaucoup de monde qui hurle.

(Rigsby, Jeune femme brune)

(Rigsby et la jeune femme brune son assis l’un à côté de l’autre)

 

Jeune femme brune (très excitée, aux boxeurs) : Oui! Frappe-le! Frappe-le encore! Tue-le! Tue ce fils de pute!

Rigsby : Euh, tu veux juste...

Dans un couloir, un chariot, une femme le pousse, en arrière-plan sonore, les cris des supporters du match de boxe. Des gouttes sur le sol, elle s’approche, touche une goutte, du sang.

 

Jeune femme brune : Ouais! Casse ... lui la gueule ...! (Arrêt du combat, pause, round 3)

 

Jeune femme brune (à Rigsby) : Donc... Tu as du frapper un paquet de mecs, hein?

Rigsby : Je suis un flic donc parfois ça arrive avec le boulot C'est seulement pour me défen...

Jeune femme brune : C'est trop sexy. J'adorerai te voir frapper quelqu'un.

Rigsby (embarrassé)  : Oh. Euh, peut-être...

Jeune femme brune (donne des coups de poing dans l’épaule de Rigsby) Oui !

(Rigsby rit jaune. Reprise du combat.)

 

La femme dans le couloir suit la piste des gouttes de sang, remonte jusqu’à un placard de fer ajouré. Ouvre le loquet, découvre le corps sans vie d’une jeune femme qui glisse au sol. Hurlements.

Au même instant le combat se termine par un KO.

 

 

GENERIQUE

3X11 Bloodsport

 

 

Scène de crime

(Len Artash, Lisbon, Rigsby, Jane)

 

Len Artash (à Lisbon) : Charlotte Mitchell était son nom. C'était une écrivaine, écrivant un livre.

Rigsby : Je viens d'avoir le contrôle de la scène du crime. Ça va être une sacré liste de suspects.

Lisbon (à Rigsby) : Prenez les dépositions de tous les gardes, les fournisseurs et les agents. Découvrez qui a accès aux coulisses.

Rigsby : Ça marche. Ils doivent être au moins cent.

Len Artash (à Lisbon) : Regarde, euh, juste pour qu'on soit clair, je ne possède pas cet endroit. (Jane accroupit près du corps lève les yeux et regarde Len Artash fixement.) J'ai juste fait de la pub pour le combat. Je n'ai aucun lien avec cet endroit.

Lisbon : Quel était votre lien avec Charlotte Mitchell?

Len Artash : Elle écrivait un bouquin sur ce combat, sur mon gars, Manny Flacco, et Rowdy Merriman. Elle disait que c'était un... Microcosme ou un truc. Je… J’ai imaginé que c'était un truc de relations publiques, Manny est bon en relations publiques. C'est le genre de petit qu'il est.

Rigsby (qui revient près de Lisbon) : J'ai reçu le rapport initial du légiste... 2 balles, à courte portée. Son sac à mains, argent, bijoux tout est intact. Heure de décès estimée... 20:30, 21:30.

Len Artash : C'était en plein milieu du combat.

Rigsby (le téléphone de Rigsby sonne il s’éloigne pour répondre) : Excusez-moi.

Lisbon : Quand avez-vous vu Mlle. Mitchell pour la dernière fois ?

Len Artash : On était supposé s'asseoir côte à côte durant le combat. Elle n'est pas venue. (à Jane) Monsieur... Pourquoi vous me fixez comme ça ?

Jane (se relève, remet en place sa veste) : Je vous fixais ? Oh, je suis désolé. Je pensais à autre chose. C'est Charlotte Mitchell ? Et vous êtes... Vous êtes Leonard Artash, organisateur. Allons discuter avec les compétiteurs, alors?

Lisbon : Vraiment ?

Jane : Rigsby vient de nous dire que ce n'était pas un vol. On sait que ce n'était pas sexuel. Il apparaît que c'était de sang-froid, donc pas un crime passionnel. Qu'est-ce que ça nous laisse ? Je parierais votre retraite que ça a quelque chose à voir avec le combat.

Len Artash : Mais Manny et Merriman étaient dans la cage durant le meurtre.

Jane (à Len Artash) : Vous êtes détective ?

Len Artash : Non.

Jane : Bien.

 

Dans un vestiaire.

Un homme remet en place sa cravate devant un miroir. Du champagne, du monde pour fêter la victoire.

(Suge Lima, Manny Flacco, Beatriz Flacco, Lisbon, Jane)

 

Suge Lima : Vous avez été fantastique là-bas. Le traiter comme si il était de la bouffe pour chien. Vous allez être champion du monde. Vous m'écoutez ? Champion du monde! Lisbon et Jane entrent dans le vestiaire.

 

Bea Flacco : On doit s'occuper de ça maintenant ?

Lisbon : Oui, m'dame, maintenant.

Manny Flacco : Quel est le problème? Qui est ce ?

Bea Flacco : Des flics.

Suge Lima (s’avance vers Lisbon et Jane) : Oh, allez. Ça peut pas attendre? Laissez le gamin apprécier sa victoire. Vous pourrez lui parler après qu'il ait vu le docteur.

Manny Flacco : J'ai pas besoin de docteur.

Suge Lima : Hé, mieux vaut prévenir que guérir, non ?

Bea Flacco : Manny n'a rien avoir avec ça.

Manny Flacco : J'ai rien à voir avec quoi ?

Lisbon : Charlotte Mitchell a été tuée plus tôt dans la soirée.

Manny Flacco : Charlotte a été assassinée? Oh mon Dieu.

Suge Lima : Reste calme. Ne t'excite pas.

Jane : Elle a été retrouvée tuée par balle dans un couloir de service en dessous de l'arène. Pendant votre combat.

Manny Flacco : Tu le savais et tu ne m'a rien dit?

Bea Flacco : Manny, allez. Tu sais qu'on essaye de te protéger.

Suge Lima : Écoute, je ne voulais pas gâcher ta soirée.

Manny Flacco : Qui a fait ça?

Lisbon : C'est ce qu'on essaye de découvrir.

Jane : Vous l'aimiez beaucoup, hein? Cette femme, euh, quel est son nom?

Manny Flacco : "Quel est son nom?"

Jane : Charlotte Mitchell.

Manny Flacco : Ouais, je l'aimais. Tout le monde l'aimait. C'était une bonne personne. (Bea n’a pas l’air d’accord avec son mari.)

Suge Lima : Ouais, elle l'était.

Jane : Ouais. Ok. Bien. Eh bien, merci. Euh, où est la chambre de Merriman?

Lisbon : Oh. Donc maintenant on s'arrête là, c'est ça?

Jane : Oh, je suis désolé. Vous avez des questions.

Lisbon : Ouais.

Jane : Elle a quelques questions.

Jane sort du vestiaire, se retrouve dans un couloir, arrive devant un gars costaud qui lui barre le chemin.

 

Le gars costaud (à Jane) : Vous ne voulez pas y retourner.

Jane (avec un geste de la main, se prenant pour Obi Wan Kenobi) : Ce n'est pas ce que vous recherchez. (Le gars reste interdit.)

 

Vestiaire de Rowdy Merriman

(Jane, Rowdy Merriman, d’autres boxeurs)

 

Jane (entre dans le vestiaire en évitant une chaise volante, Merriman, défonce des casiers rageusement) : Dure soirée, hein ? Euh...écoutez. Prix de consolation, comme dirait Nietzsche : « Was uns nicht umbringt, macht uns staerker ».

Rowdy Merriman : Bordel, mais t'es qui mec ? Tu sais quoi ? J'en ai rien à branler. Dégage ton cul d'ici !

Jane : Je suis du CBI. J'enquête sur un meurtre.

Rowdy Merriman : Oh, t'es un poulet ?

Jane : Bah, pas officiellement.

Rowdy Merriman : Non mec, on emmerde ce meurtre. J'ai un vol à déclarer. Ce petit merdeux, Flacco n'aurait jamais pu gagner s’il n'avait pas ce connard d'arbitre dans sa poche ! Ce fils de pute m'a donné des coups de tête pendant tout le match!

Jane : Aïe!

Rowdy Merriman : Qui a été tué ?

Jane : Charlotte Mitchell.

Rowdy Merriman : Sans déconner? L'écrivain? Merde. C'est foutu. Il n'y aura plus de livre maintenant, je suppose. Huh. Ils l'ont violée aussi? Elle était plutôt bonne. (Jane le regarde mais ne répond pas.) Bonjour ?

Jane (il s’éloigne vers la porte, se retourne en riant) : Soit vous êtes un manipulateur de génie en train de cacher sa complicité dans cette affaire ou alors vous êtes... un débile profond. Lequel des deux est-ce ? (Merriman se jette vers Jane qui n’attend pas et prend la porte en courant)

 

Dans le couloir

(Merriman, Jane, Lisbon)

 

Jane (au gars costaud devant lequel il passe en courant) : T'avais raison, big man.

Lisbon sort du vestiaire de Flacco.

 

Rowdy Merriman (à Jane qui court devant) : Répète-moi ça, sale fils de pute. Reviens ici, pour voir ce que tu as à me dire en face.

Lisbon (à Merriman et ses gars qui passent devant elle) : Hey! Hey! Laissez-le tranquille! C'est un policier!

 

Bâtiment du CBI. Jour.

Bureau de Lisbon

(Lisbon, Van Pelt)

 

Lisbon (au téléphone) : Je vous rappellerais.

Van Pelt (entre dans le bureau un dossier à la main) : Le rapport de la balistique est arrivé. Les impacts et stries retrouvées sur la balle indiquent que le pistolet utilisé pour tuer Charlotte Mitchell a aussi été utilisé dans un meurtre datant de 2001. L'arme n'a jamais été retrouvée. Le meurtrier était un homme dénommé Joe Reyes. Il est sorti de prison il y a 8 mois. Sortie anticipée.

Lisbon : Cho travaille toujours sur les suspects de la salle de combat. Prenez Rigsby et allez parler à Reyes. Découvrez ce qui est arrivé à ce pistolet. Je vais aller parler au père de la victime.

Van Pelt : Rigsby... est occupé.

Lisbon : Avec quoi ?

Van Pelt : M. LaRoche est en train de l'interroger.

Lisbon : Oh?

 

Dans un bureau du CBI

(JJ LaRoche, Rigsby, Lisbon)

 

JJ LaRoche : Un homme nommé Todd Johnson a été tué alors qu'il était enfermé par le CBI.

Rigsby : Oui. Le tueur de flic, brulé vif dans sa cellule.

JJ LaRoche : Je voulais juste avoir votre avis sur quelques trucs. Vous enquêtiez sur les incendies avant de venir travailler ici, c'est ça ?

Rigsby : Oui, à San Diego.

JJ LaRoche : Ouais. Êtes-vous familier avec... Accélérateurs de combustion ?

Rigsby : Oui. Liquide ou solide?

JJ LaRoche : Utilisés en ajoutant du Xylène?

Rigsby : Terriblement efficace, je dirais.

JJ LaRoche : Vraiment? Et le système de sécurité incendie ici au CBI... Facile d'y accéder et de le désactiver?

Rigsby : Le haut du système E.S.F.R? Non. Pour contourner ça il faut savoir s'y prendre

JJ LaRoche : Vous pourriez le désactiver, pas vrai?

Rigsby : Oui, je pourrais. Est-ce que vous m'accusez?

JJ LaRoche : Est-ce que vous avouez? Votre père est Steven Robert Rigsby.

Rigsby : Oui, c'est exact. Qu'est-ce qu'il a à voir avec l'enquête?

JJ LaRoche : Il était affilié au gang de motards Iron Gods, pas vrai?

Rigsby : Eh bien, vous le savez.

JJ LaRoche : Oui, j'ai son dossier ici. Vol. Stupéfiants. Agression. Homicide. Tout a fait le profil.

Rigsby : Ecoutez, je n'ai rien à voir avec mon père!

JJ LaRoche : Rien du tout? Pas de carte pour Noël?

Rigsby : Nop. On ne se parle plus. Je ne sais même pas où il est.

Lisbon (entre et interrompt l’interrogatoire) : LaRoche. Vous êtes supposé m'informer quand vous parlez à l'un de mes hommes.

JJ LaRoche : Ce n'est pas une obligation. C'est une faveur que nous accordons occasionnellement.

Lisbon : Et bien, dans le futur, je vous demande de m'accorder cette faveur.

JJ LaRoche : Merci, Agent Rigsby. Ça ira.  

 

 

A l’intérieur d’une église

(Rigsby, Van Pelt, Joe Reyes)

 

Joe Reyes (chante avec son auditoire) : Amen, amen. Amen. (Rigsby et Van Pelt s’avancent vers la chaire.) Bienvenu. (à son auditoire) Nous avons de nouveaux arrivants, frères et sœurs. Faites-les se sentir comme chez eux.

Rigsby : Joseph Reyes?

(Dans l’église vide de fidèles.)

 

Joe Reyes : Mon arme. U-une femme a été tuée avec mon arme?

Rigsby : Le même que vous avez utilisé en 2001.

Joe Reyes : Donc, vous ne pouvez pas vous échapper des démons de votre passé. Tout ce que vous pouvez faire c'est demander la clémence de Dieu et de tenir bon, mec.

Van Pelt : Vous connaissez Charlotte Mitchell?

Joe Reyes : Non M'dame, pas du tout, et je n'ai plus cette arme non plus.

Rigsby : Vous vous en êtes débarrassé après avoir tué cet homme ? Vous en avez fait quoi ?

Joe Reyes : Je l'ai donné à une amie de l'époque.

Van Pelt : Et elle en a fait quoi ?

Joe Reyes : Ça je n’en sais rien. Je ne l'ai pas revu depuis mon arrestation.

Rigsby : Quel était le nom de cette femme?

Joe Reyes : Humm...Dawn, May Dawn.

Rigsby : Son adresse?

Joe Reyes : Je ne sais pas. Comme je vous l'ai dit, je n'ai pas cherché à la revoir quand je m'en suis sorti. Quand j'ai trouvé la foi, j'ai réalisé que je devais tourner le dos à mes anciens démons et à tous ceux qui pouvaient m'y faire replonger

Rigsby : Très bien. Merci pour votre temps.

Van Pelt : Pourquoi avez-vous tué cet homme à l'époque? Si ça ne vous dérange pas.

Joe Reyes : Je ne sais pas, M'dame. J'étais un idiot. Écoutez, j'ai fait un paquet de mauvaises choses à l'époque. Et ce n'était que pour celle-là que j'ai été arrêté. C'est le plan de Dieu.

 

Dans la maison familiale de Charlotte Mitchell

(Lisbon, Jane, Tom Mitchell)

 

Une voix de femme : Ça y est. Je l'ai trouvé. sur l’écran télé, une vidéo, Tom filme sa fille Charlotte:

"Tom Mitchell : Bien, bien, bien. Ok Montre-le.

Charlotte Mitchell : Papa.

Tom Mitchell : Allez. Montre-le. Plus haut, plus haut. Ok

Charlotte Mitchell : C'est juste le journal de la municipalité.

Tom Mitchell : Non, c'est ton premier article publié dans un journal... " (met en pause la vidéo)

 

Tom Mitchell : C'était une bonne fille. Une très bonne personne.

Lisbon : Toutes nos condoléances, M. Mitchell.

Tom Mitchell : Hmm. Merci.

Jane : Cela vous dérangerait-il si je jetais un petit coup d'œil?

Tom Mitchell : Euh, non, euh, pas du tout. La cuisine est, euh, là, et son bureau par là. . (Il les entraîne dans le bureau de Charlotte.) Ce sont... ses carnets. Elle gardait de bonnes notes. Je l'ai appris. Je me suis excusé auprès d'elle, seulement la semaine dernière, lui apprenant une profession qui se meurt. Le journalisme meurt, vous savez. Tout ça... Internet.

Lisbon : Euh, peut-être qu'on devrait aller dans le salon, M. Mitchell.

Tom Mitchell : Euh, ouais. Merci.

Lisbon (Tom lui tend les carnets de Charlotte) : Je vais les prendre

 

Jane : J'arrive dans une minute.

Dans le salon de Tom Mitchell

Lisbon : Essayez de vous détendre. Voulez-vous quelque chose à boire, M. Mitchell? Un verre d'eau, peut-être ?

Tom Mitchell : Oui. Ce serait très gentil, merci.

Tom Mitchell remet en route la vidéo :

"Tom Mitchell : Ce sont des articles de journal.

Charlotte Mitchell : Non, j'ai été publié dans de vrais journaux, avant.

Tom Mitchell : Ces journaux n'étaient pas réels.

Charlotte Mitchell : Bien sûr que si, ils étaient vrais.

Tom Mitchell : Non, ils ne l'étaient pas. Non, ok. Très bien, très bien. Maintenant, je veux que tu les lises devant la caméra. Allez. Lit-le.

Charlotte Mitchell : Je suis en train de le lire.

Tom Mitchell : Oh, ha ha. A haute voix! Allez!

Charlotte Mitchell : "Le maire par intérim de Grove Park, Joyce Franklin a présidé aujourd'hui l'inauguration d'une maison des seniors flambant neuve qui portera le nom de Sam Chapin le conseiller retraité" Humm...là. Lisez tout. Allez y.

Charlotte Mitchell : "Le centre aidera la communauté de Grove Park et ses alentours..."

Jane regarde dans le bureau de Charlotte, photos, diplômes, masques accrochés aux murs.

Un bruit de chute.

 

Lisbon (revient au salon un verre d’eau à la main et trouve Tom Mitchell étendu au sol) : Jane! Crise cardiaque. Ambulance. (Elle lance à Jane son portable, en continuant à lui faire un massage cardiaque.)

 

 

Dans un coin du bureau de l’équipe au CBI

(Lisbon, Jane)

Lisbon (au téléphone s’approche de Jane) : Merci. Tenez-moi au courant. (Elle s’assoie près de Jane.)

 

Jane regarde la télévision : "Flacco continue à marteler Merriman…"

Lisbon : Le docteur indique que Tom Mitchell a eu une grosse crise cardiaque.

Jane : Hmm. J'aurais pu le deviner moi-même.

Lisbon : Ils ont pu le stabiliser, mais il reste inconscient. Ils vont le garder là-bas jusqu'à ce qu'il se réveille.

Jane : Pauvre homme. (Jane regarde le combat Flacco / Merriman) Oouh

Lisbon : Couche toi et reste au sol.

Jane : Oh ouais.

Lisbon : J'ai parcouru tous les carnets de la victime A part un paquet de trucs sur les dangers des sports de combats et des marqueurs de sang, elle recherchait à propos de truc sur les arrangements de combat. Qu'en pensez-vous?

Jane : Merriman pourrait nager là-dedans? Ah, je vois. Ça vaut le coup de tuer après tout. Beaucoup d'argent à se faire sur quelque chose sans danger.

Lisbon : On devrait parler au promoteur, Artash, voyons ce qu'il a à dire à propos des combats truqués.

 

Salle de Boxe. Des hommes à l’entraînement.

(Lisbon, Jane, Len Artash, Floyd Benton)

(Lisbon et Jane traversent la salle au milieu des boxeurs)

 

Lisbon (à Len Artash qui est au téléphone) : M. Artash?

Len Artash : Ok, on partage 60/40. Avec une option pour ses 3 prochains combats. Ou alors, va manger un lacet. Je veux...Hey. Je veux que le contrat soit signé d'ici vendredi. Rappelle-moi. (Raccroche. à Lisbon et Jane) On l'a !! Manny va combattre pour le titre, dans 6 mois. 2 millions de dollars à gagner. Je peux me les faire… croyez pas? Vous voyez le gamin là-bas avec les longs cheveux? Ce sera mon prochain champion. Je vous le promets.

Lisbon : Arrangement de combat... Vous pouvez nous dire quoi à propos de ça?

Len Artash : Non, ça n'arrive jamais. Le conseil le découvrirait, et tous ceux impliqués serait finis. Et vous avez besoin d'un lutteur prêt à faire le plongeon ce que Merriman n'est pas.

Lisbon ; Non?

Len Artash : Un dingue narcissique comme lui ?

(Jane s’approche du ring où le boxeur aux longs cheveux s’entraîne. L’entraîneur est appuyé sur les cordes.)

 

Floyd Benton (aux boxeurs sur le ring) : Allez ! Évite le Jab et contre le. Évite et contre! Libère toi des cordes!

Jane : Votre combattant a l'air plus grand et plus fort. Il ne devrait pas gagner ?

Floyd Benton : Il est surtout plus lent et plus bête.

Jane : Vous êtes Floyd Benton, c'est ça ? Vous n'avez pas entrainé Manny Flacco ?

Floyd Benton : Par le passé, jusqu'à ce qu'il soit trop grand et intelligent pour apprendre. Allez, fils de pute. Évite-le! Bouge-toi! Allez! Ah. Policier.

Jane : Comment vous avez deviné ?

Floyd Benton : Les Flics et les belles femmes pensent toujours avoir le droit de faire ce qu'ils veulent, et vous n'êtes pas une jolie femme.

Jane : Je suis là à propos de Charlotte Mitchell.

Floyd Benton : Ouais. Triste histoire. Vous pensez que c'était à propos du combat ?

Jane : Vous pensez quoi vous ?

Floyd Benton : Je pense que si ce n'était pas à propos de ce combat, vous ne seriez pas là.

Jane : Quels aspects du combat auraient pu motiver ce meurtre selon vous ?

Floyd Benton : C'est vous le flic. Quoi, je dois faire le boulot à votre place ?

Jane : Et si je faisais le votre ? Ça vaudrait le coup pour vous ?

Floyd Benton : Allez-y.

Jane : Le protégé d'Artash a un tic. Il touche son front juste avant de lancer un uppercut du droit. Quand il fait ça, votre gars devrait faire un pas sur la droite et lancer un crochet.

Floyd Benton : Merde, vous avez raison. Vous avez le regard aiguisé.

Jane : Merci. Maintenant à votre tour. Charlotte Mitchell... Qui l'a tuée ?

Floyd Benton : Je ne sais pas. Mais je vais vous dire un truc. Je pense que Flacco a une face cachée

Jane : Ah oui, laquelle?

Floyd Benton : Juste un pressentiment que j'ai.

Jane ; Ce pressentiment a quelque chose à voir avec le fait qu'il vous a viré de votre poste d'entraineur?

Floyd Benton : Je vaux mieux que ça. (aux boxeurs) Ok, écoute ça. Vient par là. Par-là, par-là, par là. Écoute-moi, le gars ici...

Extérieur jour. Rigsby et Cho descendent de voiture.

(Rigsby, Cho, Dawn May, J.J. LaRoche)

 

Cho : La voilà... L'ancienne copine de Joe Reyes.

(Une jeune femme fait traverser des enfants sur un passage piéton.)

 

Dawn May : Continuez. Comme ça. Allez maintenant. Ne vous arrêtez pas.

Cho : Dawn May ? On voudrait vous parler.

Dawn May : A propos de quoi ?

Rigsby : Vous vous rappelez d'un homme appelé Joe Reyes? Nous devons savoir ce que vous avez de l'arme qu'il vous a donné.

Dawn May : Vous pourriez parler moins fort ? Les gens du quartier pourraient s'énerver, si ils apprenaient pour mon passé.

Cho : Le pistolet... Vous en avez fait quoi ?

Dawn May : Je l’avais donné à mon cousin Bobby. Je ne sais pas ce qu'il en a fait.

Rigsby : Et où se trouve votre cousin?

Dawn May : Mort. Il s'est fait exploser en Iraq.

Rigsby (son téléphone vient de sonner, il s’éloigne) : Excusez-moi. C'est à propos de quoi ? Allo?

J.J. LaRoche (au téléphone, du bureau de Rigsby du CBI) : Agent Rigsby voici J.J. LaRoche Où êtes-vous? Nous devons nous parler.

Rigsby : Je suis sur une affaire.

J.J. LaRoche : Quand rentrez-vous?

Rigsby : Heu… je ne peux pas vous dire. C'est une affaire en cours

J.J. LaRoche : Je pourrais demander à l’agent Lisbon de vous ramener dois-je le faire?

Rigsby : Je serai là dans une heure (se rapproche de Cho et Dawn May).

Dawn May :...2 enfants que j’essaie d’élever correctement et qui ne savent rien de la vie que j’ai menée

Cho : Madame nous ne parlerons à vos enfants que si nous y sommes forcés.

Rigsby : Tu es prêt?

Cho : Oui… Merci madame, nous vous recontacterons, merci. (Ils retournent à leur voiture.)

 

Cho : Elle dit qu'elle était à une réunion de parents avant hier soir. Ça devrait être facile à vérifier. Quelque chose ne va pas? Qui a appelé?

Rigsby : Rien. Personne

 

Dans un bureau du CBI.

(JJ LaRoche, Rigsby)

 

J.J. LaRoche : Vous disiez ne pas avoir eu de contact mais le registre de votre téléphone montre 6 appels de votre père entre juin et juillet 2008

Rigsby : Qu'est-ce que cela a à voir avec quelqu'un qui brûle un tueur de flic ici au CBI?

J.J. LaRoche : Rien. Directement. Mais ça relève du personnage

Rigsby : Vous vous interrogez sur moi?

J.J. LaRoche : Saviez-vous qu'il y a études criminologiques qui pensent que la criminalité est un facteur génétique? Comme la couleur des yeux ou une voix de baryton

Rigsby : qu-Quoi?

J.J. LaRoche : Je veux juste dire...que vous n'êtes pas forcément responsable agent Rigsby vous pouvez être prédisposé à un comportement criminel scientifiquement parlant.

Rigsby : Ecoutez, mon père m’a appelé à propos d'une embrouille avec son contrôleur judiciaire. J'étais supposé faire quoi? L’ignorer? Raccrocher?

J.J. LaRoche : Et vous avez oublié cette conversation Ou vous avez choisi de ne pas en parler?

Rigsby : J'ai oublié. (se lève brutalement) On en a fini ? Je pense que oui. (Il s’en va laissant LaRoche interdit.)

(croise Van Pelt dans le couloir, sans lui jeter un regard. Van Pelt entre dans le bureau de Lisbon)

 

(Van Pelt, Lisbon)

 

Van Pelt : Hey...J'ai trouvé quelque chose. Un gardien a eu une altercation avec Charlotte Mitchell avant le combat elle essayait de pénétrer dans les vestiaires. Elle n'avait pas de badge lui autorisant l’accès. Il ne l'a donc pas laissé entrer. Elle est devenue nerveuse, a fait une scène. Et il l'a expulsée. Il était plus ou moins 6H30

Lisbon : 6H30? Cela la situe dans le stade une heure avant l'heure supposée du crime.

Van Pelt : Oui, ce qui fait de Flacco et Merriman 2 suspects potentiels

Lisbon : Amenez les tous les deux ici et voyons ce qu'ils ont à dire.

Van Pelt : OK

 

Dans le couloir près de l’ascenseur.

Rowdy Merriman et quatre de ses copains sortent de l’ascenseur.

(Cho, Rowdy Merriman, Lisbon, Manny Flacco, Bea Flacco, Jane)

 

Cho : M. Merriman, vos acolytes vont devoir attendre dehors.

Rowdy Merriman : Oh, ils sont cool.

Cho : Ils seront cool aussi dehors

Rowdy Merriman (à Manny Flacco qui plus loin discute avec Lisbon) : Hey, Flacco espèce de petit morveux! Tu as utilisé des bandages en plâtre? Je sais que les morveux de ton genre ne peuvent pas frapper aussi fort!

Lisbon : M. et Mme Flacco, pourquoi n'irions-nous pas dans mon bureau?

Rowdy Merriman : Viens chérie. Oh, tu t'enfuis Manny? Comme tu as fait dans la cage? Hein ?

Manny Flacco (à Merriman) : 2 millions de personnes m'ont vu te botter le cul. Vis avec ça!

Rowdy Merriman : Oh non pas ça, viens ici! (Merriman et Flacco se rapprochent à un mètre l’un de l’autre, Lisbon s’interpose.)

 

Lisbon : Contrôlez-vous, tous les deux. Ecoutez, si l'un de vous fait quoi que ce soit je vous menotte. Alors calmez-vous. Et revenons à nos affaires.

Jane (arrive, une tasse de thé à la main l’air espiègle. A Merriman, en passant derrière lui) : Je pense que tu aimes être battu. Une rencontre un peu masochiste ici, non ? (Jane vient de mettre le feu aux poudres, bagarre générale)

 

Lisbon : Merci, merci pour ça! Séparez-vous les gars! Ça suffit! (Jane s’éloigne tranquillement)

 

Entrée dans une salle d’interrogatoire du CBI

(Rigsby, Suge Lima)

Suge Lima : Que se passe-t-il ici? Vous rendez-vous compte de ce que vous faites?

Rigsby : Asseyez-vous, M Lima.

Suge Lima : Non! Pas avant que vous ne me disiez pourquoi vous laissez Manny se faire agresser.

Rigsby : M. Lima, la façon dont nous conduisons les enquêtes ne vous regarde pas.

Suge Lima : Si, si ça met en danger mon poulain. Manny n'aurait jamais dû être interrogé de toute façon. Il est affligé pour Charlotte.

Rigsby : Nous voulons juste lui poser quelques questions. Maintenant, asseyez-vous s'il vous plait.

Suge Lima : Pourquoi? Vous avez l'homme que vous vouliez.

Rigsby : Vous voulez dire Rowdy Merriman?

Suge Lima : Vous l'avez vu, il déteste ne pas réussir à avoir ce qu'il veut. Et il n'a pas réussi à obtenir de Charlotte ce qu'il voulait.

Rigsby : Et que voulait-il?

Suge Lima : Devinez!

 

Dans une autre salle d’interrogatoire.

(Rowdy Merriman, Cho)

 

Rowdy Merriman : Non, je n'ai pas tué la femme écrivain. Pourquoi l'aurais-je fait?

Cho : J'ai regardé vos antécédents. Vous avez un historique de violence sur les femmes

Rowdy Merriman : Pfuit..Si je frappe une pute c'est parce qu’elle me l'a demandé. Les putes aiment être frappées. Ne me demandez pas pourquoi.

Cho : Charlotte Mitchell vous l'a demandé?

Rowdy Merriman : Non. Par contre je lui ai demandé hey... Vous savez elle était comme ...berk… Comme si je la dégoutais... Elle était très BCBG

Cho : Elle vous a repoussé. Cela vous a fait quel effet?

Rowdy Merriman : Qu'il fallait que j'appelle une autre pute pour me distraire, ce que j'ai fait.

Cho : Elle enquêtait sur vous et Flacco. Peut-être avait-elle trouvé quelque chose sur vous que vous vouliez que personne ne sache

Rowdy Merriman : Mec, tu sais quoi? Je n'ai rien à cacher. Je suis direct, ouais. Et j'en suis fier. Tu sais ce qu'ils vont dire de moi. Qui n'a pas encore été dit hein? Non? ce petit M. Parfait... Lui il a des secrets à cacher

Cho : Flacco... qu'a t'il à cacher?

Rowdy Merriman : Je veux dire qu'il se tapait l'écrivain, pour de bon dans le dos de sa chère petite femme.

Cho : Vous avez des preuves de ça?

Rowdy Merriman : Des preuves mec? Demande à ce morveux. Il sera comme... (Cho se lève et sort de la salle.) Ouais va lui demander.

Dans une autre salle d’interrogatoire.

(Lisbon, Manny Flacco, Beatriz Flacco)

 

Lisbon : M. Flacco? Souhaitez-vous que votre femme reste pendant l'interrogatoire? Habituellement nous faisons ça seuls.

Manny Flacco : J'ai besoin d'elle. Je n'ai pas de secrets pour Bea.

Lisbon : OK. Quelles étaient vos relations avec Charlotte Mitchell?

Manny Flacco : Elle écrivait un bouquin sur moi et Rowdy, et le combat.

Lisbon : Cela a commencé quand?

Manny Flacco : Depuis que j'ai commencé l’entrainement. Il y a 6 mois environ.

Lisbon : Quid des moments où vous ne vous entrainiez pas?

Manny Flacco : Que voulez-vous dire?

Beatriz Flacco : Ne fais pas l'idiot Manny. Elle veut savoir si vous couchiez ensemble.

 

Manny Flacco : Quoi? non!

Beatriz Flacco : Regarde-moi quand tu dis ça chéri.

Manny Flacco : Je ne couchais pas avec elle.

Beatriz Flacco : "Chérie"? S'il te plait... Bon, il couchait avec elle? et alors?

Manny Flacco : Bea...

Beatriz Flacco : Non. Je ne veux rien entendre maintenant. Nous sommes ensemble depuis que j'ai 13 ans. Mariés quand j'en avais17 ans, 4 enfants. Croyez-vous que je sois aveugle? C'est un athlète professionnel. J'en veux aux femmes. Les hommes ne valent pas mieux

Manny Flacco : Bébé, je n'ai jamais…

Manny Flacco : Et vous savez quoi? Manny est un homme bon. Il n'est pas en chaleur tout le temps. Mais il y a l'infirmière de la clinique de physiothérapie. Les deux serveuses à Las Vegas. La fille au Len's Club...

Lisbon : Où étiez-vous la nuit du combat Madame Flacco?

Beatriz Flacco : En coulisse. Je, je ne peux supporter de voir Manny se battre. J'attends jusqu'à ce que ce soit fini

Lisbon : Y avait-il quelqu'un avec vous?

Beatriz Flacco : Oui. Plein de gens. Il y a toujours plein de monde. Mais, ouais, vous savez quoi? J'aurais pu m'absenter et tuer cette femme... Sauf que je ne l'ai pas fait. On a fini?

Lisbon : Pour le moment.

Manny Flacco (il veut aider sa femme à se lever) : Bea, s'il te plait.

Beatriz Flacco : Non, non, non. Ne fais pas l'idiot. Pas ici. (Manny sort, Beatriz reste à la porte. A Lisbon) Vous devriez parler à Floyd Benton. Cette femme allait écrire sur comment il dope ses jeunes poulains à son gymnase. C'est pourquoi nous avons sorti Manny de cet endroit.

 

Dans une salle d’interrogatoire

(Lisbon, Floyd Benton)

 

Lisbon : Où étiez-vous le soir du combat Flacco/Merriman?

Floyd Benton : Au combat. J'ai même dû acheter un ticket. Vous le croyez?

Lisbon : Charlotte Mitchell vous a posé des questions sur l'utilisation de stéroïde à votre gymnase, correct?

Floyd Benton : Beatriz Flacco. Elle ne m'aimait déjà pas quand elle était une gamine avec des nattes.

Lisbon : Qu'est-ce que Beatriz Flacco a à voir là-dedans?

Floyd Benton : Elle vous a raconté cette connerie.

Lisbon : Nous savons de plusieurs sources que Flacco vous a viré en tant qu'entraineur parce que vous le poussiez à prendre des stéroïdes.

Floyd Benton : Personne ne poussait personne.

Lisbon : Mais il y avait usage de stéroïde, et Charlotte l'avait découvert, n'est-ce pas?

Floyd Benton : Quel scoop! Les athlètes se dopent!

Lisbon : L'usage de stéroïde est un crime.

Floyd Benton : Alors arrêtez-moi, je ne résisterai pas J'ai fait des choses bien pires que l'usage de stéroïde. Et jamais je ne blesserai une femme pour une peccadille telle que... les stéroïdes.. Allons..

Dans le bureau de Lisbon.

(Lisbon, Jane)

 

Lisbon (assise sur son bureau) : Ils ont tous un motif, et ils ont tous eu l'opportunité.

Jane (Jane allongé sur le canapé) : Hummm, et dans ses notes?

Lisbon : J'ai lu ce qu'elle a écrit ces 6 derniers mois et n'y ai rien trouvé d'intéressant.

Jane : Puis-je y jeter un coup d'œil?

Lisbon : Je vous en prie. (Elle lui envoie un carnet Moleskine, Jane commence la lecture.)

 

 

Dans le bureau commun à l’équipe au CBI.

(Joe Reyes, Rigsby)

 

Joe Reyes (à Rigsby qui arrive) : Excusez-moi, agent.

Rigsby : M. Reyes, Quel bon vent vous amène?

Joe Reyes : Voilà, je viens d'entendre à la télé que le père de la femme qui a été tuée avait eu une crise cardiaque, va t'il s'en sortir?

Rigsby : Je ne sais pas il est en soins intensifs. Qu'y a-t-il M. Reyes?

Joe Reyes : Ecoutez, je, j'ai menti avant.

Rigsby : Asseyez-vous.

Joe Reyes : Merci. (Ils s’assoient au bureau de Rigsby.)

 

Rigsby : Allez-Y.

Joe Reyes : Quand je vous ai dit que je ne voyais plus Dawn. Eh bien, je je continue à la voir encore aujourd'hui. Vous savez, en souvenir du bon vieux temps.

Rigsby : Pourquoi pas?

Joe Reyes : Vous m'avez fait repenser à cette satanée arme, et à tout le tracas qu'elle cause, donc je suis allé voir Dawn, et elle m'a dit qu'elle vous avait dit qu'elle avait donné cette arme à son cousin Bobby, qui est mort.

Rigsby : C'est exact. Nous ne pouvons retracer l'arme après lui.

Joe Reyes : Mouais, mais, ce qu'elle vous a dit n'est pas vrai Elle n'a pas donné cette arme à Bobby, Dieu ait son âme Elle a juste dit ça parce que Bobby est mort, et ne peut dire le contraire, vous voyez? Elle ne voulait pas avoir d'ennuis.

Rigsby : Qu'a-t-elle fait de l'arme?

 

Extérieur nuit, East Oakland, Californie, une rue

(Rigsby, Cho, Frank Lopez)

 

Cho (un groupe de personnes attablé) : Frank Lopez. Nous voudrions vous parler.

Frank Lopez : CBI? Je n'ai jamais été interrogé par le CBI. Les gars... (ses amis quittent la table) Merci. (à Rigsby et Cho) Qu'y a-t-il?

Cho : Il y a dix ans, une femme nommée Dawn May, vous a donné un revolver 9mm.

Frank Lopez : Ah bon?

Rigsby : Avez-vous toujours cette arme?

Frank Lopez : Pourquoi me demander ça?

Rigsby : Cette arme a été utilisée pour un meurtre il y a 2 jours.

Frank Lopez : Dawn May, ce nom ne me rappelle rien. Quel genre d'arme était-ce?

 

Cho : 9 millimètres.

Frank Lopez : Oh, ouais, ouais... C'était une chouette arme. Un Glock. Ouais.. Dawn Une fille maigre et folle. Que lui est-il arrivé?

Rigsby : Oh, elle va bien. Et le Glock?

Frank Lopez : Oh, je l'ai perdu.

Cho : Vous l'avez perdu?

Frank Lopez : Ouais. Il y a 4 ans .... Dans un club qui s'appelait. Euh... Narcissus. Vous connaissez? Il y a eu une bagarre. J'ai dû éviter quelques crétins, quand j'ai regardé de nouveau le 9MM avait disparu. Chouette arme, que peut-on y faire?

Rigsby : Heu, et, Heu... Où étiez-vous il y a 2 nuits?

Frank Lopez : J'étais ici. Tous les gars qui sont ici vous le diront. Vous ne me croyez pas? Passez-moi au détecteur de mensonges. J'ai pas peur.

(Le téléphone de Cho sonne.)

Rigsby (rattrape Cho quo s’était éloigné) : Que se passe-t-il?

Cho : Ce type, LaRoche... Il veut me parler. Il veut que j'aille le voir. De quoi veut-il te parler?

Rigsby (stoppe Cho dans sa marche) : OK, écoute, hummm… Je dois te dire quelque chose. Humm, j'aurais dû t'en parler avant mais je ne l'ai pas fait. Il y a 2 ans, mon père m’a appelé, il risquait de voir sa libération conditionnelle annulée pour avoir été vu avec des criminels reconnus. Il aurait pu en prendre pour 20 ans

Cho : Donc tu lui as procuré un alibi.

Rigsby : Oui. A l'époque j'ai dit qu'il était avec moi, Mais..... Je suis de sa famille, donc l'agent de conditionnelle, voulait savoir s’il y avait quelqu'un d'autre avec moi, qui pourrait confirmer mes dires, et... j'ai dit toi.

Cho : Quoi?

Rigsby : C'est sorti tout seul de ma bouche. Je te jure que si j'avais pu le ravaler je l'aurais fait. Mais ils n'ont jamais vérifié auprès de toi, et tout semblait parfait, donc je n'y ai plus pensé, jusqu'à ce que LaRoche commence à m'interroger.

Cho : Donc tu m'as inclus dans ton parjure, et maintenant le PSU enquête sur moi.

Rigsby : Si LaRoche apprend la vérité, ma carrière est finie.

Cho : Oui, en effet, sauf si je mens aussi, pour te couvrir, correct?

Rigsby : Ecoute mec, je suis désolé. Je sais que je te mets dans l'embarras.

Cho : Je suis flic depuis près de 10 ans. Je n'ai jamais menti à un autre flic, pas une fois.

Rigsby : Ecoute, je ne te demande pas de mentir maintenant, je ...Je veux que tu fasses ce que tu penses être juste.

Cho : Ouais (Ils montent dans la voiture.)

 

Rigsby : Alors que vas-tu faire?

Cho : Je ne mentirai pas pour toi.

 

Dans un bureau du CBI, une émission télé.

Jane assis à une table écrit dans le carnet de Charlotte en regardant le reportage

(Len Artash, Lisbon, Jane)

 

"Len Artash : Manny Flacco va combattre pour le titre des poids moyens le cinq mai. Ce sera une seconde révolution américaine. Quel pays! Où ailleurs pourrait-on voir un gamin des Barrios et un fils d'immigrants arméniens se réunir pour un évènement pareil? Moi, un gars, qui il y a cinq ans possédait quelques parkings et un ou deux restaurants et discos? Et un gamin qui n'a jamais réussi son bac. Mais nous avions un rêve, et aujourd'hui ce rêve est réalité. Dieu protège l'Amérique. "

Lisbon : Quelque chose dans les notes de Mitchell?

Jane : Rien de rien. Manny Flacco combat pour le titre des poids moyens. Len Artash vient de l'annoncer. (Jane empoche le carnet en se levant)

Lisbon : Que faites-vous?

Jane : Je vais parler à Len Artash. Vous venez?

Dans la salle de boxe

(Jane, Lisbon, Len Artash, Floyd Benton)

Artash et Floyd s’occupent de deux sportifs qui luttent au sol.

 

Len Artash : Tire ta garde

Floyd Benton : Tourne, tourne, tourne.

Len Artash : Attention à ton cou!

Jane : Artash, j'ai quelques questions pour vous. Vous êtes né en Amérique non?

Len Artash : Oui en effet.

Jane : Et vos parents sont Arméniens.

Len Artash : Oui. Pourquoi?

Jane : Quel était le nom de votre père?

Len Artash : Arik Artashian.

Jane (à Floyd Benton qui est près de son ring) : Quel est le nom de votre père?

Floyd Benton : Floyd.

Jane : Hummm, et quel est le nom de votre mère?

Len Artash : Nancy. De quoi s'agit-il?

Jane : Nancy, cela n'est pas très arménien comme nom.

Len Artash : Non ça ne l'est pas. C'est comme ça qu'elle s'est fait appeler quand elle arrivée aux Etats-Unis.

Jane : Quel est son nom de baptême?

Len Artash : Nargiz. Et vous avez...

Jane : Nargiz. Je parie que cela signifie quelque chose de beau.

Len Artash : C'est une fleur.

Jane : L'un d'entre vous reconnaît ceci? (il leur montre un carnet Moleskine)

Len Artash : Non. Qu'est-ce que c'est?

Jane : Ce sont les notes de Charlotte Mitchell. Vous savez ce que ceci signifie? (ouvre le carnet à une page) Et vous?

Floyd Benton : Non. Que pensez-vous que ce soit?

Jane : Je ne sais pas. Une espèce de sténo codée, probablement. Pas d'importance. heu, je parierais que son père sait de quoi il s'agit. Les médecins disent que Thomas Mitchell est en train de récupérer, hummm, il est prévu qu'il reprenne conscience d'ici 12 à 24 heures, correct?

Lisbon : Correct.

Jane : Bien, comme cela Thomas Mitchell pourra nous dire ce que ça raconte, et je parierais que nous découvrirons ce que Charlotte a appris et qui a causé sa mort. (Jane et Lisbon s’en vont.)

 

Lisbon : J'ai lu toutes ses notes. Il n'y avait pas de sténo dedans...

Jane : Vraiment? Comme c'est étrange. Je me demande d'où ça vient?

 

Dans un bureau du CBI

(JJ LaRoche, Cho)

 

LaRoche et Cho entrent dans le bureau, le dossier de Cho est sur la table. Ils s’installent.

 

JJ LaRoche : Vous avez été dans l'armée n'est-ce pas agent Cho?

Cho : Oui

JJ LaRoche : Dans les rangers?

Cho : Forces spéciales.

JJ LaRoche : Donc...vous comprenez le sens de l'honneur. C'est une déclaration que Wayne Rigsby a signée déclarant que vous et lui avez passé un après-midi avec son criminel de père. Vous vous souvenez de ce jour, agent Cho? (Cho lit la déclaration de Rigsby, referme le dossier en fixant LaRoche dans les yeux. Les deux poings serrés sur le dossier) L'agent Rigsby a d'abord déclaré n'avoir aucun contact avec son père confronté à l’évidence il a commencé à devenir évasif en y regardant de plus près, j'ai...découvert ceci... Wayne a fourni un alibi à son père lui permettant d'éviter la prison... Et vous faites partie de cet alibi. Donc... J'ai juste besoin que vous me confirmiez… Sur votre honneur... Que vous étiez bien là ce jour précis.

Cho : Oui j'y étais. J'étais avec l'agent Rigsby et son père.

JJ LaRoche : OK (LaRoche sort son carnet et prend des notes.) Bien. Qu'avez-vous fait cet après-midi-là... Tous les trois? Donnez-moi certains détails.

Cho : Je ne me rappelle pas. (Il fait glisser le dossier vers LaRoche.)

JJ LaRoche : Rien du tout? Etrange.

Cho : J'étais là. Je vous le jure. Voulez-vous que je vous signe quelque chose pour que ce soit officiel?

JJ LaRoche : Non. Ce ne sera pas nécessaire. Ce sera tout. Merci agent.

Dans le bureau commun à l’équipe

Rigsby assis à son bureau

(Cho, Rigsby, Lisbon)

 

Cho (s’approche de Rigsby) : Je lui ai dit que j'étais avec vous.

Lisbon (arrive) : Bien, partons Nous devons aller à l'hôpital. Jane et Van Pelt sont déjà là-bas. Ca va les gars? Allons-y, je vous expliquerai en chemin.

 

A l'hôpital où est soigné Tom Mitchell

(Cho, Rigsby, Van Pelt, Joe Reyes, Suge Lima)

 

Cho : Tout est OK dans la chambre de Mitchell (referme la porte d’une chambre). Le corridor est ok.

Rigsby (assis dans une salle d’attente) : Tout est OK ici.

Van Pelt (dans un couloir) : Attendez une seconde. Je pense avoir vu Reyes. (Elle le suit.) Il se dirige vers vous

Rigsby : Je le vois, Cho coupe lui le chemin.

Cho (dans le couloir) : M. Reyes.

Rigsby (qui suivait Reyes) : Que faites-vous ici?

Joe Reyes : Hummm, je venais faire une visite de politesse.

Rigsby : Non, vous ne pouvez pas être ici. Vous devez partir maintenant.

Joe Reyes : Attendez, que se passe-t-il? Que faites-vous?

Cho : Ne discutez pas, M. Reyes. Par ici, en avant. (Ils embarquent Reyes entre eux deux

 

Une main gantée de gants de latex bleu ouvre une porte.

Suge Lima baisse le store de la chambre. Ferme la porte à clé, empoigne un oreiller, se dirige vers le lit et découvre derrière le rideau un mannequin de plastique sous assistance respiratoire.

 

 

Lisbon (tire le rideau et pointe son arme vers Lima interloqué) : M. Lima, mettez les mains sur la tête où je peux les voir.

Jane : M. Mitchell a quitté les soins intensifs hier, mais je ne manquerai pas de lui transmettre vos salutations.

Suge Lima : Peu importe, vous n'avez rien. Cette merde de sténo dans les notes ne vaudra pas un clou au tribunal.

Jane : Vrai. J’ai en effet écrit cette merde de sténo moi-même dans les notes. Charlotte Mitchell a été assassinée pour avoir découvert un secret, j'avais juste à convaincre le meurtrier que le secret n'était pas mort avec elle… Eh voilà

Lisbon Et ça devrait convaincre le tribunal.

Suge Lima : Vous avez tout faux. Voici l'arme qui a été utilisée pour tuer Charlotte Mitchell, et vous êtes celui qui l'a tuée.

 

Dans la chambre d’hôpital de Tom Mitchell toujours alité.

(Lisbon, Tom Mitchell, Jane)

 

Lisbon (pause les carnets Moleskine sur la tablette de Tom Mitchell) : Vous pouvez récupérer ceci maintenant M. Mitchell.

Jane : Je...euh.. je suis désolé, mais je… j'ai gribouillé dans l'un d'entre eux. C'est, heu..ce qui nous a permis d'attraper l'assassin de votre fille. J'espère que vous ne m'en voudrez pas. Non, non. C'est euh...

Tom Mitchell : ainsi...hum, c'est fini? Vous avez résolu l'affaire?

Lisbon : Oui. Il ne nous reste que quelques écheveaux à détresser.

 

Dans la salle de boxe vide

(Jane, Lisbon, Len Artash)

 

Len Artash : Jamais…jamais je n'aurais imaginé que Suge Lima puisse être un meurtrier. Oui, c'est effrayant. Choquant.

Lisbon : Oui en effet.

Len Artash : Pourquoi? Pourquoi a t'il fait ça? Bon humm... puis-je faire quelque chose d'autre pour vous?

Jane : En fait, oui. Le.. le prénom de votre mère…la fleur?

Len Artash : Oui. Nargiz.

Jane : Nargiz, qui signifie... Narcisse... Le même nom que votre club, à qui vous avez donné le nom de votre mère.

Len Artash : Oui.

Jane : Club Narcissus, où Frank Lopez a perdu l'arme de Joe Reyes.

Lisbon : Celle qu'il avait reçue de Dawn May.

Jane : Celle-là.

Len Artash : Qui? Quoi?

Lisbon : Vous ne connaissez pas ces gens, mais nous savons comment vous avez eu l'arme que Lima a utilisée pour tuer Charlotte Mitchell. Et vous êtes en état d'arrestation. Levez-vous.

Jane : La seule chose que nous ne savons pas c'est pourquoi vous deviez la tuer.

Lisbon : Et c'est ce que nous allons découvrir. Lisbon passe les menottes à Len Artash.

 

 

Dans le bureau de Lisbon au CBI

(Lisbon, Manny Flacco, Bea Flacco)

 

Lisbon : M. Flacco, vous souvenez-vous il y a plus ou moins un an, avoir subi un test sanguin?

Manny Flacco : Bien sûr. Les résultats ont montré que j'étais solide comme un roc. C'est Suge qui me l'a dit.

Lisbon : Suge a menti. Lui et Artash ont envoyé les échantillons de sang sous le nom de Suge au lieu du vôtre au cas où. Les marqueurs ont montré un taux de protéines trop élevé qui témoigne d'un saignement cérébro-spinal.

Bea Flacco : Oh, mon Dieu.

Lisbon : Charlotte Mitchell s'est rendu compte de l'inversion.

Flashback. Charlotte Mitchell en conversation au téléphone chez elle:

Charlotte Mitchell : Je sais que le prélèvement sanguin étai celui de Manny, pas celui de Lima. Si Manny va dans la cage il mourra.

Len Artash : De quoi parlez-vous Madame? Et comment avez-vous pu vous procurer ces tests?

Charlotte Mitchell : Arrêtez le combat, Len, ou alors.

Len Artash : Bien, bien. J'annule le combat. Calmez-vous. (se retourne vers Suge Lima) On a un problème.

Bea Flacco : Ces fils de putes. Ils ont risqué la vie de Manny.

Lisbon : Aucune autorité médicale ne l'aurait laissé entrer dans cette cage si cela avait été su

Flashback. Dans un couloir de l’Arena

Suge Lima : Ce n'est que l'opinion d'un docteur. Il a l'air en pleine forme.

Charlotte Mitchell : Vous pensez vraiment être quitte de cette histoire?Je vais la raconter à tout le monde. (Suge, attrape Charlotte la secoue.) Laissez-moi. Laissez-moi. (un coup de feu retentit)

 

 

Près de l’ascenseur du CBI

(Bea et Manny Flacco)

 

Bea Flacco (en entrant dans l’ascenseur) : Ca va aller bébé. On va surmonter tout ça

 

Dans le couloir

(Lisbon, Jane, Cho, Rigsby)

 

Lisbon : Vous vous en faites pour lui. Il a perdu son gagne-pain.

Jane : Meh, il perd la vie de se faire tabasser tout le temps. Mais il a retrouvé son mariage, ce qui me semble être un bon deal

Lisbon : Vous êtes si romantique.

Jane : C'est ce qui fait tourner la terre.

(Ils arrivent dans la cuisine, Lisbon continue son chemin. Jane se prépare une tasse de thé, Cho travaille à une table.)

 

Rigsby (s'approche de la table de Cho) : Hey Cho, Merci.

(Jane regarde Rigsby et Cho, un petit sourire aux lèvres.)

 

Mixed Martial Arts Contest, Oakland California.

 

Un combat de boxe not limit, beaucoup de monde qui hurle

(Rigsby, Jeune femme brune)

Rigsby et la jeune femme brune son assis l’un à côté de l’autre)

Jeune femme brune (très exitée, aux boxeurs): Yes! Hit him! Hit him again! Kill him! Kill that son of a bitch!

Rigsby: Uh, do you wanna just...

Dans un couloir, un chariot, une femme le pousse, en arrière plan sonore, les cris des supporters du match de boxe. Des gouttes sur le sol, elle s’approche, touche une goutte, du sang.

Jeune femme brune: Yeah! Break... his... face!

(Arrêt du combat, pause, round 3)

Jeune femme brune (à Rigsby): So... you must hit a lot of guys, huh?

Rigsby: Well, I'm a cop, so it comes with the job sometimes. It's only ever self...

Jeune femme brune: That is so hot. I would love to see you hit someone.

Rigsby (embarrassé): Oh. Uh... maybe.

Jeune femme brune (donne des coups de poing dans l’épaule de Rigsby): Yes!

(Rigsby rit jaune. Reprise du combat)

 

La femme dans le couloir suit la piste des gouttes de sang, remonte jusqu’à un placard de fer ajouré. Ouvre le loquet, découvre le corps sans vie d’une jeune femme qui glisse au sol. Hurlements.

Au même instant le combat se termine par un KO.

 

Générique

 

 

Scène de crime

(Len Artash, Lisbon, Rigsby, Jane)

 

Len Artash (à Lisbon): Charlotte Mitchell was her name. She was a book writer, writing a book.

Rigsby: Got control of the crime scene. It's gonna be a wide suspect list.

Lisbon (à Rigsby): Get statements from all the security guards, vendors, and attendants. Find out who could get backstage.

Rigsby: Right. It's gonna be hundreds, at least.

Len Artash (à Lisbon): Look, uh, just to be clear, I don't own this arena. (Jane accroupit près du corps lève les yeux et regarde Len Artash fixement) I simply promoted the fight. I have no liability here.

Lisbon: What was Charlotte Mitchell's connection to you?
Len Artash: She was writing a book about this fight, about my guy, Manny Flacco, and Rowdy Merriman. She said it was a... Microcosm of whatever. I... I figured any P.R. for my boy Manny is good P.R. That's the kind of kid he is.

Rigsby (qui revient près de Lisbon): Got the initial report from the M.E.... Shot twice, close range. Had a purse, money, jewelry all intact. Estimated time of death... 8:30, 9:00 P.M.

Len Artash: That was right in the middle of the fight.

Rigsby (le téléphone de Rigsby sonne il s’éloigne pour répondre): Excuse me.

Lisbon: When was the last time you saw Ms. Mitchell?

Len Artash: We were supposed to sit together during the fight. She didn't show up. (à Jane) Sir... Why are you staring at me like that?

Jane (se relève, remet en place sa veste): I was staring? Oh, I'm so sorry. My mind was elsewhere. That's Charlotte Mitchell, right? And you're, uh... And you're Leonard Artash, promoter. Let's go talk to the fighters, shall we?

Lisbon: Really?

Jane: Well, Rigsby just told us it wasn't a robbery. We know it wasn't sexual. Looks like it was in cold blood, so not a crime of passion. What's that leave us? I'd bet your pension this has something to do with the fight.

Len Artash: But Manny and Merriman were in the cage when she was shot.

Jane (à Len Artash): Are you a detective?

Len Artash: No.

Jane: Well, then.

 

Dans un vestiaire.

Un homme remet en place sa cravatte devant un miroir. Du champagne, du monde pour fêter la victoire.

(Suge Lima, Manny Flacco, Beatriz Flacco, Lisbon, Jane)

Suge Lima: Manny Flacco, you're the man. You were fantastic in there. Messed him up like he was dog meat. You're gonna be champion of the world. You hear me? Champion of the world.

Lisbon et Jane entrent dans le vestiaire.

Bea Flacco: You gotta deal with this now?

Lisbon: Yes, ma'am, we do.

Manny Flacco: What's the problem, Bea? Who are those guys?

Bea Flacco: They're cops.

Suge Lima (s’avance vers Lisbon et Jane: Oh, come on now. Can it wait? Let the kid enjoy his win. Talk to him after he checks in with the doctor.

Manny Flacco: I don't need the doc.

Suge Lima: Hey, better safe than sorry, right?

Bea Flacco: Manny's got nothing to do with this.

Manny Flacco: Nothing to do with what?

Lisbon: Charlotte Mitchell was murdered earlier this evening.

Manny Flacco: Charlotte murdered? Oh, my God.

Suge Lima: Stay cool. Don't get excited.

Jane: She was found shot to death in a service corridor underneath the arena. Happened during your fight.

Manny Flacco: You knew and you didn't tell me?

Bea Flacco: Manny, come on. You know we're trying to protect you.

Suge Lima: Listen, I didn't wanna spoil your night.

Manny Flacco: Who did this?

Lisbon: That's what we're looking to find out.

Jane: You liked her a lot, huh? This lady, uh, what's her name?

Manny Flacco: "What's her name?"

Jane: Charlotte Mitchell.

Manny Flacco: Yeah, I liked her. Everybody liked her. She was good people. (Bea n’a pas l’air d’accord avec son mari)

Suge Lima: Yeah, she was.

Jane: Okay. Great. Well, thank you. Uh, where's Merriman's room?

Lisbon: Oh. So we're done now, are we?

Jane: Oh, I'm sorry. You have some questions.

Lisbon: Yeah.

Jane: She has some questions.

Jane sort du vestiaire, se retrouve dans un couloir, arrive devant un gars costaud qui lui barre le chemin.

Le gars costaud (à Jane): You don't wanna go back there.

Jane (avec un geste de la main, se prenant pour Obi Wan Kenobi): These aren't the droids you're looking for. (le gars reste interdit)

 

Vestiaire de Rowdy Merriman

(Jane, Rowdy Merriman, d’autres boxeurs)

 

Jane (entre dans le vestiaire en évitant une chaise volante, Merriman, défonce des casiers rageusement): Tough night, huh?

Uh... listen. Consolation-wise, you know what Nietzsche said. "Was uns nicht umbringt,
macht uns staerker."

Rowdy Merriman: Man, who the hell are you?! You know what? I don't even care. Get your butt outta here!

Jane: I'm CBI. I'm investigating a murder.

Rowdy Merriman: Oh, you're a cop?

Jane: Well, not officially.

Rowdy Merriman: No, man, screw murder. I got a robbery to report. That little fanny-pack Flacco wouldn't have won dip if he didn't have the stinkin' ref in his pocket! Son of a bitch was head-buttin' me the whole night!

Jane: Ouch.

Rowdy Merriman: Who got murdered?
Jane: Charlotte Mitchell.

Rowdy Merriman: No kiddin'? The book writer? Damn. That's messed up. Ain't gonna be no book now, I guess. Huh. They rape her as well? She was kinda hot. (Jane le regarde mais ne répond pas) Hello?

Jane (il s’éloigne vers la porte, se retourne en riant): Either you're a genius manipulator concealing your complicity in the case, or you're a... dimly lit clown. Which is it?

Merriman se jette vesrs Jane qui n’attend pas en prend la porte en courant)

 

Dans le couloir

(Merriman, Jane, Lisbon)

Jane (au gars costaud devant lequel il passe en courant): You were right, big man.

Lisbon sort du vestiaire de Flacco.

Rowdy Merriman (à Jane qui court devant): Say that again, you son of a bitch! Why don't you get back here, see what one of your mouths can...
Lisbon (à Merriman et ses gars qui passent devant elle): Hey! Hey! Live him alone. He’s a cop!

 

Bâtiment du CBI. Jour.

Bureau de Lisbon

(Lisbon, Van Pelt)

 

Lisbon (au téléphone): I'll get back to you.

Van Pelt (entre dans le bureau un dossier à la main): Ballistics came back. 9-millimeter weapon.

Rifling patterns and striations on the bullets indicate the gun used to kill Charlotte Mitchell was also used in a murder back in 2001. The weapon was never recovered. The killer was a man named Joe Reyes. Got out eight months ago. Early release.

Lisbon: Cho's still working through suspects from the arena. Take Rigsby and talk to Reyes. Find out what happened to that gun. I'm gonna go talk to the victim's father.
Van Pelt: Rigsby's... busy.

Lisbon: With what?

Van Pelt: Mr. LaRoche is interviewing him.

Lisbon: Oh?

 

Dans un bureau du CBI

(JJ Laroche, Rigsby, Lisbon)

 

JJ Laroche: A man named ToddJohnson was murdered while in CBI custody.

Rigsby: Yes. Cop killer, burned to death in his cell.

JJ Laroche: I just wanted to get your opinion on some things. You were an arson investigator before coming to CBI, right?

Rigsby: Yeah, in San Diego.

JJ Laroche: Yeah. Are you familiar with... Pyrophoric igniters?

Rigsby: Sure. Liquid or solid?

JJ Laroche: Used in conjunction with a xylene accelerant?

Rigsby: Overkill, I'd say.

JJ Laroche: Really? And the fire safety system here in CBI... Easy to access and deactivate?

Rigsby: Top-of-the-line E.S.F.R system? No. Bypassing that took real know-how.

JJ Laroche: You could deactivate it, couldn't you?

Rigsby: Yes, I could. Are you accusing me?

JJ Laroche: Are you confessing? Your father is Steven Robert Rigsby.

Rigsby: Yes, he is. What does he got to do with the investigation?

JJ Laroche: Used to be affiliated with the Iron Gods motorcycle gang, yes?

Rigsby: Well, you know he was.

JJ Laroche: Yes, I have his sheet here. Robbery. Narcotics. Assault. Manslaughter. Quite the rascal.

Rigsby: Look, I have nothing to do with my father.

JJ Laroche: Nothing at all? No card at Christmas?

Rigsby: Nope. We don't talk. I don't know where he is.

Lisbon (entre et interromp l’interrogatoire): LaRoche. You're supposed to inform me when you talk to one of my people.

JJ Laroche: That's not a right. That's a courtesy we extend on occasion.

Lisbon: Well, in the future, I'd like you to extend that courtesy to me.

JJ Laroche: Thank you, agent Rigsby. That should do it.

(Rigsby se lève et part. Lisbon reste là, interdite)

 

A l’interieur d’une église

(Rigsby, Van Pelt, Joe Reyes)

 

Joe Reyes (chante avec son auditoire): Shall he lead Every foe is vanquished And Christ is lord indeed. Amen, amen. Amen.

(Rigsby et Van Pelt s’avancent vers la chaire) Welcome. (à son auditoire) We have newcomers, brothers and sisters. Make 'em feel welcome.

Rigsby: Joseph Reyes?

(dans l’église vide de fidèles)

Joe Reyes: My gun. A, a woman was killed with my gun?

Rigsby: Same one you used back in 2001.

Joe Reyes: So you just cannot escape the sins of the past. All you can do is ask the Lord's guidance and you know, keep on, man.

Van Pelt: Did you know Charlotte Mitchell?
Joe Reyes: No, ma'am, I did not, and I don't have that gun anymore either.

Rigsby: Got rid of it back when you shot that guy? What did you do with it?

Joe Reyes: I gave it to a lady friend of mine at the time.

Van Pelt: What did she do with it?

Joe Reyes: That I don't know. I haven't seen her since my arrest.

Rigsby: What was the lady's name?

Joe Reyes: Uh... Dawn. Dawn May.

Rigsby: Address?

Joe Reyes: Don't know. Like I said, I didn't look for her when I got out. After finding my faith,
I realize I had to turn my back on all my evil ways and all the people that could possibly lead me back there.

Rigsby: All right. Thanks for your time.

Van Pelt: Why did you kill that man back in 2001? If you don't mind my asking.

Joe Reyes: I don't know, ma'am. It was foolishness. Look, I, I did a lot of bad things back in the day, and that was just the one they caught me for. This is God's plan.

 

Dans la maison familiale de Charlotte Mitchell

(Lisbon, Jane, Tom Mitchell)

 

Une voix de femme: Here it is. I found it.

sur l’écran télé, une vidéo, Tom filme sa fille Charlotte:

"Tom Mitchell: Good, good, good, good. Okay. Hold it up.

Charlotte Mitchell: Dad. No, come on.

Tom Mitchell: Hold it up. Higher, higher, higher. Okay.

Charlotte Mitchell: It's just a town hall report.

Tom Mitchell: No, it's your first newspaper article... " (met en pause la vidéo)

Tom Mitchell: She was a good girl. A fine human being.

Lisbon: We're sorry for your loss, Mr. Mitchell.

Tom Mitchell: Hmm. Thank you.

Jane: Would you mind terribly if I just took a little look around?

Tom Mitchell: Uh, no, uh, not at all. The kitchen is, uh, there, and her office is this way. (il les entraîne dans le bureau de Charlotte) These... Are her notebooks. She kept good notes. I taught her that. I apologized to her only last week, teaching her a dying profession. Journalism's dying, you know. All this... Internet.

Lisbon: Uh, maybe we should go in the living room, Mr. Mitchell.

Tom Mitchell: Uh, yeah.

Lisbon: I take this. (Tom lui tend les carnets de Charlotte)

Jane: I'll be right there.

 

Dans le salon de Tom Mitchell

Lisbon: Can I get you something to drink, Mr. Mitchell? Some water, maybe?

Tom Mitchell: Yeah. That would be very nice, thank you.

Tom Mitchell remet en route la vidéo:

"Tom Mitchell: It's newspaper articles.

Charlotte Mitchell: No, I've been published in real newspapers before.

Tom Mitchell: Those were not real newspapers.

Charlotte Mitchell: Yes, they were so!

Tom Mitchell: No, they weren't. No, okay. All right, all right. Now I want you to read from it. Come on. Read from it.

Charlotte Mitchell: I'm reading it.

Tom Mitchell: Oh, ha ha. Out loud! Go on!

 

Charlotte Mitchell: "Grove Park interim mayor Joyce Franklin "presided today over the opening "of a brand-new senior center named for retiring councilman Sam Chapin."

Uh... there.

Read the whole thing. Come on.

Charlotte Mitchell: The center will serve the Grove Park community and the surrounding areas..."

Jane regarde dans le bureau de Charlotte, photos, diplômes, masques accrochés au murs.

Un bruit de chute.

Lisbon (revient au salon un verre d’eau à la main et trouve Tom Mitchell étendu au sol): Jane! Get in here! Heart attack. Ambulance. (elle lance à Jane son portable, en continuant à lui faire un massage cardiaque)

Lisbon: Mister Mitchell! Stay with me!

 

Dans un coin du bureau de l’équipe au CBI

(Lisbon, Jane)

Lisbon (au téléphone s’approche de Jane): Thanks. (elle s’assoie près de Jane)

Jane regarde la télévision:

"Let us know. Flacco is continuing to pummel Merriman..."

Lisbon: The doctors say Tom Mitchell had a major cardiac arrest.

Jane: Hmm. I could have told them that.
Lisbon: They were able to stabilize him, but he's still unconscious. They're gonna keep him in I.C.U. until he wakes up.

Jane: Poor man. (Jane regarde le combat Flacco / Merriman) Ooh.

Lisbon: Went down and stayed down.

Jane: Oh, yeah.

Lisbon: But I've been looking through Mitchell's notebooks. Aside from a whole bunch of stuff about the dangers of mixed martial arts fighting and blood markers, she was looking for a fight fixing angle.What do you think?

Jane: Merriman took a fall? Ah, I can't see it. It's worth killing over, though. A lot of money to be made on a sure thing.

Lisbon: We should talk to the promoter, Artash, see what he has to say about fight fixing.

 

Salle de Boxe. Des hommes à l’entraînement

(Lisbon, Jane, Len Artash, Floyd Benton)

(Lisbon et Jane traversent la salle au milieu des boxeurs)

 

Lisbon (à Len Artash qui est au téléphone): Mr. Artash?

Len Artash: All right, 60/40 split. And an option for his next three fights. Hey, alternatively, go eat a shoelace. I want... Hey. I want the deal done by Friday. Call me back. (raccroche. à Lisbon et Jane) We got it! Manny fights for the title, six months' time. $2 million purse. Ha. Can I pick 'em or what? You see that kid with the long hair? He's gonna be my next champion. Mark my words.

Lisbon: Fight fixing... What can you tell us about it?

Len Artash: No, that doesn't happen. The board finds out, everyone involved is done. Forever. And you need a fighter willing to take a dive, which Merriman isn't.
Lisbon: No?

Len Artash: Egotistical jerk like him?

(Jane s’approche du ring où le boxeur aux longs cheveux s’entraîne. L’entraîneur est appuyé sur les cordes)

Floyd Benton (aux boxeurs sur le ring): Come on! Stick the jab and shoot it. Stick and shoot! Get off the ropes!

Jane: Your fighter looks bigger and stronger. Shouldn't he be winning?

Floyd Benton: He's slower and dumber.

Jane: You're Floyd Benton, aren't you? Didn't you train Manny Flacco?

Floyd Benton: Used to, until he got too big and smart to learn. Come on, son of a bitch. Stick it! Move! Come on! Ah. Police officer.

Jane: How'd you know?

Floyd Benton: Police and fine women always think they got a right to be wherever they're at, and you ain't no fine woman.

Jane: I'm here about Charlotte Mitchell.

Floyd Benton: Yeah. Poor girl. You think it was about the fight?

Jane: What do you think?

Floyd Benton: I think if it wasn't about the fight, you wouldn't even be here.

Jane: What aspect of the fight do you think would motivate murder?

Floyd Benton: You're the detective. What, am I supposed to do your job for you?
Jane: What if I do your job for you? Is that a fair exchange?

Floyd Benton: Shoot.

Jane: Artash's prospect has a tell. He taps his forehead before he throws a right uppercut. When he does that, your guy should step to the right and throw a hook.

Floyd Benton: Damn, if you ain't almost correct. You got a good eye.

Jane: Well, thank you. Now it's your turn. Charlotte Mitchell... Who killed her?

Floyd Benton: Don't know. But I will say this. There's more to Manny Flacco than meets the eye.

Jane: Oh. And what's that?

Floyd Benton: Just a vibe I get.

Jane: Does that vibe have anything to do with the fact that he fired you as his trainer?

Floyd Benton: I'm a bigger man than that. (aux boxeurs) Okay, listen up. Come here. Come here, come here, come here. Listen, the man there...

 

Extérieur jour. Rigsby et Cho descendent de voiture.

(Rigsby, Cho, Dawn May, J.J. LaRoche)

 

Cho: There she is... Joe Reyes' old girlfriend.

(une jeune femme fait traverser des enfants sur un passage piéton)

Dawn May: Keep on going. All right. Come on now. Keep movin'.

Cho: Dawn May? We need to talk.

Dawn May: What's this about?

Rigsby: You remember a guy named Joe Reyes? We need to know what happened to a gun he gave you.

Dawn May: Could you guys keep it down? People around here might get upset, they knew about my past business.

Cho: The gun... What'd you do with it?

Dawn May: I gave it to my cousin Bobby. I don't know what he did with it.

Rigsby: Where's your cousin Bobby?

Dawn May: Dead. Got blown up in Iraq.

Rigsby (son téléphone vent de sonner, il s’éloigne): Excuse me. Hello?

J.J. LaRoche (au téléphone, du bureau de Rigsby du CBI): Agent Rigsby, this is J.J. LaRoche. Where are you? We need to talk more.

Rigsby: I'm working a case.
J.J. LaRoche: When are you coming back in?

Rigsby: Well, I couldn't say. It's an active case.

J.J. LaRoche: I could ask agent Lisbon to bring you back. Should I do that?

Rigsby: I'll be there in an hour. (se rapproche de Cho et Dawn May)

Dawn May: ...Two kids I'm trying to raise right who don't know the kind of life I used to lead.

Cho: Ma'am, we won't speak to your children about this unless we need to.

Rigsby: You ready?

Cho: Yeah. Thank you, ma'am.We'll be in touch.

Rigsby: Thank you.

(il sretournent à leur voiture)

Cho: Says she was at a parent-teacher conference the night before last. Should be easy to check. Anything wrong? Who called?

Rigsby: Nothing. Nobody.

 

Dans un bureau du CBI.

(JJ Laroche, Rigsby)

 

J.J. LaRoche: You said there had been no contact. But phone records show six phone calls from your father between June and July of 2008.

Rigsby: What does this have to do with someone burning a cop killer to death here in CBI?

J.J. LaRoche: Nothing directly, but it does speak to character.

Rigsby: You're questioning my character?

J.J. LaRoche: Did you know there are criminological studies that posit criminality as a heritable trait? Like eye color or a baritone voice.

Rigsby: Wh, what?

J.J. LaRoche: I just mean... it may not be your fault, agent Rigsby. You may simply be predisposed to criminal behavior. Scientifically speaking.

Rigsby: Look, my father called me about a mix-up with his parole officer. Was I supposed to ignore him? Hang up?

J.J. LaRoche: And did you forget that conversation, or you just chose not to speak of it?
Rigsby: I forgot. (se lève brutalement) Are we done here? I think we're done. (il s’en va laissant Laroche interdit)

(croise Van Pelt dans le couloir, sans lui jeter un regard. Van Pelt entre dans le bureau de Lisbon)

(Van Pelt, Lisbon)

Van Pelt: Hey. I got something. A security guard had a run-in with Charlotte Mitchell before the fight. She was trying to get into the dressing room area. Didn't have the right kind of access laminate, so he wouldn't let her in. She got agitated, made a scene, and he threw her out. This was at approximately 6:30.

Lisbon: 6:30? And that puts her in the arena an hour before the M.E.'s estimate.

Van Pelt: Yep, and that means Flacco and Merriman both had opportunity. They're suspects, too.

Lisbon: Bring 'em both in. See what they have to say under questioning.

Van Pelt: Okay.

 

Dans le couloir près de l’ascenseur.

Rowdy Merriman et quatre de ses copains sortent de l’ascenseur.

(Cho, Rowdy Merriman, Lisbon, Manny Flacco, Bea Flacco, Jane)

 

Cho: Mr. Merriman, your associates are gonna have to wait outside.

Rowdy Merriman: Oh, they're cool.
Cho: They're cool outside.

Rowdy Merriman (à Manny Flacco qui plus loin discute avec Lisbon): Hey, Flacco, you little punk! You used plaster wraps, didn't you? I know a little punk like you don't hit that hard!

Lisbon: Mr. and Mrs. Flacco, why don't we talk in my office?

Rowdy Merriman: Come on, babe.

Rowdy Merriman: Oh, now you running away, Manny? Just like you did in the cage, huh?

Manny Flacco (à Merriman): 2 million people saw me kick your butt. Live with it.
Rowdy Merriman: Oh, hell, no. Come on!

(Merriman et Flacco se rapprochent à un mètre l’un de l’autre, Lisbon s’interpose)

Lisbon: Control yourselves, both of you. Look, either of you try anything, and I'm gonna put you in cuffs. So let's just calm down and get back to business.

Jane (arrive, une tasse de thé à la main l’air espiègle. A Merriman, en passant derrière lui): I think you like getting beaten up. A little masochistic streak there, huh?

(Jane vient de mettre le feu aux poudres, bagarre générale)

Lisbon: Thanks for that. Thanks. Break it up, guys! That is enough!
(Jane s’éloigne tranquillement)

 

Entrée dans une salle d’interrogatoire du CBI

(Rigsby, Suge Lima)
Suge Lima: What the hell is going on here? Do you people even know what you're doing?

Rigsby: Sit down, Mr. Lima.
Suge Lima: No! Not until you tell me why you're setting Manny up to get jumped.

Rigsby: Mr. Lima, how we conduct interviews is not your concern.

Suge Lima: It is if it endangers my fighter. Manny shouldn't have been called in here anyway. He's grieving for Charlotte.

Rigsby: We just need to ask him a few questions. Now, please, take a seat.

Suge Lima: Why? I mean, you got the man you want already.
Rigsby: You mean Rowdy Merriman?

Suge Lima: You saw him. He doesn't like it when he doesn't get what he wants, and he didn't get what he wanted from Charlotte.

Rigsby: And what did he want?

Suge Lima: Guess.

 

Dans une autre salle d’interrogatoire.

(Rowdy Merriman, Cho)

Rowdy Merriman: Nah, I didn't kill the writer lady. Why would I?

Cho: I've looked at your rap sheet. There's a history of violence against women.

Rowdy Merriman: Pfft. Man, if I slap a bitch, it's 'cause she asked for it. Bitches like to get slapped. Don't ask me why.

Cho: Did Charlotte Mitchell ask for it?

Rowdy Merriman: No, she didn't. But I asked her, though, you know? Huh. You know, she was like... "Ew!" You know, I disgusted her, man. Nice, clean, college lady.

Cho: She rejected you. How'd that make you feel?

Rowdy Merriman: Like I had to call another bitch to break me off a piece, which I did.

Cho: Now she was researching you and Flacco. Maybe she found out something about you you didn't want anybody to know.

Rowdy Merriman: Man, you know what? I got nothin' to hide. I'm straight up thug, and I'm proud of it. You know, what they gonna say about me that ain't already been said, huh? Nah. Little Mr. Perfect... He's the one got secrets to be hidin'.

Cho: Flacco... What's he got to hide?

Rowdy Merriman: I mean, he was knocking boots with that writer lady, for one, dogging on that nasty little wife of his.

Cho: You got proof of that?

Rowdy Merriman: Proof, man. Ask the punk, dude. He'll be like... (Cho se lève et sort de la salle) Yeah, go ask him.

 

Dans une autre salle d’interrogatoire.

(Lisbon, Manny Flacco, Beatriz Flacco)

Lisbon: Mr. Flacco? Do you want your wife present during our interview? Normally, we do this alone.

Manny Flacco: I need her here. I got no secrets from Bea.

Lisbon: Okay. What was your relationship with Charlotte Mitchell?

Manny Flacco: She was writing a book about me and Rowdy, about the fight.

Lisbon: Which started when?
Manny Flacco: Since I started training for the fight, about six months ago.

Lisbon: And how about when you weren't training?

Manny Flacco: What does that mean?

Beatriz Flacco: Don't act dumb, Manny. She wants to know if you were sleeping with her.

Manny Flacco: What? No.

Beatriz Flacco: Look at me when you say that.
Manny Flacco: Honey, I wasn't sleeping with her.

Beatriz Flacco: "Honey"? Please. So he's sleeping with her? So what?
Manny Flacco: Bea...

Beatriz Flacco: No. I don't wanna hear it now. We've been together since I'm 13, married since 17, 4 kids. You think I don't know what's going on? He's a professional athlete. I blame it on the women. Men don't know any better.

Manny Flacco: Baby, I never s...
Beatriz Flacco: And you know what? Manny's good. He doesn't go all crazy. But we do have the nurse at the physio clinic, the two waitresses in Vegas, the girl at Len's club...

Lisbon: Where were you the night of the fight, Ms. Flacco?

Beatriz Flacco: Backstage. I, I can't take it when Manny's fighting. I wait until it's over.

Lisbon: Was anybody with you?

Beatriz Flacco: Yes. Plenty of people. There's always people around. But yeah, you know what? I could have sneaked off and killed the lady... Only I didn't. We done?

Lisbon: For now.

Manny Flacco (il veut aider sa femme à se lever): Bea, come on.

Beatriz Flacco: No, no, no.

(Manny sort, Beatriz reste à la porte. A Lisbon) Don't be mad. You want to talk to Floyd Benton. The lady was gonna write about how he dopes his young fighters at his gym. That's why we took Manny out of there.

 

Dans une salle d’interrogatoire

(Lisbon, Floyd Benton)

Lisbon: Where were you the night of the Flacco/Merriman fight?

Floyd Benton: At the fight. I had to buy a ticket. You believe that?

Lisbon: Charlotte Mitchell asked you about steroid use at your gym, correct?

Floyd Benton: Beatriz Flacco. She hasn't liked me since she was a little girl in pigtails.

Lisbon: What's Beatriz Flacco got to do with this?

Floyd Benton: She told you that crap.

Lisbon: We heard from numerous sources that Flacco fired you as his trainer because you were pushing steroids on him.
Floyd Benton: No one was pushed to do anything.
Lisbon: But there was steroid abuse, and Charlotte found out about it, right?

Floyd Benton: Big scoop. Athletes get juiced.

Lisbon: Steroid abuse is a crime.

Floyd Benton: So arrest me. I won't resist. I've done far worse things than abuse steroids. I wouldn't hurt a lady over some picayune nonsense like... Steroids? Please.

 

Dans le bureau de Lisbon.

(Lisbon, Jane)

Lisbon (assise sur son bureau): They all had motive, and they all had opportunity.

Jane (Jane allongé sur le canapé): Hmm. What about the notebooks?

Lisbon: I read her last six months of notes. There's nothing useful that I could see.

Jane: Could I take a look?

Lisbon: Be my guest. (elle lui envoie un carnet Moleskine, Jane commence la lecture)

 

Dans le bureau commun à l’équipe au CBI.

(Joe Reyes, Rigsby)

Joe Reyes (à Rigsby qui arrive): Excuse me, agent.

Rigsby: Mr. Reyes, what brings you here?

Joe Reyes: Look, I just saw on TV that that lady who died... Her father just had a heart attack. Now is he gonna be okay?

Rigsby: I'm not sure yet. He's in I.C.U. What's up, Mr. Reyes?

Joe Reyes: Look, I, I lied before.

Rigsby: Take a seat.

Joe Reyes: Thanks. (ils s’assoient au bureau de Rigsby)

Rigsby: Go ahead.

Joe Reyes: When I told you I don't see Dawn anymore, well, I, I do... see her every now and again. Y, you know, for old times' sake.

Rigsby: Hey, why not?

Joe Reyes: You people got me thinking about that damn gun and all the mess it's caused, so I went to see Dawn, and she told me she told you she gave that gun to her cousin Bobby, who passed.

Rigsby: That's right. We can't track the gun past him.

Joe Reyes: Yeah, well, it's not true what she said. She didn't gave that gun to Bobby, God rest his soul. She just said that because Bobby's dead, and he can't deny it, you know? She didn't wanna get into trouble.
Rigsby: What did she do with the gun?

 

Extérieur nuit, East Oakland, Calfornia, une rue

(Rigsby, Cho, Frank Lopez)

Cho (un groupe de personne attablé) : Frank Lopez. We need to talk to you.

Frank Lopez: CBI? I ain't never been questioned by the CBI. Guys... (ses amis quittent la table) Thank you. (à Rigsby et Cho) What you got?

Cho: Ten years ago, a woman named Dawn May gave you a 9-millimeter handgun.

Frank Lopez: She did?

Rigsby: You still have the weapon?

Frank Lopez: Why do you ask?

Rigsby: Well, the gun was used in a murder two days ago.

Frank Lopez: Oops. Dawn May. The name's not ringing any bells. What kind of gun was it?

Cho: 9-millimeter.

Frank Lopez: Oh, yeah! Yeah, it was a nice weapon. A glock. Yeah, Dawn. Skinny, crazy girl. What happened to Dawn?

Rigsby: Oh, she's fine. And the glock?

Frank Lopez: Oh, I lost it.

Cho: You lost it.

Frank Lopez: Yeah. Four years ago... At a club called, uh... Narcissus. You know it? There was a scuffle. I had to run out after some punk. Next time I look, the 9 was gone. It's a nice weapon, but what can you do?

Rigsby: Uh-huh. And, uh, where were you two nights ago?

Frank Lopez: I was here. Any one of these guys will tell you. You don't believe me? You can lie-detect me. I ain't worried.

(le téléphone de Cho sonne)

Rigsby (rattrape Cho quo s’était éloigné): What'd you get?

Cho: That guy LaRoche... He wants to talk to me, wants me to come in. What'd he talk to you about?

Rigsby (stoppe Cho dans sa marche) Okay, look. I have to tell you something. I should I told you before, but I didn't. Two years ago, my dad called me, and he was getting hit with a parole violation. Seen consorting with known criminals, and he was looking at a full 20-year bit in folsom.

Cho: So you alibied him out.

Rigsby: Yeah. I said he was with me at the time, but... I'm family. So the parole officer wanted to know if there was anybody else there, you know, who could verify it, and... I said you.

Cho: What?

Rigsby: It just came out of my mouth. I swear to God, if I could've taken it back, I would've. But they never checked back with you, and everything seemed fine, so I just forgot about it until LaRoche started questioning me.

Cho: So you involved me in your perjury, and now P.S.U. is investigating it.

Rigsby: If LaRoche finds out about this, my career is over.

Cho: Yeah, it is, unless I lie as well, back you up, right?

Rigsby: I'm sorry, man. I know I've put you in a bad spot.

Cho: I've been a cop close to ten years. Never lied to another cop, not once.

Rigsby: Look, I'm not asking for you to lie now. I just... I want you to do what you think is right.

Cho: Yeah.

(ils montent dans la voiture)

Rigsby: So what are you gonna do?

Cho: I'm not lying for you.

(Cho démarre)

 

Dans un bureau du CBI, une émission télé.

Jane assis à une table écrit dans le carnet de Charlotte en regardant le reportage

(Len Artash, Lisbon, Jane)

"Len Artash:Manny Flacco will be fighting for the middleweight crown on Cinco de Mayo. It will be a second American revolution. What a country. Where else can a kid from the barrio and a son of Armenian immigrants come together to make something like this happen? Me, a guy, who five years ago, owned a few parking lots and a couple of restaurants and nightclubs? And a kid who never graduated high school. But we had a dream, and today that dream is a reality. God bless America."

Lisbon: Anything on Mitchell's notes?

Jane: Not a thing. Manny Flacco is challenging for the middleweight crown. Len Artash just announced it. (Jane empoche le carnet en se levant)

Lisbon: What are you doing?

Jane: Going to talk to Len Artash. You coming?

 

Dans la salle de boxe

(Jane, Lisbon, Len Artash, Floyd Benton)

Artash et Floyd s’occupent de deux sportifs qui luttent au sol.

Len Artash: Pull guard!

Floyd Benton: Reverse, reverse, reverse.

Len Artash: Watch the guillotine!

Jane: Artash, got some questions for you. You were born in America, yes?

Len Artash: That's right.

Jane: And your parents are Armenian.

Len Artash: Yes. Why?

Jane: What was your father's name?

Len Artash: Arik Artashian.

Jane (à Floyd Benton qui est près de son ring): What's your father's name?

Floyd Benton: Floyd.

Jane: Uh-huh. And your mother?

Len Artash: Nancy. What is this about?

Jane: Nancy... doesn't sound like an Armenian name.

Len Artash: No, it's not. It's what she called herself when she got here to America.

Jane: What was she christened?

Len Artash: Nargiz. And do you have...

Jane: Nargiz. I bet that means something beautiful.

Len Artash: It's a flower.

Jane: Either of you recognize this? (il leur montre un carnet Moleskine)

Len Artash: No. What is it?

Jane: It's Charlotte Mitchell's notebook. You know what that says? (ouvre le carnet à une page) What about you?

Floyd Benton: No. What do you think it is?

Jane: I don't know. Some kind of coded shorthand, most likely. Doesn't matter. Uh, I'll bet her father knows what it says. Doctors said that Thomas Mitchell has taken a turn for the better.

Uh, expected to regain consciousness in 12 to 24 hours, right?

Lisbon: Right.

Jane: Right, so there we have it. Thomas Mitchell will tell us what this says, and then I'll bet we will find out what Charlotte learned that got her killed.

(Jane et Lisbon s’en vont)

Lisbon: I went through that entire notebook. There wasn't any shorthand in it.

Jane: Really? How weird. Wonder where it came from.

 

 

Dans un bureau du CBI

(JJ Laroche, Cho)

Laroche et Cho entrent dans le bureau, le dossier de Cho est sur la table. Ils s’installent.

JJ Laroche: You served in the military, didn't you, agent Cho?

Cho: Yes.

JJ Laroche: Rangers?

Jane: Special forces.

JJ Laroche: So... you understand the concept of honor. That's an affidavit that Wayne Rigsby signed saying that you and he spent an afternoon with his criminal father. You remember that day, agent Cho? (Cho lit la déclaration de Rigsby, referme le dossier en fixant Laroche dans les yeux. Les deux poings sérrées sur le dossier) Agent Rigsby initially claimed to have no contact with his father then became evasive when confronted with his falsehood. Looking into it, I... discovered that... Wayne provided an alibi that kept his father out of jail... And you were part of that alibi. So... I just need you to confirm... On your honor... That you were indeed there that day.

Cho: Yes, I was. I was there with agent Rigsby and his father.

JJ Laroche: Okay. (Laroche sort son carnet et prend des notes) Good. What did you do that afternoon... The three of you? Give me some details.

Cho: I don't recall. (il fait glisser le dossier vers Laroche)

JJ Laroche: Nothing at all? Strange.

Cho: I was there. I'll swear to it. You need me to sign something to make it official?

JJ Laroche: No. That won't be necessary. That'll be all. Thank you, agent.

(Cho se lève calmement et sort)

 

Dans le bureau commun à l’équipe

Rigsby assis à son bureau

(Cho, Rigsby, Lisbon)

Cho (s’approche de Rigsby): I told him I was with you.

Lisbon (arrive): All right, let's go. We've gotta get to the hospital. You guys okay? Let's go. I'll explain on the way.

 

A l'hôpital où est soigné Tom Mitchell

(Cho, Rigsby, Van Pelt, Joe Reyes, Suge Lima)

 

Cho : All clear in Mitchell's room. (referme la porte d’une chambre) Hallway's clear.

Rigsby (assis dans une salle d’attente): All clear here.

Van Pelt (dans un couloir): Wait a minute. I think I saw Reyes. (elle le suit) He's headed your way.

Rigsby: I see him, Cho. Cut him off.

Cho (dans le couloir): Mr. Reyes.

Rigsby (qui suivait Reyes): What are you doing here?

Joe Reyes: Um, I was just coming to pay my respects.

Rigsby: No, you can't be here. We have to leave now.

Joe Reyes: Wait. I didn't mean anything. What are you doing?

Cho: Don't argue, Mr. Reyes. Right this way. Come on.

(ils embarquent Reyes entre eux deux)

 

Une main gantée de gants de latex bleu ouvre une porte.

Suge Lima baisse le store de la chambre. Ferme la porte à clé, empoigne un oreiller, se dirige vers le lit et découvre derrière le rideau un mannequin de plastique sous assistance respiratoire.

 

 

Lisbon (tire le rideau et pointe son arme vers Lima interloqué): Mr. Lima, put your hands on your head where I can see 'em.

Jane: Mr. Mitchell left the I.C.U. Yesterday, but I'll be glad to pass on your best wishes.

Suge Lima: Whatever. You got nothing. That notebook shorthand crap won't fly in court.

Jane: True enough. I happened to write that notebook shorthand crap myself. Charlotte Mitchell was murdered because she discovered a secret. I simply had to convince the killer that the secret didn't die with her. Et voilà.

Lisbon: And this should fly nicely in court.

Suge Lima: You got it all wrong...

Lisbon: Save it. This is the gun that was used to shoot Charlotte Mitchell, and you're the one who killed her.

Jane (remue la tête de gauche à droite): Hu, hu, hu!

 

Dans la chambre d’hôpital de Tom Mitchell toujours allité.

(Lisbon, Tom Mitchell, Jane)

Lisbon (pause les carnet Moleskine sur la tablette de Tom Mitchell): You can have these back now, Mr. Mitchell.

Jane: I, uh... I'm sorry, but I, I scribbled in one of those. That's, uh, how we caught the man that shot your daughter. I hope you don't mind.

Tom Mitchel: No, no. That's, uh... So... um, it's over? Y, you've solved the case?

Lisbon: Yes. Now we're just tying up some loose ends.

 

Dans la salle de boxe vide

(Jane, LisbonLen Artash)

Len Artash: Never... never would've figured Suge Lima as a murderer. Yeah, that's terrible. Shocking.

Lisbon: Yes, it is.

Len Artash: What for? So, uh... is there anything I can do to help?

Jane: There is, actually. Your... your mother's name... the flower?

Len Artash: Yes. Nargiz.

Jane: Nargiz, which means... Narcissus... Same name as your club, named it after your mom.

Len Artash: Yeah.

Jane: Club Narcissus, where Frank Lopez lost Joe Reyes' gun.

Lisbon: Yeah, the one he got from Dawn May.

Jane: That one.

Len Artash: Who? What?

Lisbon: You don't know the guys, but we know how you got the gun that Lima used to kill Charlotte Mitchell, and you're under arrest. Stand up.

Jane: The only thing we don't know is why you had to kill her.

Lisbon: And that's what we're gonna find out.

Lisbon passe les menottes à Len Artash.

 

Dans le bureau de Lisbon au CBI

(Lisbon, Manny Flacco, Bea Flacco)

 

Lisbon: Mr. Flacco, do you remember around a year ago, giving blood to be tested?

Manny Flacco: Sure. Results came back, said I was as healthy as a horse. Suge told me.

Lisbon: Suge lied. He and Artash submitted the samples under Suge's name instead of yours just in case. Markers showed a high level of protein that indicates cranial bleeding and spinal leakage.

Bea Flacco: Oh, my God.

Lisbon: Charlotte Mitchell figured out the switch.

 

Flashback. Charlotte Mitchell en conversation au téléphone chez elle:

Charlotte Mitchell: I know that blood sample was Manny's, not Lima's. If Manny gets in that cage, he could die.

Len Artash: What the hell are you talking about, lady? And how'd you get your hands on those tests?

Charlotte Mitchell: Stop the fight, Len, or else.

Manny Flacco: All right, all right. I'll stop the fight. Calm down.(se retourne vers Suge Lima) We got a problem.

Bea Flacco: Those sons of bitches. They risked Manny's life.

Lisbon: No M.M.A. authority would let him in the cage if word got out.

 

Flashback. Dans un couloir de l’Arena

Suge Lima: It's one doctor's opinion. He looks fine to me.

Charlotte Mitchell: Do you really think you'll get away with this? I will tell everyone.

(Suge, attrape Charlotte la secoue) Let go of me. Let go of me. (un coup de feu retenti)

 

Près de l’ascenseur du CBI

(Bea et Manny Flacco)

Bea Flacco (en entrant dans l’ascenseur): It's gonna be fine, baby. We're gonna make it through this.

Dans le couloir

(Lisbon, Jane, Cho, Rigsby)

Lisbon: You gotta feel for the guy. He lost his livelihood.

Jane: Meh. Lost a life of getting hit in the head, but he got his marriage back. Seems like a fair trade to me.

Lisbon: Aren't you the romantic.

Jane: Makes the world go round.

Ils arrivent dans la cuisine, Lisbon continue son chemin. Jane se prépare une tasse de thé, Cho travaille à une table.

Rigsby (s'approche de la table de Cho): Hey. Cho. Thank you.

(Jane regarde Rigsby et Cho, un petit sourire aux lèvres)

 

 

 

the end

 

maiii

Kikavu ?

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HypnoRooms

choup37, 15.04.2024 à 10:15

Il manque 3 votes pour valider la nouvelle bannière Kaamelott... Clic clic clic

chrismaz66, 15.04.2024 à 11:46

Oui cliquez;-) et venez jouer à l'animation Kaamelott qui démarre là maintenant et ce jusqu'à la fin du mois ! Bonne chance à tous ^^

Supersympa, 16.04.2024 à 14:31

Bonjour à tous ! Nouveau survivor sur le quartier Person of Interest ayant pour thème l'équipe de Washington (saison 5) de la Machine.

choup37, Hier à 08:49

5 participants prennent part actuellement à la chasse aux gobelins sur doctor who, y aura-t-il un sixième?

chrismaz66, Hier à 11:04

Choup tu as 3 joueurs de plus que moi!! Kaamelott est en animation, 3 jeux, venez tenter le coup, c'est gratis! Bonne journée ^^

Viens chatter !