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#209 : Pour une poignée de diamants

Jane et l'équipe sont appelés pour enquêter sur le vol et le meurtre d'un bijoutier alors qu'ils participent à un gala de bienfaisance.

Captures

Avis de Télé Star : Cet épisode manque globalement de ressort.

 

Popularité


4.09 - 11 votes

Titre VO
A Price Above Rubies

Titre VF
Pour une poignée de diamants

Première diffusion
10.12.2009

Première diffusion en France
29.09.2010

Vidéos

Trailer CBS

Trailer CBS

  

Plus de détails

Scénario   Eoghan Mahoney
Réalisation   Charles Beeson
Avec  

Callard Harris (Tom Doverton)
David Monahan (George Doverton)
Dey Young (Esther Doverton)
David Warshofsky (Donny Culpepper)
Michael Woods (Carl Ward)
Michael Benyaer (Clinic Director)

Diffusions FR : 3 mai 2010 (TPS Star) /  29 septembre 2010 (TF1)

Audience US : 16,37 millions de téléspectateurs (3.8%)

Audience Fr : 9,03 millions de téléspectateurs

Lisbon, Cho et toute l’équipe du CBI se rendent à une œuvre de charité.  Pendant ce temps, chez Doverton et Compagnie, une bijouterie, un cambriolage a lieu. Lisbon va demander de l’argent à Mme Doverton car le CBI a besoin d’argent.  La dame parle à Lisbon des pertes humaines et récentes du CBI. Lisbon ne souhaite pas en parler. Madame Doverton présente ses neveux, Thomas et George a Lisbon et Cho. Jane monte sur la scène devant l’assemblée et fait un tour de passe passe qui plait. A la bijouterie, un homme entre et entend des bruits suspects en provenance du coffre. Il s’approche mais n’a pas le temps de faire grand-chose qu’il se fait tirer dessus. Madame Doverton reçoit un appel qui lui annonce que Carl s’est fait tirer dessus.

Jane et Lisbon se rendent à la bijouterie Doverton accompagnés des neveux. Carl était le mari de Madame Doverton. Ils se sont rencontrés lors d’un tournoi de tennis.

De retour au QG CBI ils regardent des images de caméras de sécurité des bâtiments à proximité. Ils ont obtenu une plaque d'immatriculation qui appartient à Doyle Murphy. Jane pense que cela me paraît trop facile, et ce genre de cambriolage implique habituellement plus d'une personne.

Rigsby et Van Pelt se rendent au domicile Doyle Murphy. Rigsby dit à Van Pelt que Jane sait à leur propos. Van Pelt demande si leur relation sera toujours ainsi et qu’ils seront toujours obligés de se cacher. Rigsby n’a pas le temps de répondre car ils arrivent sur les lieux.

Le gardien leur dit qu’il y a quelques heures un grand type coiffé d’un chapeau de cow-boy et conduisant un camion est venu. Rigsby et Van Pelt frappent à la porte de Doyle Murphy. C'est vide, mais Doyle Murphy est mort dans le placard d'une seule balle au front.

C’est la même arme qui a servi à tirer sur Carl et à tuer Doyle.

Jane demande à ce que le gardien vienne au CBI pour qu’il l’interroge. Dans la salle d’interrogatoire, il l’hypnotise afin d’en apprendre plus sur le cow-boy. L’interrogatoire permet d’identifier Donald Culpepper.

Rigsby et Van Pelt vont l’interroger. Ils le trouvent dans un bain bouillonnant entourés de deux superbes jeunes filles. Il dit que Doyle n’était pas dans sa chambre quant il est venu le voir.

Carl avait quant à lui un passé trouble. Mme Doverton dit qu’elle était au courant de ce passé. Jane dit qu’elle ment. L’état de santé de Carl qui se trouve à l’hôpital s’améliore.

Donald Culpepper dit que Murphy lui devait 200.000 dollars. Il dit qu’il possédait le type d’arme qui a tué Doyle mais qu’il le lui avait vendu. Lisbon et Jane pensent que Culpepper était dans le coup.

Jane discute avec Culpepper au silo. Jane lui dit qu'ils l'ont laissé aller parce qu'il est stupide. Soit il ne savait pas pour le vol à la bijoux soit il va les conduire à un indice. Culpepper n'est pas d'accord avec Jane et l'avertit de faire attention au ton qu’il emploie. Puis Culpepper part. Lisbon n’est pas d’accord avec l’attitude de Jane et le sermonne.

Lisbon dit à Jane qu’elle compris que ce qu’il souhaitait faire c’était montrer Culpepper aux Doverton et voir ce qui allait se passer. Rigsby arrive et les interrompt car le légiste doit leur montrer quelque chose. La légiste donne un diamant qu’elle a trouvé dans l’intestin de Murphy. Jane attrape l’extincteur et tente d’écraser le diamant. Il dit qu’il avait l’impression que c’était un faux mais qu’en réalité il avait tort. Le diamant a disparu.

Alors que tout le monde cherche le diamant Lisbon et les autres émettent des hypothèses.

Lisbon dit qu’il doit bien y avoir un lien entre Tom Doverton et Murphy. Jane dit qu’il l’a. Lisbon croit que c’est le diamant mais en fait c’est le lien entre Tom Doverton et Murphy. Jane dit que cela doit être en cure de désintoxication. Lisbon demande à Van Pelt de chercher où Murphy était allé en cure.

Lisbon et Jane se rendent au centre de désintoxication. Le directeur n’ayant pas compris qu’il s’agissait de policiers, il demande lequel a besoin d’aide. Jane fait alors passer Lisbon pour sa femme et dit que c’est elle qui a besoin d’aide. Jane a alors son téléphone qui sonne il dit à Lisbon de visiter le centre avec le directeur et que lui doit répondre. Jane fait alors semblant et entre dans le bureau du directeur à la recherche de dossiers. Le directeur arrive et trouve Jane dans son bureau. Mais Jane a eut le temps de trouver les infos qu’il cherchait il s’agissait de George Doverton et non de Tom.

Jane et Lisbon vont parler à Tom. Ils demandent à parler à George mais Tom répond qu’il n’est pas là. Jane se rend compte que George est caché derrière la porte. George arrive et dit qu'il n'a menti pour cacher sa toxicomanie, mais insiste pour dire qu'il n'avait rien à voir avec le vol. Sur leur chemin, un messager apporte une lettre de rançon pour leur tante. Retour à la CBI, confirmation que la tante à disparue. L'équipe pense que Culpepper pourrait être derrière tout ça. À l'heure dite un appel téléphonique se fait entendre George répond à l'appel. La voix est brouillée. Il indique à l'appelant qu'il n'a pas les bijoux. Ils entendent un coup de feu. George s'enfuit laissant Tom seul avec le téléphone. Il sonne de nouveau. George répond aux ravisseurs qu’il a l’argent et dit qu’il ne donnera pas les diamants. Puis on voit Jane parlant dans un brouilleur de voix sur l'autre côté de la vitre. Ils ont la confirmation que c’est Tom qui a tué Murphy.

Mme Doverton sait maintenant que c’était Tom qui était derrière toute l’affaire.

Mme Doverton va ensuite voir son mari à l’hôpital. Elle reste derrière la vitre car Jane parle à son mari. Il lui dit qu’il a fait un mariage pour l’argent mais pas par amour. Carl répond que Mme Doverton soit la meilleure chose qui lui soit jamais arrivé. Mme Doverton sourit.

De retour au bureau, Rigsby trouve le diamant sous le divan de Jane avec les moutons de poussière. Jane le voit et lui dit qu'il ne dirait rien si il voulait le garder. Puis Van Pelt passe et Jane lui dit de vérifier sa poche. Il lui dit que Rigsby a dû le mettre là. Rigsby dit à Jane d’arrêter de déconner avec eux. Jane dit encore que si elle voulait le garder, il ne dirait rien. Leur secret est bien gardé avec lui.

Fin…

 

BIJOUTERIE

Quelqu'un pénètre dans les locaux par effraction.

 

''Danny boy.The pipes, the pipes are calling from glen to glen and down the mountainside.The summer's gone.''

 

GALA

 

Un homme chante.

 

HOMME: ''And all the roses falling 'Tis you, 'tis you must go and I must bide''
(Les gens applaudissent)

HOMME: Merci!

Lisbon et Cho arrivent au gala.


CHO: Où est la nôtre?
LISBON: C'est la fille qui une tête a se moucher dans des billets de 100 $.
CHO: Il n'y a que de ça ici.
LISBON: Je rigole. C'est elle là-bas. Allez.
CHO: On est obliger demander la charité?
LISBON: Notre service a besoin de fric. Souriez.

BIJOUTERIE

 

Un homme penetre dans la salle des coffres.

 

GALA

 

Ils s'approchent de Mme Doverton.

LISBON: Mme Doverton? Bonsoir. Térésa Lisbonne et Kimball Cho. Nous sommes du CBI. Vous accepter de nous parrainer, il me semble?
MME DOVERTON: Oh, oui, bien sûr. Soyez les bienvenue. J'ai été très affecté par la mort de vos proches, vos collègues.
LISBON: Merci.
MME DOVERTON: Je ne peux qu'imaginer votre peine ca du être affreux pour vous
LISBON: Nous évitons d'en parler. Merci.

BIJOUTERIE

 

L'homme ouvre les coffres-forts.

 

GALA

 

MME DOVERTON: Si vous permettez, je voudrais vous présenter à mes neveux. Voici Thomas. LISBON: Bonsoir.
MME DOVERTON: Dis bonjour, Thomas.
THOMAS: Pardon. Bonjour.

CHO: Bonjour.

THOMAS: Bonjour. Appelez-moi "Tom".

MME DOVERTON: Et lui, c'est George.

GEORGE: Mme Lisbonne. Qu'avez vous prévu comme distraction pour nous ce soir?
LISBON: Un de nos collègues travaillait dans le show-business à une époque. Il était un peu magicien. Il est là et il devrait nous distraire, enfin j'espère.
MME DOVERTON: Bonne idée.
LISBON: Santé.

BIJOUTERIE

 

L'homme dérobe les bijoux de grandes valeurs.

 

GALA

 

Jane attend pour rentrer dans la salle. Van Pelt et Rigsby arrivent au gala.

 

RIGSBY: Quoi?
JANE: Je souris. J'ai pas le droit?
VAN PELT: Il a souri, c'est tout.
RIGSBY: Ouais.
HOMME: Mesdames et Messieurs. Merci d'accueillir Mr Patrick Jane du bureau californien d'investigation
JANE: Bonsoir. Vous êtes un public très élégant. Merci d'être venu ce soir. Vous aussi, là-bas derrière. Vous êtes un régal pour les yeux. Mon nom est Patrick Jane. Je travaille pour le CBI. Voici un œuf. Ouais, j'étais censé faire des tours de magie et de lire dans vos pensées ce soir mais tout bien réfléchis, je me suis dis... où diable tout ça? Je n'ai pas envie de vous sortir mes tours ringards, alors…

(Applaudissements)
JANE: Merci. Hop et voilà. Au lieu de cela si vous le permettez, je serais bien plus fier de moi si je venais à vous insuffler une prise de conscience. Est-ce que vous vous êtes jamais dit que vous étiez une belle bande d'égoïste? Quand vous pensez aux souffrances et l'injustice dans le monde? Il ne se passe pas une seconde sans que quelqu'un quelque part ne pleure de douleur et de terreur. Une femme est violée. Un enfant meurt de faim. Un homme est exécuté pour un crime qu'il n'a pas commis. Mais nous nous sommes ici. Nous pourrions être perché sur un toit dans un village du Bangladesh, à attente que la décrue.

BIJOUTERIE

 

Le propriétaire de la bijouterie entre et voit une silhouette. Il s'approche pour aller voir mais malheureusement le braqueur lui tire dessus avec son arme.

 

PROPRIETAIRE: Argh!

GALA

 

JANE: Mais, non. Nous sommes ici, dans cette somptueuse salle de bal à siroter un délicieux champagne et à bouder les hors d'œuvres. Merci beaucoup. Oui. Levez la main tout ceux qui pensent qui ont de la chance. Si vous pensez que vous avez de la chance, levez la main. C'est ça. Nous sommes tous ici, nous sommes bénie des dieux. Si vous n'êtes pas d'accord, baissez la main. Si vous n'estimez pas que vous devez exprimer votre gratitude pour cette bénédiction, baissez la main. Si vous ne souhaitez pas faire un chèque pour sauver des vies, alors s'il vous plaît baissez la mains. Formidable. Excellent. Très bien. Attention magie. Monsieur, mettez votre main gauche dans la poche de veste. Sortez ce qui il y a à l'intérieur et montrez le à tout le monde.

(Le monsieur met sa main dans la poche de sa veste et il trouve un poussin)

JANE: Merci. Merci. N'hésitez pas à ajouter des zéros.
MME DOVERTON: C'est une façon original d'appeler à la générosité.
JANE: Oui, les approches directes ce sont parfois les meilleures.
(Le téléphone de Mme Doverton sonne)
MME DOVERTON: Oh, excusez moi.
LISBON: Salopard. Vous m'avez fichu une de ces peurs.
JANE: Je vous en prie, j'ai toujours su mis prendre avec les foules de bourgeois radins.
MME DOVERTON(au téléphone): Oui. Quoi? Non!
GEORGE: Quoi? Est-ce qui se passe?
MME DOVERTON: On a tiré sur Karl.

MENTALIST - GENERIQUE

BIJOUTERIE

 

LISBON: C'est du travail de pro. Ils n'ont eu pas trop de mal à contourner le système d'alarme, ils ont coupé les caméras de sécurité. Peu probables qu'il y est des empreintes. À quand avez-vous changé le code?
GEORGE: C'était une porte de coffre fort 5-Point. On m'a dit c'était impossible de forcer. L'assurance a intérêt à bien rembourser.
LISBON: Un as du coffre fort peux tout ouvrir avec les bons outils et suffisamment de temps
(Jane prend une couronne et la met que la tête de Lisbon)

JANE: C'est magnifique. Regardez ça.
GEORGE: Excusez-moi. Vous voulez bien la reposer?
JANE: Bien sur. Tout de suite. Vous avez des tas de trucs jolis là-dedans. Très jolis. Vous êtes frères tous les deux?
GEORGE: C'est ça. Ravis de voir l'enquête entre des mains si perspicaces.
JANE: C'est perspicace des mains? Je ne crois pas. Est-ce l'habitude de votre oncle vienne ici après la fermeture?
TOM: Ce n'est pas vraiment notre oncle.
JANE: Oh pardon. L'homme qui couche avec votre tante, dans ce cas.
GEORGE: Non.
TOM: Non, mais il y avait la soirée de gala, Karl a du oublié un objet, revenir et surprendre les voleurs.
JANE: Humm... Surement oui. Comment ça se passe avec Karl et votre tante? Comment sont-ils rencontrer?
GEORGE: Ils se sont rencontrés il y a quatre ans au club, un tournoi de tennis des seniors. Il était en pro sur la cote est.
LISBON: Et ils se sont mariés, et il a rejoint l'affaire familiale?
GEORGE: Exactement.
JANE: Vous lui en vouliez, il y a quelques tensions entre vous?
GEORGE: Lui en vouloir pour quoi?
JANE: Eh bien, la vieille fille s'envoie en l'air et vous vous retrouvez avec un nouvelle associé. Allez, vous lui en voulez.
TOM: Non.
GEORGE: c'est la providence qui nous l'a envoyé. Il a la bosse du commerce et avec lui ma tante est très heureuse
TOM: Oui, ca c'est le plus important.
GEORGE: Si je puis me permettre, c'est à vous que je vais par finir à en vouloir pour le ton de vos questions.
LISBON: Désolé si on vous a offensé. Je

JANE: Non, ne dis pas ça. Il y a eu meurtre. Nous enquêtons et je peux être aussi odieux que je le veux mais merci.

LISBON: Pas encore. Ce n'est pas encore une enquête pour meurtre. Si M. Ward meurt, ce qui est fort probable, on pourra dire qu'il y a meurtre
JANE: Ah oui, c'est vrai. Oui. Il est pas mort. Veuillez m'excusez d'être aussi odieux
LISBON: Allons-y.
JANE: D'accord.

BUREAU DU CBI

L'équipe discute de l'affaire.

 

VAN PELT: Un élément important pour l'enquête patron. Ce sont les dernières séquences d'images par la caméra du parking juste en face d'hier soir. C'est Doverton & Co. Par là à droite. Alors maintenant on a plus qu'à zoomer comme ça et voilà. C'est lui. Alors j'ai vérifié les images des nouvelles caméras posées au carrefour pour contrôler le non respect des yeux. J'ai pris celle es images de Doverton's à l'heure approximative du délit. Une voiture immatriculé sous le nom de Doyle Murphy. Son casier judiciaire est très épais et le coffre fort c'est sa spécialité. J'ai sa dernière adresse à Lock.
LISBON: Excellent travail Van Pelt et rapide. A vous de jouer. Contactez la police locale et faites le arrêter et allez y avec Rigsby
VAN PELT: Merci patron.
JANE: C'est clair comme de l'eau de roche.
LISBON: Heureusement que c'est comme ça des fois
RIGSBY: Ouais et sincèrement je ne m'en plains pas.
JANE: C'est vous les professionnels dans l'histoire mais est-il l'habitude qu'il y ait qu'un malfaiteur à l'œuvre dans ce genre de cambriolage?
LISBON: Non, ils sont souvent deux. Parfois même trois ou quatre.
JANE: et l'heure du cambriolage n'est pas anodine. Ces diamants devait bien etre récupérés le lendemain?
RIGSBY: Ouais, 10h15 à l'ouverture.
LISBON: D'accord. Alors pour vous il y a complicité interne, c'est ça?
JANE: il y a des chances.
RIGSBY: figures toi qu'on t'a un peu devancés sur ce coup là parce qu'on épluche tous les dossiers des employés de Doverton.
JANE: Mon avis provisoire, provisoire Karl Ward.
VAN PELT: Oh. Ce monsieur s'est pris trois balles.
JANE: Un bon complice est un complice mort.
RIGSBY: Mais il n'est pas mort.
JANE: Personne n'est parfait.
LISBON: C'est tout? Carl Ward est un escroc, parce qu'il a été blessé?
JANE: Il est un ancien tennisman.
RIGSBY: Et alors?
JANE: Un type sombre, par définition. Désenchanté au lieu d'être sur les cotes de Wimbledon, il s'envoie en l'air avec de vieilles dames riches. Ça rend amer et tordu.
LISBON: L'affaire est close.
JANE: C'est mon avis.
LISBON: Allez trouvez ce Murphy et voyez ce qu'on peut en tirer.
JANE: C'est mon avis.

VOITURE DE RIGSBY

 

Van Pelt et Rigsby sont en route pour aller voir Murphy.

RIGSBY: Jane sait qu'on est ensemble. J'en suis sûr.
VAN PELT: Pourquoi ce serait vraiment un problème que tout le monde le sache?

RIGSBY: Parce que... Comment ça, pourquoi?
VAN PELT:Non, je veux dire. C'est ça?
RIGSBY: Quoi? Ici? Cet immeuble?
VAN PELT: Non, non. Je veux dire.... Nous. Ce sera ça rien de plus. Se cacher tout le temps avec la peur que tout le monde découvre la vérité?
RIGSBY: Non, c'est le règlement du bureau. Le règlement c'est le règlement?
VAN PELT: et si je m'en fous du règlement?
RIGSBY: On tombe pile dessus.
(Ils arrivent au motel)

VAN PELT: Tu ne veux pas qu'on en parle?
RIGSBY: Non c'est pas ça, mais pas ici, pas pendant le boulot.
VAN PELT: faudra bien en parler un jour pourtant.
RIGSBY: Oui. Bientôt.
(Ils vont voir le gardien du motel)

RIGSBY: CBI. On voudrais des renseignements sur le propriétaire de la voiture bleu là-bas.
GARDIEN: Murphy? Il paie son loyer, pas de problème. Qu'est-ce qu'il a fait?
VAN PELT: il a eu de la visite récemment?
GARDIEN: Non. Ah! Mais si. Il y a environ deux heures. Un grand type avec un chapeau de cowboy,Une bagnole tape à l'œil. Il est resté cinq minutes et il est reparti.

RIGSBY: L'appartement a-t-il plusieurs portes de sortie ou une fenêtre qui sort sur la rue?
GARDIEN: Non. Qu'est ce qu'il a fait?

Ils se rendent devant la porte du motel.


RIGSBY: M. Murphy? Agents du CBI. On veut vous parler. M. Murphy?!
(Ils entrent dans la chambre du motel)
VAN PELT: M. Murphy?!
RIGSBY: Personne.
(Van Pelt ouvre le placard et découvre M. Murphy avec une balle dans la tête)
RIGSBY: Cette fois Carl Ward est vraiment hors de cause

BUREAU DU CBI

 

RIGSBY: La balistique me devait une faveur, ils m'ont envoyé le rapport. C'est l'arme qui a servé à tirer sur Doyle Murphy et Carl Ward. Pas de bijoux ni chez lui ni dans sa voiture. Pas empreintes sur l'arme.
LISBON: Passez en revue tous les copains de Murphy et ses anciens associés. Nous somme à la recherche d' un cow-boy avec une voiture flaschie.
RIGSBY: Ça ne va pas être évident. Murphy est un criminel de longue date, il a plein d'associés.
JANE: Humm......... Je peux peut être vous aider.
LISBON: Comment ça peut-être? Vous n'êtes plus aussi sur que vous, on dirait? Ne vous laissez pas abattre, l'erreur est humaine.
JANE: Premièrement, on n'est pas sur que je me soit trompé pour Ward et deuxièmement faites venir le gardien du motel. Il peut nous fournir plus de détail qu'il nous dit sur le cowboy.

SALLE D'INTEROGATOIRE

 

Jane utilise l'hypnose pour faire parler le gardien.

 

JANE: vous le voyez?

GARDIEN: Ouais.
JANE: Que fait-il?
GARDIEN: Il descend de sa bagnole. Et il traverse la cour pour aller chez Murphy.
JANE: Pouvez-vous lire la plaque d'immatriculation?
GARDIEN: Non.
JANE: Regardez bien.
GARDIEN: Elle est cachée, je peux pas.
JANE: Comment est-il habillé?
GARDIEN : Un chapeau de cowboy marron, pantalon noir, lunettes de soleil, style aviateur.
JANE: C'est très bien, Marty. Vous voyez autre chose?
GARDIEN : Il porte un T-shirt avec un bulldog dessus et en-dessous il y a marqué «True Blue».

MAISON DE CULPEPPER

 

RIGSBY: Donald Culpepper?
DONALD: Et vous, vous êtes qui? Tsst! Tais toi.
RIGSBY: Tout laisse à penser que vous avez rendu visite à Doyle Murphy au "Starlite motor court". Vous confirmez?
DONALD: C'est pas complètement vrai. Je suis allé le voir mais il n'était pas là alors je suis reparti.
RIGSBY: Vous y alliez pourquoi?
DONALD: Pour prendre des nouvelles. C'est un pote, c'est l'ex-mari de ma sœur.
VAN PELT: On a une mauvaise nouvelle. Votre ex-beau-frère a été tué.
DONALD: Je suis sous le choc. Il est mort comment?
VAN PELT: Tué par balle. Vous avez une idée de qui aurait pu faire ça ?
DONALD Non.
VAN PELT: Pourquoi pas vous?
DONALD: C'est quelqu'un de j'aime beaucoup Murphy. Pourquoi vous pensez le contraire?
RIGSBY: Parce qu'on a parcouru votre casier judiciaire et que vous êtes un grand criminel impliqué dans plusieurs meurtres.
DONALD: Je suis un homme d'affaires dynamique qui se permet d'user de tous les moyens. On peut accuser n'importe qui ce que qu'on veut mais le prouver c'est autre chose.
RIGSBY: Ouais. Aller debout. On va devoir poursuivre cette conversation au poste.

BUREAU DU CBI

 

LISBON: Merci.
JANE: Le ton un peu irrité que vous aviez au téléphone me laisse penser que j'avais raison pour Karl Ward.
LISBON: A moitié raison.
JANE: Continuez.
LISBON: En vérité, il s'appelle Karl Wysocki. Il a fait de la prison pour des chèques en blanc. Il a une ex-épouse dans le New Jersey et il doit 90.000 de pensions alimentaires.
JANE: A moitié?

HOPITAL

 

Lisbon et Jane vont poser quelques questions à Mme Doverton.

 

MME DOVERTON: Très bien il avait changer de nom. Et après?
LISBON: Vous saviez qu'il a fait de la prison?
MME DOVERTON: Oui, bien sûr que je le sais.
LISBON: Et qu'il a une ex-femme?
MME DOVERTON: Oui, bien sûr. Il m'a tout raconté.
JANE: Mm, vous mentez. Mal.
MME DOVERTON: Comment osez-vous?
JANE: C'est un compliment rien d'autre. Vous préférez bonne menteuse? Hmm?
MME DOVERTON: Je sais tout ce qu'il faut savoir de son passé .
LISBON: Nous en sommes ravi, madame, parce qu'il faut envisager la possibilité de son application dans le vol des bijoux suivi d'un règlement de compte. Son honnêteté vis-à-vis de vous le rend bien moins suspect.
MME DOVERTON: Avez-vous d'autres questions? Mon mari a besoin de moi.
LISBON: Non, madame. Merci.
JANE: Il va bien?
MME DOVERTON: Il s'en sortira. On devrait arrêter le traitement au sédatif demain.
JANE: Formidable.

SALLE D'INTEROGATOIRE

 

CHO: Pourquoi avez-vous rendu visite à Doyle Murphy?
DONALD: Je l'ai pas vu. Il n'était pas chez lui.
CHO: Qu'est-ce que vous lui auriez dit autrement?
DONALD: "Rends moi mon blé."
CHO: Il vous devait de l'argent? Combien?
DONALD: 200.000 et des poussières. Il sortait de prison pour sa dernière affaire et il devait suivre une cure de désintoxication. Ce conard de junkie s'est offert un programme tout frais pendant un mois.
CHO: vous êtes très généreux.
DONALD: Nah. Mettez vous à ma place? Ça remonte à deux ans, il était encore marié avec ma sœur. Ce petit con.

CHO: après des mois de violences conjugales, il finit par abandonner votre sœur et il vous doit toujours 200.000.
DONALD: Premièrement, ma sœur est une grosse emmerdeuse. Même Gandhi l'aurait pas supporté. J'en voulais pas à Doyle pour cette histoire du tout. Deuxiement, je vous dis qu'il me devait du fric. Pourquoi je tuerai un type qui me doit autant de blé?
CHO: Parce qu'il a fait le coup du siècle.
DONALD: C'est vrai?
CHO: Oui. Vous avez peut-être repris ce qui vous devait et un peu plus.
DONALD: Quel coup? Doverton?
CHO: comment savez vous?
DONALD: Ben j'ai vu ça à la télé. Joli coup. Doyle a fait ça? Wowwww.
CHO: Vous avez un Beretta 950?
DONALD: Figurez vous que oui, j'avais un Beretta. D'ailleurs j'aimais pas trop. Je l'ai vendu à Doyle. Pourquoi?

Jane et Lisbon regardent à travers la fenêtre cachée.

 

JANE: Je sais pas.
LISBON: Je me fiche de ce que vous allez dire. Je le trouve parfait.
JANE: Comment ça vous vous fichez de ce que je vais dire?
LISBON: Il est trop évident que c'est lui alors vous allez dire non parce sinon ce serait pas drôle.
JANE: Non, il a tout à fait le profil, tout du moins en surface. J'allais seulement dire qu'il fallait trouver un lien possible en lui Doyle et une personne de chez Doverton's.
LISBON: Je croyais que Carl Ward était votre homme.
JANE: Non. J'ai noté que c'était un joueur de tennis pro et à partir de là j'ai un peu extrapolé.
LISBON: Non. Vous avez dit que c'était lui.
JANE: Si vous vous souvenez bien.
(Van Pelt arrive avec des informations)

VAN PELT: Les gars. Je veux dire, patron. Je crois avoir trouvé le lien dont vous parlez. Les images des caméras de surveillance de la bijouterie sont archivées sur un disque dur. Je me suis dit que si Murphy avait fait du repérage, je devrais le retrouver sur les images.

(Elle montre les images)
LISBON: Qui s'est?
VAN PELT: Je vais agrandir.
JANE: Oh. Wow.
LISBON: Tom Doverton.

SALLE D'INTEROGATOIRE

 

Van Pelt interroge Tom Doverton.

 

TOM: C'est un client, ça se voit. Je suis en train de parler avec un client.
VAN PELT: C'est l'homme qui a cambriolé la bijouterie familiale et tué votre oncle. Vous êtes sur de ne pas le connaitre? Vous avez l'air d'être de vieux amis.
TOM: Je ne le connais pas. Je m'efforce de renseigner un client. C'est tout.
VAN PELT: Vous n'avez jamais vu cet homme auparavant?
TOM: Non.
VAN PELT: Vous ne connaissez pas un certain Doyle Murphy"?
TOM: Non.

DANS LE COULOIR

 

CHO: La tante et le frère ont ramené un avocat.
LISBON: Zut. Nous n'a encore rien pu obtenir de lui.
CHO: vous voulez que je les retienne?
LISBON: Le mieux, c'est de le laissez partir. De toute façon, il nie tout en bloc. Tant qu'on peut pas faire le lien entre lui, Culpepper et Doyle, c'est de la détention arbitraire.
CHO: Ouais.
LISBON: Allez interroger Culpepper sur le gamin. Je vais aller voir la famille.
(Cho va interroger Culpepper mais il n'y a plus personne dans la pièce)

 

BUREAU DU CBI

LISBON: Vous allez pouvoir repartir avec Tom. Nous n'avions que deux ou trois questions à lui poser.
MME DOVERTON: Quelles questions?
LISBON: je pense qu'il vous en parlera lui-meme avec tous les détails.
MME DOVERTON: La prochaine fois que vous souhaiterez vous entretenir avec un membre de ma famille, j'aimerais que vous m'appeliez d'abord.
LISBON: Je suis navré, Madame. Ce ne serait pas légal. Je vous raccompagne à l'ascenseur?

Jane laisse sortir Culpepper et attendent devant l'ascenseur.

 

JANE: Je suis sur que vous savez pourquoi je vous laisse partir?
DONALD: Laissez-moi deviner. Je suis innocent.
JANE: Non, je pense que vous êtes bête.
DONALD: Ah ouais?
JANE: Ouais. Soit vous saviez vraiment pas que Doyle préparait le cambriolage d'une bijouterie. Bête et innocent. Ou alors vous saviez et vous allez nous conduire à un indice. Bête et coupable.
DONALD: Vous devriez faire gaffe à la façon dont vous parlez aux gens.
JANE: Je me sens en sécurité ici. Qu'est-ce que vous aller faire?
DONALD: Rien à cirer de l'endroit où on est.
JANE: Allez, vas-y.
(Lisbon arrive avec la famille Doverton)
JANE: Prouve le moi, misérable petit sadique. Coucou, Lisbon. Bonjour, les Doverton.
LISBON: Qu'est ce qu'il se passe?
JANE: Je laisse partir M. Culpepper. On n'a besoin de lui, si?
DONALD: Un matin tu verras, quand tu t'y attendra le moins, je te trouverai.
JANE: Vous, euh ...
GEORGE: On prendra le prochain.
JANE: D'accord. Salut cowboy. À bientôt.

Lisbon et Jane partent rejoindre les autres.

 

LISBON: Qu'est-ce que s'est que ce cinéma?
JANE: Quel cinéma?

LISBON: Laisser Donny Culpepper s'en aller. Vous n'avez absolument pas le droit de prendre ce genre de décisions.
JANE: De toute façon le garder n'était pas possible. Pour quoi? Pour quelle raison? Et puis il n'aurait rien dit. Vous le saviez très bien.
LISBON: J'aurai pu l'inculper pour l'arme du crime.
JANE: Oh, je vous en prie.
LISBON: Stop. Ne me prenez pas pour une idiote. Je vois parfaitement clair dans votre jeu.
JANE: De quoi vous parlez?
LISBON: Faire rencontrer les Dovertons à Donny Culpepper. Tu vouliez savoir s'il reconnaitrait quelqu'un de la famille?
JANE: Vous regardez trop la télé. Non, j'ai estimez qu'on avait aucune raison de le garder plus longtemps.
LISBON: Ça deviendrait presque gênant. Vous ne faites même plus l'effort de mentir.
(Rigsby vient les voir)

RIGSBY: Patron. La légiste est là. Il a un truc à nous montrer.

L'équipe écoute ce qu'à dire le légiste.

 

JANE: Wooaw. C'est une merveille.
LEGISTE: Murphy avait cette jolie pierre dans l'intestin. À mon avis, il l'a avalé dans le but d'obtenir une plus grosse part juste avant de partager le butin avec ses complices.
RIGSBY: Ouais et il a mal évalué la situation.
LISBON: Autre chose qui vous a interpellé en dehors de ça?
LEGISTE: Non rien. Oh!!!
(Jane vient de fracasser le bijoux avec l'extincteur de la salle)
LISBON: Qu'est-ce qu'il s'est passé?
JANE: Euh, j'ai, eu le sentiment que c'était un faux. Je me suis bien trompé.
LISBON: Ah oui. Où est-il?
JANE: La bonne nouvelle, c'est que le diamant n'est pas sorti donc il est là quelque part. Je vais le retrouver. Quelqu'un a vu un petit, euh … Non?

Tout le monde est à la recherche du petit diamant.

 

LISBON: J'en suis convaincu, il y a forcement un lien entre Doyle Murphy et Tom Doverton mais lequel? Qu'est ce qui pouvait les réunir?
RIGSBY: Ils n'ont rien en commun.
VAN PELT: vous avez perdu quelque chose?
RIGSBY: Un diamant.
CHO: Qu'est-ce qu'il a fait?
RIGSBY: Il l'a tapé dessus avec l'extincteur.
CHO: Bien sûr.
JANE: J'ai trouvé!
LISBON: Ah, on est sauvé. Où il était?
JANE: Non, j'ai trouvé le lien entre Doyle et Tom. Doyle a été en cure de désintox après la prison.
LISBON: Ouais et Tom Doverton n'a rien d'un drogué mais... Van Pelt, essayez de savoir où Doyle a fait sa cure. Continuez à chercher.
JANE: Ne vous en faites pas, on est dans les locaux du CBI. Qui le volerai ici?
LISBON: Vous, je vous ai rien demandé.

CENTRE DE DESINTOXICATION

Lisbon et Jane font une petite visite au centre de désintox. Ils se font passer pour un couple.

 

DIRECTEUR: Windward Clarity nous offrant un effectif d'intervenant supérieur à n'importe quelle autre structure. Notre philosophie est un mélange de techniques traditionnelles occidentales et d'une approche spirituelle pseudo-orientale. Maintenant, puis-je vous permettre de vous demander qui d'entre vous à notre aide? Peut être les deux?
LISBON: En fait, on veux simplement...
JANE: C'est elle!
LISBON: Non!
JANE: Oh, chérie, s'il te plaît. Pourrait-on pour une fois faire les choses à ma façon? Pour une fois? Merci. Au début, c'était juste occasionnel mais, eh bien, depuis quelques temps ça commence à nous inquiéter sérieusement. Elle boit. Hein, chérie?
DIRECTEUR: Parfait. Je vais vous présenter à l'un de nos spécialistes de notre service d'admission.
JANE: Fantastique. Oh, un coup de fil du bureau. Je suis obligé de répondre désolé. Passes devant chérie, je te rejoins. J'en ai pour 5 minutes et j'arrive tout de suite. Je vous la confie. Je suis très fier de toi.
DIRECTEUR: Je comprends votre inquiétude.
JANE: Je t'aime.
DIRECTEUR: C'est parfaitement normal. Mais en reconnaissant que vous avez un problème, vous avez déjà fait le premier pas.

Pendant que le directeur fait visiter les jardins à Lisbon, Jane va en douce dans le bureau du directeur et cherche dans les archives les dossiers qu'il veut.


DIRECTEUR: Notre cuisine peuvent s'adapter à tous les régimes diététiques. Et bien sûr, nous avons un duo de nutritionnistes sur place. Eh bien, votre mari met plus de temps que prévu.
LISBON: Il faut que vous sachiez que ce n'est pas vraiment mon mari.
DIRECTEUR: Oh, ce n'est pas un problème. Nous ne portons pas de jugement sur ce genre de choses.
LISBON: Je crois que vous ne comprenez pas.

Lisbon et le directeur arrivent dans le bureau.

 

JANE: Whoaaa. Dopants et calment. Dopants et calment. Vous êtes très rock 'n roll', docteur.
DIRECTEUR: Il s'agit d'un espace privé ici. Le secret médical est respecté, c'est un droit sacré.
JANE: Oui, je sais. C'est pourquoi nous avons agi de la sorte. Il s'agit d'une enquête criminelle.
On peut être aussi odieux qu'on veux. J'ai trouvé le patient référent de Doyle Murphy pour ces deux premières semaines ici. Devinez qui l'a accueilli et pris sous son aile lorsqu'il est arrivé ici?
LISBON: Tom Doverton?
JANE: No. George.
LISBON: Le frère?
JANE: Oui.
DIRECTEUR: Je me plaindrais à vos supérieurs.
JANE: Beaucoup de gens me menacent avec ça. Et vous savez ce que je leur dis ? Je leur dis...
LISBON: On y va. Venez.
JANE: Faites vous soigner sinon vous allez en crever.

BIJOUTERIE DES DOVERTON

 

Jane et Lisbon veulent interroger George.

 

TOM: George n'est pas là. Il est déjà parti,désolé. Il n'est coupable de rien.
LISBON: Comment saviez vous qu'on viendrait?

TOM: Le directeur de la clinique a téléphoné. Il nous a tout raconté. George s'est retrouvé en cure avec Doyle Murphy. Ça oui, c'est vrai. Mais pour le reste.
LISBON: Vous êtes sur que même en cherchant bien, on ne trouvera pas d'autre lien entre George et Doyle?
TOM: Il est venu à la bijouterie. Un pareil chez Doverton, vous imaginez? Enfin si ma tante le savait...

LISBON: Il faut qu'on parle à George.
TOM: Il est parti.
JANE: Sans blague? Ah il se cache derrière la porte. George? George, montrez vous.
(George ouvre la porte et sort de sa cachette)
GEORGE: Excuses moi, Tom. Je sais que tu voulais m'aider mais on sait tous les deux qu'on ne peut pas fuir en vain. Je n'ai rien à voir avec le cambriolage ou la mort de Doyle Murphy. J'ai menti pour protéger ma tante de la honte de mon addiction. Tom, appelles Dicky Purcell. Dis-lui de me retrouver au CBI.
TOM: Ouais.
LISBON: Après vous.
(Le groupe arrive vers l'entrée du magasin)
CLIENT: Excusez-moi. Vous êtes de la bijouterie?
GEORGE: Oui, monsieur. Euh, que puis-je pour vous?
CLIENT: Ma femme, c'est son anniversaire.
GEORGE: Bien sûr. Bien sûr. Euh, Michelle?
MICHELLE: Oui.
GEORGE: Michelle se fera un plaisir de vous aider. Je vous en prie.
(Un monsieur donne un colis à George)

LIVREUR: M. Doverton?
GEORGE: Oui.
LIVREUR: Une signature s'il vous plait.
GEORGE: Voilà.

(Tom ouvre l'enveloppe et découvre que c'est un message de menace)
LISBON: "Vous recevrez un appel dans 2 heures, déposez les bijoux à l'endroit indiqué. Sans la police autrement votre tante mourra. "

SALLE D'INTERROGATOIRE

 

Jane, Lisbon et les frères Doverton attendent le coup de fil. Rigsby arrive avec une mallette.

 

RIGSBY: Elle a disparu.
GEORGE: Non de dieu.
TOM: Qui aurait pu enlever notre tante?
LISBON: Une personne qui croit que votre frère était un complice de Doyle Murphy.
GEROGE: Vous le pensez. Pourquoi d'autre ne le penserait pas?
RIGSBY: Donny Culpepper.
GEROGE: Qui est Donny Culpepper?
LISBON: Vous l'avez vu l'autre fois devant l'ascenseur.
JANE: Murphy lui devait de l'argent apparemment. Il a peut être décidé qu'il se ferait tout rembourser en diamants.
GEORGE: Nous n'avons pas les diamants.
JANE: Ça, il le sait pas.
GEORGE: mais il faut l'arrêter immédiatement.
LISBON: C'est ce que nous essayons de faire, M. Doverton. L'agent Van Pelt travaille avec la police locale. Nous sommes sur plusieurs pistes.
TOM: Sur le mot, il y a écrit sans la police.
RIGSBY: C'est un peu tard pour ça.
GEORGE: mais comment allez vous procéder pour récupérer ma tante?
LISBON: Nous ferons tout ce qui en notre pouvoir pour la retrouver. Quand les ravisseurs vous appelleront, faites les parler le plus longtemps possible.
RIGSBY: voilà, d'accord.

Le moment du coup de fil est presque venu.

 

JANE: C'est presque l'heure. Tu es prêt?
RIGSBY: Ouais.
JANE: Et vous?
GEORGE: Je ne sais pas.
JANE: Restons calme. Gardez le ravisseur en ligne et ne l'affolez pas.
RIGSBY: Faites le parler aussi longtemps que vous le pourrez, d'accord?
(Le téléphone vibre)
JANE: Un casque?

RIGSBY: Dans l'autre pièce. Prêt? C'est parti!.
GEROGE: Allo?
RAVISSEUR: Les bijoux sont prêts?
RIGSBY: Répondez oui.
GEORGE: Qu'est-ce qui prouve que ma tante est avec vous? J'exige que vous...
RAVISSEUR: Vous, vous n'exigez rien du tout. Vous vous taisez et vous écoutez.
GEORGE: Excusez moi, je.... je voudrais juste une preuve avant
RAVISSEUR: Une preuve? Vous voulez une preuve?
TANTE: Allo? George?
GEORGE: Esther, est-ce que ça va?
RAVISSEUR: Voilà, vous avez votre preuve. Si vous voulez la voir en vie, vous devez m'apporter les diamants.
GEORGE: Je...je...je ...Je, je ne peux pas. Je je ...
RIGSBY: Je l'ai!
RAVISSEUR: Vous croyez que ça vous aidera?
GEORGE: Non! Non! Excusez moi.
RAVISSEUR: Vous allez m'apporter les bijoux, oui ou non?
GEORGE: Je n'ai pas les bijoux. C'est ce que je me tue de vous expliquer.
RAVISSEUR: Très bien. Comme vous voudrez.
(On entend un coup de pistolet)
GEORGE: Tante Esther!
RAVISSEUR: Vous serez le suivant. J'arrive.
GEORGE: Mon dieu.
(Jane vient et repart aussitôt à la poursuite de George)

JANE(à Tom): Restez là. Rigsby!
(Le téléphone sonne, Tom le prend)
TOM: Allo?
RAVISSEUR: Où sont les bijoux, Tom? Je sais que c'est toi qui les as.
TOM: Ils vont vous coincer. Ils sont partis pour vous coincés.
RAVISSEUR: Non. Je t'aurai, Tom. Je sais tout. Ouais, Doyle Murphy m'a tout raconté.
TOM: Allez vous faire voir. Je vous donnerai 50 000$, 50 000 et vous nous fichez la paix.
RAVISSEUR: Oh, tu te crois fort. Tu vas me donner ce que je veux, autrement j'irai le chercher moi même.
TOM: Je vous filerai 75 000, mais pas plus. Il n'est pas question que je vous donnes les diamants.
RAVISSEUR: sale gosse pourri et idiot. Tu crois que c'est toi qui décides?
(On aperçoit que c'est Jane qui parle au téléphone avec un appareil qui cache la voix)
JANE: Pas cette fois, Tom. Pas cette fois. Je vais te faire payer très cher.
TOM: Essayez. Essayez,vous verra bien ce qu'il se passera.
JANE: tu es un gros dur, hein? Tu me réserves le même sort qu'à Doyle Murphy, c'est ça?
TOM: Exactement. Si vous me poussez à bout, vous allez voir ce que vous allez voir.
JANE: Okay. Merci, Tom. Génial.
(Rigsby revient vers Tom)

RIGSBY: On a tout enregistré. C'est bon donner moi ce téléphone. Les mains dans le dos. On vous arrête pour le meurtre de Doyle Murphy. Avancez.
JANE: Je suis trop fort.

 

BUREAU DU CBI

Jane va rejoindre le reste de l'équipe.

 

JANE: Ah, du thé. Fantastique.
LISBON: Mme Doverton? Excusez-moi mais nous avons du tricher quelque peu avec vous pour résoudre cette affaire. Et j'ai la plus mauvaises nouvelles à vous annoncer. Votre neveu Tom était impliqué dans le cambriolage.
MME DORVETON: Tom...

HOPITAL

 

Jane rend au chevet de Karl.

 

JANE: Oh, bonjour Karl et bienvenue.
KARL: Qu'est-ce que je fais là?
JANE: Vous êtes à l'hôpital. Vous sortez à peine d'un coma artificiel.
J'ai une petite question?
KARL: Qu'est ce qui m'est arrivé? Qui êtes-vous?
JANE: C'est pas important. Dites-moi, Esther Doverton, il s'agit d'une escroquerie? C'est l'argent qui vous a attiré chez cette vieille dame riche?
KARL: Excusez-moi?
JANE: Oh, allez. Ne soyez pas gêner avec moi. C'est une belle prise, surtout que elle a de beaux restes ce qui est un plus dans ce genre d'arnaque, je trouve.
KARL: Vous êtes en train de parler de ma femme? Vous êtes qui pour oser dire ça?
JANE: Ce serait plutôt à moi de vous poser cette question? M. Wysocki.
KARL: Ah, c'est ça.
JANE: Oui, tout a une fin dans la vie. C'était une belle cavale. Et très franchement de vous à moi, je suis sur que vous pourriez soutirer encore plus d'argent à cette vieille peau? Il y a de quoi, pas vrai?
KARL: je vous interdis de parlez d'elle ainsi. Cette femme est la seule bonne chose qui me soit arrivé dans la vie. Je l'aime.
JANE: Vous l'aimez?
KARL: Vous allez la fermez et dégagez
JANE: Bon d'accord, je m'en vais.
(Jane sort et voit Mme Doverton)

JANE: Quand je vous avais dit qu'il vous aimait.
MME DOVERTON: Tu cherches à te suicider?
KARL: Excuses moi chérie. Je ne voulais pas te faire souffrir.

BUREAU DU CBI

 

Rigsby a retrouvé le diamant en dessous d'un bureau.


RIGSBY: Je l'ai!
JANE: Il y a bien longtemps, c'était peut être une grenouille ou une fougère, un dinosaure. Ensuite, c'est devenu du charbon.
RIGSBY: Ouais, je sais. Moi aussi, j'ai fait un peu de géologie.
JANE: Ce que veux juste dire c'est que du carbone comprimé pour moi. Si tu veux le garder, je n'ai rien vu.
RIGSBY: Quoi? Qu'est-ce que tu racontes? Je l'ai jamais envisagé.
JANE: Bon ben, si tu le dis.
RIGSBY: C'est sérieux, tu me laisserai sortir tranquillement avec ça?
JANE: Tu veux?
RIGSBY: Non, j'ai jamais dit ça mais c'est vrai que c'est tentant.
JANE: Alors, mets-le dans ta poche.
RIGSBY: Là, tu me tends un piège?
JANE: tu es ridicule, que tu sois intègre ou pas ça met égal?
RIGSBY: Ouais, c'est ça. Un piège.
(Van Pelt entre dans la pièce)
JANE: Ah, euh, Grace.
VAN PELT: Oui
JANE: Rigsby a mis un truc dans ta poche.
VAN PELT: Quoi?
(Elle découvre le diamant dans sa poche)
VAN PELT: Ouaww
RIGSBY: L'écoute pas, il se moque de toi
JANE: C'est que du carbone comprimé. Si t'as envie de le garder... Je ne sais pas pour Rigsby, mais, moi, je le dirai à personne.

 

Fin de l'épisode.

"Danny boy. The pipes, the pipes are calling. From glen to glen and down the mountainside. The summer's gone"


Man : "And all the roses falling. 'Tis you, 'tis you must go And I must bide" Thanks !

Cho : Which one's ours?

Lisbon : The one who looks like she blows her nose with $100 bills.

Cho : They all look like that.

Lisbon : Joke. That's her over there. Let's go.

Cho : We shouldn't have to be asking for charity.

Lisbon : The department needs the money. Smile.


Lisbon : Mrs. Doverton? Hi. I'm Teresa Lisbon. This is Kimball Cho. We're with the CBI. You're sponsoring us for the event, I believe.

Mrs Doverton : Yes, of course. Yes. Welcome. I was very sorry to hear about your terrible loss-- You know, those agents.
 
Lisbon : Thank you.

Mrs Doverton : I can only imagine what you must all be feeling.

Lisbon : We don't talk about it. Thanks.


Mrs Doverton : I'd like to introduce you to my nephews. This is Thomas.

Lisbon : Hi.

Mrs Doverton : Say hello, Thomas.

Thomas : Hi.

Cho : Hi.

Thomas : Please call me "Tom."

Mrs Doverton : And this is George. 

George : So, Miss Lisbon, what entertainment do you have planned for us this evening?

Lisbon : Actually, a member of our team used to be in show business. He's sort of a magician, And he's going to entertain us, hopefully.

Mrs Doverton : How nice.

Lisbon : Cheers.


Rigsby : What?

Jane : Just a smile.

Van Pelt : He just smiled.

Man : Ladies and gentlemen, please welcome Jane Patrick of California Bureau Investigation

Jane : Good evening. You're a very good-looking crowd. Thank you for coming this evening. You, too, back there. You look very regal up there in the window. My name is Patrick Jane. I'm from the cbi.This is an egg. Yes, I'm supposed to do magic tricks and read minds for you, but after some thought, I, decided what the hell? I don't really want to do that corny old stuff, so... Instead what I'd like to do is much cooler. I would like to transform your consciousness. Have any of you ever stopped to consider what lucky bastards you all are... If you think about all the suffering And the injustice in the world? Every second of every day there is someone somewhere crying out in pain and fear. A woman is raped. A child starves to death. A man is executed for a crime he didn't commit. But here we are. We could be standing on a roof in some bangladeshi village, waiting for the flood waters to recede.


Carl : No!


Jane : But, no, here we are, in this lavish ballroom, sipping french champagne, declining the hors d'oeuvres. Thank you very much. Yes. Put your hands in the air, anyone that feels lucky. If you think you are lucky, put your hands up. That's right. We here are all blessed by fortune. If you disagree, put down your hands. If you don't think you need to express your thanks for that blessing, put down your hand. If you're not willing to write a check that will save actual lives, then please put down your hands. That's great. Very good. Okay. Now magic. You, sir, put your left hand in your jacket pocket and take out whatever is in there and show it to everybody.


Jane : Thank you. Make those checks legible.

Mrs Doverton : A novel way of raising money, I must say.

Jane : The direct approach sometimes the best.

Mrs Doverton : If you'll excuse me.

Lisbon : You son of a bitch. You scared the crap out of me.

Jane : Please, like I don't know how to work a fat crowd of suckers.

Mrs Doverton : What? No!

George : What's the matter?

Mrs Doverton : Carl's been shot.


Lisbon : Bypassed the alarm system somehow, shut off the security cameras. Prints are unlikely. When was the last time you changed the lock code?

George : That was a classified 5-b vault door. I was told that no one could get through it. Insurance had damn well better pay.

Lisbon : Good safecracker can get through anything with the right tools and enough time.

Jane : This is beautiful. Look at that.

George : Excuse me. Would you stop that, please?

Jane : Sure. No problem. Just having a look. Got some cool stuff in here. Very cool. You two are brothers, right?

George : Indeed. It's nice to see that the case is in such perceptive hands.

Jane : Can hands be perceptive? I don't think so. So is it usual that your uncle is here after closing?

Thomas : He's not our uncle exactly.

Jane : I'm sorry. The man having sex with your aunt then.

George : No.

Thomas : No, but tonight was the benefit. Carl must have forgotten something and come back and surprised the thieves.

Jane : Sure did. What's the deal with Carl and your aunt? How did they get together?

George : They met four years ago at the club-- The labor day senior tennis tournament. He was a pro back east.

Lisbon : And they married, and he joined the family business?

George : Yes, that's correct.

Jane : Does your resentment of him, uh, create any tension?

George : What resentment?

Jane : Well, the old girl gets laid.Next thing you know, you got a new business partner. Come on. You resent him.

Thomas : No.

George : Carl's been a godsend, actually. A natural salesman, and he's made Esther very happy.

Thomas : Yes, that's--that's the main thing.

George : If I may say so, what I do very much resent Is the tone of your questioning.

Lisbon : Huh. I'm sorry if we've offended you. I--

Jane : No, don't say that. This is a murder investigation. I can be as hard-ass as I'd like to be, thank you.

Lisbon : Actually, it's not a murder investigation yet. If Mr. Ward dies, which seems likely, it'll become a murder investigation.

Jane : Yeah, well, that's right. Yeah. He's not dead. Uh, well, uh, I apologize for my rudeness.

Lisbon : Let's go.

Jane : Okay.


Van Pelt : We get a break in the case, boss. This is last night's footage from a parking lot camera across the street. That's Doverton & Co. Back there on the right. Okay, so now we zoom in like this and...There. That's him. Then I checked the new intersection cameras the city put in to catch traffic light violations. I figured I'd look at the ones nearest to Doverton's around that time of night. Car's registered to Doyle Murphy. His sheet's a mile long, and safecracking was his specialty. I got a current address in Locke.

Lisbon : Nice work, Van Pelt. Quick. It's your hook. Contact local P.D. and have them pick him up. Take Rigsby with you.

Van Pelt : Thanks, boss.

Jane : It's all very neat and easy.

Lisbon : Sometimes it happens that way.

Rigsby : Yeah. I'll take a layup anytime, thank you.

Jane : Well, you guys are the professionals here, but is it usual that there is a single perpetrator for this kind of a jewelry heist?

Lisbon : No, at least two. Sometimes maybe three or four. Then there's the timing of the robbery. Weren't those diamonds supposed to be picked up the next morning?

Rigsby : Yeah, 10:15, right when they opened.

Lisbon : Gee, you think maybe it's an inside job?

Jane : Uh, yes, I do.

Rigsby : Yeah, well, guess what? We're way ahead of you, 'Cause we're doing background checks on the whole Doverton staff list.

Jane : My provisional bet-- provisional--Carl Ward.

Van Pelt : Hello? He was shot three times.

Jane : Best accomplice is a dead one.

Rigsby : But he's not dead.

Jane : Nobody's perfect.

Lisbon : That's it? Carl Ward is crooked because he got shot?

Jane : He's an ex-tennis pro.

Rigsby : So?

Jane : Shady people, by definition, disappointed. Should be on center court, Wimbledon. Instead is tossing lobs to rich old ladies. Makes him bitter and twisted. - Case closed.

Jane : I'm just saying.

Lisbon : Go talk to Murphy. See what he has to say about it.

Jane : I'm just saying.


Rigsby : Jane knows about us. I'm sure he does.

Van Pelt : Why would it be so bad if people figured out we're together?

Rigsby : Because.... What do you mean, why?

Van Pelt : I just mean, is this it?

Rigsby : What? Here? This building?

Van Pelt : No, no. I mean us. Is this all it's gonna be, sneaking around all the time, afraid someone's gonna find out?

Rigsby : No, it's just the bureau rules. The rules are the rules, right?

Van Pelt : Maybe I'm sick of the rules.

Rigsby : Thar she blows.

Van Pelt : You don't want to talk about it, huh?

Rigsby : No, I do, just not here, not on the job.

Van Pelt : We'll have to talk about it sometime.

Rigsby : Yeah. Soon.


Rigsby : CBI. I'd like to know about the, uh, resident who owns the blue beater there.

Guard : Murphy? Pays his rent, makes no trouble. What'd he do?

Van Pelt : Has he had any visitors recently?

Guard : No. Oh, wait. Yeah, couple hours ago. Big guy in a cowboy hat, pimped-out truck. Stayed... five minutes, split.

Rigsby : Does Murphy's room have any rear exit of any kind? A window?

Guard : Nope. What did he do?


Rigsby : Mr. Murphy? State agents. We need to talk to you.  Mr. Murphy?!

Van Pelt : Mr. Murphy?!

Rigsby : Nobody ... I guess that lets Carl Ward off the hook then, huh?

 

Rigsby : Ballistics owes me, expedited the report. This gun was used to shoot both Doyle Murphy and Carl Ward. There were no jewels in the room or the car no prints on the gun.

Lisbon : Start going through all of Murphy's known associates. We're looking for a cowboy in a fancy truck.

Rigsby : Kind of a thin trail. Murphy's a career criminal. He has a lot of associates.

Jane : Hmm. Maybe I can help.

Lisbon : Just maybe?  Feeling unsure about yourself, are you? Don't let one wrong hunch throw you.

Jane : Well, "a," we don't know yet that I'm wrong about Ward, and "b," bring the motel desk clerk in. Maybe he can recall a little more detail than he thinks about this cowboy.


Jane : Can you see him? What's he doing?

Guard : He's getting out of the truck. And he's walking across the forecourt to Murphy's room.

Jane : Can you read the license plate on the truck?

Guard : No.

Jane : Look closer.

Guard : No, I can't. It's blocked.

Jane : What's he wearing?

Guard : Cowboy hat, brown. Black jeans. Sunglasses, aviator style.

Jane : That's very good, Marty. What else can you see? He's wearing a T-shirt with a bulldog on the front, under it, "true blue."


Rigsby : Donald Culpepper?

Donald : Who the hell are you? Tsst! Quiet.

Rigsby : I have reason to believe that you visited with Doyle Murphy At the starlite motor court. Is that correct?

Donald : That's partially correct. I went to see him. He wasn't there so I left.

Rigsby : Why'd you go see him?

Donald : Social visit. Catching up. He was married to my sister.

Van Pelt : We have sad news. Your ex-brother-in-law is dead.

Donald : I'm in shock. How'd that happen?

Van Pel : He was shot. Any idea who might want to do that?

Donald : No.

Van Pelt : How about you?

Donald : I have nothing but love for Murph. Why would you think otherwise?

Rigsby : Well, because we read your rap sheet. You're a professional criminal implicated in several murders.

Donald : I'm a dynamic businessman who pushes the envelope. Anybody can imply anything. It's another thing to make it stick.

Rigsby : Yeah. Get out. We need to continue this conversation downtown.


Lisbon : Thanks.

Jane : I deduce from the irritated tone of your phone conversation that I was right about Carl Ward.

Lisbon : Half right.

Jane : Go on.

Lisbon : His real name's Carl Wysocki. He was in jail for kiting checks. He's got an ex-wife in Bayonne, New Jersey, who's owed $90,000 in back alimony.

Jane : Half?


Mrs Doverton : So he changed his name. What of it?

Lisbon : Did you know about the jail time?

Mrs Doverton : Yes, of course I did.

Lisbon : And the ex-wife?

Mrs Doverton : Of course. He told me everything.

Jane : Mm, liar. Bad liar.

Mrs Doverton : How dare you.

Jane : Well, it's a compliment to your character. You rather be a good liar? Hmm?

Mrs Doverton : I knew everything about Carl's past.

Lisbon : We're glad he told you, Ma'am, because we have to consider the possibility that he was somehow involved in the jewel heist and double-crossed. His honesty with you makes him far less of a suspect.

Mrs Doverton : Do you have anything further? My husband needs me.

Lisbon : No, Ma'am. Thank you.

Jane : How's he doing?

Mrs Doverton : He'll live. They were going to bring him out of sedation tomorrow.

Jane : Excellent.


Cho : Why did you visit with Doyle Murphy?

Donald : I didn't. He wasn't home.

Cho : If he had been home, what would you have said to him?

Donald : "Give me my money."

Cho : He owed you. How much?

Donald : 200 grand and change. He comes out of incarceration this last bit he did and needed to go into rehab. Junkie son of a gun was there over a month on my dime.

Cho : That's very generous of you.

Donald : Nah. What am I gonna do? At the time-- this was two years back-- He's married to my sister. Moron.

Cho : Then he kicks your sister to the curb after some domestic violence problems. And he still owes you 200 grand.

Donald : One--my sister is a goblin shark. Freakin' Gandhi would take a pop at her. I got no beef with Doyle over that, believe me. And two--this money is what I'm telling ya. Why would I kill a guy who owes me that much money?

Cho : Because he just made a very big score.

Donald : Is that right?

Cho : Yes, it is. Maybe you decided to take what was owed you And a little bit more.

Donald : What score is this? Doverton's?

Cho : You heard about that.

Donald : Was on the tv. Nice work. Doyle did that? Wow.

Cho : Did you ever own a beretta 950?

Donald : As a matter of fact, I did use to have one of those. I didn't like the balance. I sold it to Doyle. Why?


Lisbon : Well, I don't care what you're gonna say. I like him for it.

Jane : What do you mean, you don't care what I have to say?

Lisbon : He's obvious, so you're gonna say he's not the guy, because that would be boring.

Jane : No, he looks good for it, superficially, at least. I was merely to say and we need to find out the links between him and doyleate and someone inside Doverton's.

Lisbon : I thought Carl Ward was your man on the inside.

Jane : No. I-I noted that he was a tennis pro And extrapolated from there.

Lisbon : No. No, you said he was the guy.

Jane : Well, if you recall--

Van Pelt : Guys. I mean, boss. I think I found the link you're talking about. The old footage from the store's security cameras is saved on a hard drive off-site. I figured if Murphy had been casing the store, I could find him on the old footage.

Lisbon : Who's that?

Van Pelt : I'll enhance it.

Jane : Oh. Wow.

Lisbon : Tom Doverton.


Thomas : It's a customer, I guess. I'm talking to a customer.

Van Pelt : That's the man who robbed your family's store and shot your uncle. Are you sure you don't know him? Because you're talking like you're old friends.

Thomas : No. I'm just helping a customer with their purchase. That's all.

Van Pelt : And you've never seen that man before?

Thomas : No.

Van Pelt : And you don't know the name "Doyle Murphy"?

Thomas : No.


Cho : The kid's aunt and brother are here with a lawyer.

Lisbon : Darn. We haven't gotten anywhere with him yet.

Cho : You want me to stall 'em?

Lisbon : It's best just to cut him loose. He's denying everything anyway. Unless we can make some connection to Culpepper and Doyle we've got nothing to hold him on.

Cho : Okay.

Lisbon : You go and ask Culpepper about Tom. I'll deal with the family.


Lisbon : You can take Tom home now. We just had a couple of questions we needed to ask him.

Mrs Doverton : What questions?

Lisbon : I'm sure he'll fill you in on the details.

Mrs Doverton : Well, I'd appreciate it if next time you wish to speak to a member of my family, you call me first.

Lisbon : I'm sorry, ma'am. That's not our practice. Can I walk you to the elevator?


Jane : You do know why I'm letting you go, don't you?

Donald : Let me guess. I'm innocent.

Jane : No, I figured you're stupid.

Donald : Is that so?

Jane : Yeah. Either you really didn't know That Doyle was gonna actually rob the jewelry store-- Stupid innocent-- Or you did know and you're gonna lead us to a clue-- Stupid guilty.

Donald : You should be more careful how you talk to people.

Jane : Yeah, figure I'm pretty safe here. I mean, what are you gonna do?

Donald : You think I care where we are?

Jane : Go ahead. Do something, you miserable little sadist. Hello, Lisbon. Hi, Dovertons.

Lisbon : What's going on, Jane?

Jane  : I'm just letting Mr. Culpepper go. We don't need him for anything, do we? Do we?

Donald : Sometime, when you least expect it, I'll find you.

Jane : You, uh...

George : We'll wait for the next one.

Jane : All right. So long, partner. Happy trails.


Lisbon : Okay, what the hell was that?

Jane : What was what?

Lisbon : Letting Donny Culpepper go. You have no right whatsoever to make those kind of decisions.

Jane : Well, you weren't gonna keep him here. On what? For what? He wasn't gonna talk. Be honest.

Lisbon : I could have held him on the weapons charge.

Jane : Oh, please--

Lisbon : Stop. There's principle involved. Don't think I don't know what you're doing.

Jane : What are you talking about?

Lisbon : Showing the Dovertons to Donny Culpepper. You wanted to see if he recognized one of them, didn't you?

Jane : You watch too much tv. I just thought there was no reason to keep Donny Culpepper here.

Lisbon : Now that's just annoying. You're not even putting any effort into the lie.

Rigsby : Hey, boss. Coroner's here. She's got something to show us.


Jane : Wow, that's really beautiful.

Coroner : I found it in Doyle Murphy's lower intestine. My supposition is that he swallowed it in an attempt to get a larger share of the loot before it was divided with any partners.

Rigsby : Yeah, I guess Murphy misread that situation, huh?

Lisbon : Did you find anything else surprising in there other than that?

Coroner : Just that. Oh !

Lisbon : What the hell was that?

Jane : Uh, I, um... Had a hunch that it was a fake. Guess I'm wrong about that.

Lisbon : Uh, yeah. Where is it?

Jane : Well, the good news is it's not out there. So it's in here somewhere. I'll find it. Anyone see a little, uh... Nope?


Lisbon : There's gotta be a connection between Doyle Murphy and Tom Doverton. Yeah, but what was it? What would bring those two together?

Rigsby : They have nothing in common.

Van Pelt : What are you guys looking for?

Rigsby : A diamond.

Cho : What'd he do?

Rigsby : Hit it with a fire extinguisher.

Cho : Of course.

Jane : I got it!

Lisbon : Oh, thank god. Where was it?

Jane : No, I got where Doyle and Tom connect. Doyle was in rehab.

Lisbon : Yes, and Tom Doverton does look the rehab type. Van Pelt, find out where Doyle went to rehab. Keep looking.

Jane : Don't worry. This is the justice department. Who's gonna steal it here?

Lisbon : You be quiet!

Jane : All right.


Director : Windward Clarity has the highest ratio of staff-to-patient of any facility in the state. Our philosophy mixes traditional western practices with spiritual aspects of the east. Now may I ask which one of you needs our help, or is it both of you?

Lisbon : Actually, we just wanted ...

Jane : It's her.

Lisbon : No !

Jane : Oh, darling, please. Can we just this once do it my way?Just once? Thank you. In the beginning, it was just social, but, uh, well, more recently, uh... It's been starting to worry both of us. Right, darling?

Director : Right this way. I'll introduce you to one of our intake specialists.

Jane : Fantastic. Oh, uh, that's the office. I'm gonna have to take this. Uh, baby, you go ahead, take a look. I'll be five minutes. I'll be right there. Look after her. I'm very proud of you.

Director : I understand your nervousness.

Jane : I love you.

Director : It's completely natural. But you've already taken the first step in recognizing...


Director : Our kitchen is capable of preparing food for any diet. And of course, we have a pair of on-site nutritionists. Um, your husband is taking quite a long time.

Lisbon : You should understand-- he's not really my husband.

Director : Oh, that's quite all right. We're not judgmental about such things here.

Lisbon : That's not what I mean.


Jane : Whoa. Uppers and downers. Uppers and-- You're so rock 'n' roll, doctor.

Director : That is private material. Doctor-patient privilege is sacrosanct.

Jane : Yes, I know. That's why we did it this way. This is a murder investigation. We can be as hard-ass as we want. I found it-- The, uh, patient roster for the first two weeks of Doyle Murphy's stay. Guess who his acting sponsor was when he first arrived?

Lisbon : Tom Doverton?

Jane : No. George.

Lisbon : The brother?

Jane : Yeah.

Direcotr : I will be calling your superiors.

Jane : You know, a lot of people say that to me, and you know what I say? I say ...

Lisbon : Let's go. Come on.

Jane : Get some help, doc. That stuff will kill you.


Thomas : George isn't here. He's already left. He's not guilty, you know.

Lisbon : How'd you know we were coming?

Thomas : The director of the clinic called. He told us what you'd done. George was in rehab with Doyle Murphy--that's true. But that's all that it was.

Lisbon : So you're saying if we dig, we won't find any more contact between George and Doyle?

Thomas : He came into the store. A guy like that at doverton & company? I mean... come on. If my aunt found out...

Lisbon : We need to talk to George.

Thomas : He's gone.

Jane : Oh, really? Uh, I think he's hiding behind the door. George? George, come out.

George : I'm sorry, Tom. You were just trying to help, but we both know there's no hiding from something like this. I had nothing to do with the robbery or Doyle Murphy's murder. I only lied to protect my aunt from... The shame of my addiction. Tom, call Dicky Purcell. Tell him to meet me at the CBI offices.

Thomas : Okay.

Lisbon : After you.

Customer : Excuse me. Do you work here?

George : Uh, certainly, sir. Um, how can I help you?

Customer : My wife--it's her birthday.

George : Of course. Of course. Uh, Michelle? Michelle here would be happy to help you. - Thank you.

Deliverer : Mr. Doverton?

George : Yeah.

Deliverer : I need a signature for this.

George : There you go.

Lisbon : "You'll get a call in 2 hours. Take the jewels where you are told. No cops or your aunt dies."


Rigsby : She's gone.

George : Oh, god.

Tom : Why would anybody kidnap aunt Esther?

Lisbon : Someone thinks your brother was partners with Doyle Murphy.

George : Well, you think so. Why shouldn't everyone else?

Rigsby : Donny Culpepper.

George : What? Who's Donny Culpepper?

Lisbon : You saw him when we were waiting for the elevator.

Jane : Doyle Murphy owed him a lot of money. He might think that that debt transfers with the diamonds.

George : Okay, but we don't have the diamonds.

Jane : Well, he doesn't know that.

George : Well, you have to go arrest him right away.

Lisbon : That's what we're trying to do, Mr. Doverton. Agent Van Pelt is working with local police as we speak. We're pursuing several leads.

Thomas : But the note says no police.

Rigsby : Well, it's a little late for that.

George : Whoa. What are you gonna do? How are you gonna get our aunt back?

Lisbon : We'll do everything we can to find her. In the meantime, when the kidnappers call, you have to try and stall them.

Rigsby : Take that. Okay.

George : Okay.


Jane : It's almost time. You ready?

Rigsby : Yeah, ready.

Jane : And you?

George : I don't know.

Jane : Just stay calm. Keep the kidnapper on the line and keep him calm.

Rigsby : Remember, keep going as long as you can, okay?

Jane : Headphones?

Rigsby : Yeah, other room. Here we go.

George : Hello?

Kidnapper : Do you have the jewels ready?

George : How do I know you have my aunt? I-I demand to

Kidnapper : No. You don't demand anything. You shut up and you listen.

George : I-I--I'm sorry. I'm sorry. I-I just need proof before

Kidnapper : Proof? I'll give you proof.

Esther : Hello? George?

George : Esther, are you all right?

Kidnapper : There. That's your proof. If you want to see her alive again, you're gonna bring me the diamonds.

George : I-I-I... I-I can't do that. I-I...

Rigsby : Got it.

Kidnapper : You think this is some kind of a game?

George : No! No. I--I'm sorry.

Kidnapper : Are you gonna give me the jewels?

George : I-I... I don't have the jewels. I'm trying to tell you.

Kidnapper : All right, then. This is your decision.

George : Aunt Esther !

Kidnapper : You're next. Now I'm coming for you.

George : Oh, my god.


Jane : Stay right there.

Thomas : Hello?

Kidnapper : Where are the jewels, Tom? We both know you have 'em.

Thomas : They're going to catch you. They're going to get you right now.

Kidnapper : No, no, no. I'm gonna get you, Tom. I know everything about you. Yeah, Doyle Murphy told me everything.

Thomas : Screw you. I'll give you $50,000, 50 grand to leave me and my brother alone.

Kidnapper : Oh, you think you're so tough. You give me what I want, or I will come and take it from you.

Thomas : I'll make it $75,000, but no more. I'm not giving up the diamonds.

Kidnapper : You stupid, rich brat. You think you can dictate terms?

Jane : Not this time, Tom. Not this time. I'm gonna make you pay and pay.

Thomas : You try it. You try it, and you see what happens.

Jane : Tough guy, huh? You're gonna give me the same thing you gave to Doyle Murphy?

Thomas : That's right. You push me hard enough, and you'll see.

Jane : Okay. Thanks, Tom. That's great.

Rigsby : Got it all on tape. You're going down. Give me the phone. Hands behind your back. You're under arrest for the murder of Doyle Murphy. Let's go.

Jane : Like a charm.


Jane : Ah, tea. Lovely.

Lisbon : Mrs. Doverton? I'm sorry, but we've had to mislead you a little to solve this crime. I'm afraid I've got some difficult news. Your nephew Tom was involved in this robbery.

Mrs Doverton : Tom...


Jane : Oh, hey, Carl. Welcome back.

Carl : Where am I?

Jane : In the hospital. You just came out of an induced coma. Can I ask you a question?

Carl : What happened to me? Who are you?

Jane : Never mind that. Tell me-- Esther Doverton-- It was all a scam, right? You just wanted to cash in with a rich, old broad.

Carl : Excuse me?

Jane : Oh, come on. You don't need to be coy with me. It was a great score. Plus, she's, uh, she's pretty good-looking, which is an added bonus with these kind of scams.

Carl : Are you talking about my wife? Who the hell do you think you are?

Jane : Wouldn't that be a better question for me to ask you, Mr. Wysocki?

Carl : So that's it.

Jane : Had to end sometime. You had a pretty good run. And you know what? Between you and me, I think you could squeeze a little more nickel out of this poor old bat. What do you think?

Carl : Don't you talk about her like that. That woman is the only good thing that's ever happened to me. I love her.

Jane : You sure about that?

Carl : Shut up and get out of here, you son of a--

Jane : Okay. All right. Gotcha. Told you he loves you.

Mrs Doverton : What are you trying to do, kill yourself?

Carl : I'm so sorry. I never meant to hurt you.


Jane : A long time ago, that might have been a frog or a fern or a dinosaur. Then it died, turned into coal and--

Rigsby : Yeah, I know. I did first grade geology, too.

Jane : Well, I'm just saying, it's, uh, just compressed carbon to me. If you want to keep it, I never saw a thing.

Rigsby : What? Get outta here. I wasn't even thinking about that.

Jane : Well, if you say so.

Rigsby : Seriously, you'd let me just walk out of here with this?

Jane : Do you want to?

Rigsby : No, of course not. I mean, yes, I'm tempted.

Jane : Okay, then. Put it in your pocket.

Rigsby : This is a trap, isn't it?

Jane : Are you nuts? What do I care about your integrity?

Rigsby : Oh, yeah, trap. Okay.

Jane : Oh, uh, Grace. Rigsby put something in your pocket.

Van Pelt : What? Houah !!

Rigsby : H-he's messing with you.

Jane : Oh, it's compressed carbon. If you want to keep it... I don't know about Rigsby, but, uh, I wouldn't tell a soul.

Kikavu ?

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Derniers commentaires

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AllisonMe  (17.12.2016 à 19:59)

La façon que Jane a sur scène, bien à lui, pour récolter des dons est vraiment jouissive. Et il a entièrement raison. J'aime beaucoup au début le sourire qu'il adresse quand Va Pelt et Wayne font leur entrée afin de leur faire comprendre qu'il est au courant pour eux et également à la fin quand le mentaliste se sert du diamant retrouvé en sens codé, pour leur dire en fin de compte qu'il ne dira rien les concerant. On lie le premier tour de magie avec le poussin et à la fin avec le diamant. Jane est d'une insolence, irrévérence désopliante que ce soit avec le suspect qui se montre menaçant en attendant l'ascenseur, avec mme doverton, ses neveux, la manière dont il parle de leur tante et losque lui et Lisbon s erendent dans cette clinique, clamant au directeur de l'établissement qu'ils ont le droit d'être odieux étant une enquête de police. Faire semblant de jouer des maracas avec les boîtes de gellules avant qu'il ne sorte du bureau, c'est crevant.

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