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#205 : Esprit, es-tu là ?

Un fantôme et une maison hantée sont au centre d'une enquête du CBI.

Captures

Avis de Télé Star : Une fois de plus, on se plaît à suivre les élucubrations de Patrick Jane.

Popularité


4.18 - 11 votes

Titre VO
Red Scare

Titre VF
Esprit, es-tu là ?

Première diffusion
29.10.2008

Première diffusion en France
15.09.2010

Plus de détails

Ecrit par   Ken Woodruff
Réalisé par   Lesli Linka Glatter

 

Avec  

Terry Kinney (Sam Bosco)
Gregory Itzin (Virgil Minelli)
Derk Cheetwood (Jeb Haas)
Ron Canada (Philip Raimey)
Frances Fisher (Victoria Abner)
Matthew John Armstrong (Deputy Nick Fisher)

Diffusions FR : 19 avril 2010 (TPS Star) / 15 septembre 2010 (TF1)

Audience US : 15,53 millions de téléspectateurs (3.5%)

Audience Fr : 7,82 millions de téléspectateurs

Dans le manoir Beckworth à Eagle Creek, un homme s'approche de la fenêtre car il entend du bruit.

Le lendemain matin il est retrouvé mort.

Le CBI arrive sur les lieux. Ils sont accueillis par l'adjoint Fisher. Celui-ci souhaite en savoir plus sur les affaires d'homicide et apprendre.

La victime est Alan Foster, 43 ans, marié mais pas d'enfant. Il est architecte et a acheté la maison il y'a quelques mois. Il souhaitait la rénover. Cho demande si sa femme était présente hier soir. Sa femme se trouvait à San Francisco où ils ont une maison. Fisher explique qu'il ne comprend pas comment le meurtrier a pû entrer. Lui-même a mis une demi-heure avant de pouvoir éteindre l'alarme. Lisbon demande à Cho de regarder le système d'alarme. Elle suppose que Foster a laissé rentrer quelqu'un ou qu'il y'a une effraction quelque part.

Contrairement à ce que dit Fisher, Jane pense qu'il n'aimait pas la victime. D'après Jane il le trouvait, riche arrogant et prétentieux. Jane demande à Fisher si il l'a tué. Il répond tout simplement "non". Jane se penche sur la victime. Lorsqu'il regarde sa main il dit qu'il y'a quelque chose dedans. Lisbon découvre qu'il s'agit d'un bouton en plomb avec la lettre "b". Jane demande au shérif si ça lui dit quelque chose mais il répond que non. Lisbon souhaite ensuite regarder à l'intérieur de la maison.

Lisbon, Jane et Fisher entrent dans la maison. Fisher dit que la maison est sens dessus dessous et que ce n'est donc pas un suicide. Jane veut savoir ce qui gêne Fisher. Il pense qu'il s'agit du bouton retrouver dans la main du mort. Le "b" du bouton peut signifier d'après lui Beckworth. Walter Beckworth est l'homme qui est à l'origine de la construction de la maison et son premier propriétaire. Il est mort il y'a environ 80 ans et les gens pensent qu'il hante la maison.

Cho entre et l'alarme fonctionnait depuis 6h lorsqu'elle a été coupée par la police. Il n'y a eut ni alerte ni interruption du service. Cho dit que pour lui personne n'est entré ni sorti de la maison à part la victime.

Rigsby et Van Pelt arrivent à leur tour sur les lieux. Alors que Van Pelt rejoint Jane et Lisbon, Rigsby fait part de ses inquiétudes à Cho. Van Pelt fait du volontariat et il croit qu'elle a rencontré quelqu'un.

Lisbon demande à Van Pelt et Rigsby de regarder les alentours de la maison pour trouver comment le meurtrier est entré dans la maison.

Au bureau du CBI, Lisbon et Cho interrogent la femme de Foster. Elle explique que cela faisait trois semaines que son mari était au manoir. Il souhaitait "sentir" la maison avant de commencer à travailler. Il disait qu'il fallait passer un mois dans la maison avant de penser à la changer. Mme Foster confirme qu'elle se trouvait chez elle le soir du meurtre de son mari. Elle dit qu'elle était seule. Cho demande qui pouvait en vouloir à son mari. Elle cite Victoria Abner. Elle tisse des draps et des tapis. Mme Foster la décrit comme quelqu'un de farfelue. Mme Abner était auparavant propriétaire du manoir car elle est une descendante de l'homme qui l'a construite. Le manoir a été vendu car il y avait des impôts et des frais à payer. Mr et Mme Foster pensaient qu'elle serait contente de pouvoir en être débarrassée. Mme Abner, une semaine après la vente du manoir à raconté qu'Alan l'avait volé. Lisbon demande si elle a menacé son mari. Elle dit qu'il a reçu quelques mails pas très sympathiques. Jane frappe à la porte et interrompt l'interrogatoire. Il souhaite parler à Lisbon.

Jane explique alors que Beckworth a été tué en 1928. Il a été jeté par la même fenêtre que celle où a été jeté Alan Foster. Jane entre ensuite dans la salle d'interrogatoire car il souhaite parler à Mme Foster.

Jane demande à Mme Foster si son mari a vu ou entendu des choses étranges dans la maison, des apparitions, des sons inhabituels, des visions. Mme Foster répond que son mari a en effet mentionné des choses étranges, la semaine précédent son assassinat. Il aurait entendu comme des grognements. Alan avait l'impression que quelqu'un déplaçait des choses. Comme il avait l'habitude des vieilles maisons ça ne le dérangeait pas.

Cho explique à Lisbon que trois ans auparavant Mme Abnet n'a jamais été arrêtée mais son voisin a obtenu une ordonnance contre elle à propos d'une dispute en rapport avec le chien du voisin. Victoria Abner a montré son désaccord d'une manière très curieuse. Lisbon dit à Cho de demander des renseignements sur le manoir. Jane ajoute de questionner à propos des fantômes mais Lisbon lui dit de ne pas le faire. Il s'en suit alors une discution entre Jane et Lisbon à propos des fantômes. Jane croit à leur existance alors que Lisbon pas du tout.

Van Pelt et Rigsby sont en train de faire le tour du manoir. Van Pelt dit qu'il n'y a aucune trace d'effraction sous les fenêtres et aucune trace d'empreinte. Elle ne constate aucun signe d'entrée. Elle dit alors que c'est peut-être un fantôme. Tout en cherchant de l'autre côté de la propriété, Rigsby demande à Van Pelt si elle va continuer le volontariat au resto. Elle lui dit que oui et qu'elle se fait pleins de nouveaux amis. Van Pelt s'arrête devant une porte et remarque que la serrure a l'air neuve et que quelq'un l'a forcée. Elle entre dans la pièce avec Rigsby. Van Pelt constate dans cette pièce que tout le matériel électrique a disparu. Van Pelt ramasse un mégot de cigarette. Rigsby explique ce qu'ils ont trouvé à Lisbon.

Jane se promène dans les rues et s'arrête devant le magasin de Philip Raimey. Jane lui dit qu'il cherche des informations sur Beckworth. L'homme comprend qu'il s'agit de l'affaire Foster.

Cho rend visite à Mme Abner. Elle lui explique qu'elle était en colère après Foster. Elle dit qu'il lui a volé sa maison. Drew le neveu de Mme Abner arrive ne pensant pas qu'elle discutait avec quelqu'un. Drew Abner s'avère être un avocat. Cho lui dit qu'au début quand Foster a payé les impôts elle lui était reconnaissante. Il lui demande donc pourquoi elle a changé d'avis. Mme Abner parle alors de l'aura de Cho. Elle compare son aura à celui de Foster. Elle dit qu'il avait un aura rose impur. Foster avait affirmé à Mme Abner qu'il voulait préserver Beckworth. Alors que tout cela n'était pas vrai. Cho demande à Mme Abner où elle se trouvait la nuit du meurtre. Elle dit qu'elle était chez elle dans son lit sans tuer Alan Foster. Cho demande ensuite à Drew où il se trouvait. Il dit qu'il était chez sa tante. Il est une aide précieuse pour sa tante dans ses affaires de droit. Cho reçoit un appel de Jane.

Jane veut savoir si il a demandé pour le fantôme aux Abner. Cho dit que Lisbon ne voulait pas. Jane répond qu'il est avec l'historien du coin. Il a dit à Jane que Beckworth était très intéressé par le spiritualisme. Cho demande alors à Mme Abner. Elle dit qu'elle est bien sûr au courant. Elle dit qu'il s'agit de l'esprit de son grand-père Walter Beckworth. Jane informe Cho que Mr Raimey lui a dit qu'un trésor était également caché dans le manoir. Cho demande alors à Mme Abner. Elle dit qu'effectivement elle est au courant. Il s'agit en fait d'un mensonge et elle a donc abandonné les recherches. Jane demande avant de partir comment Beckworth était devenu riche. L'historien dit qu'il était distilleur. Mr Raimey lui a donné un livre à ce sujet. Mr Raimey dit qu'il avait rencontré Foster une fois ou deux.

Van Pelt et Rigsby entrent dans la maison pour trouver des indices. Ils sont surpris de constater que la porte est ouverte. Lorsqu'ils sont à l'intérieur, ils entendent du bruit venant de l'étage. La lumière se met ensuite à clignoter. Puis ils entendent des voix bizarres. Van Pelt crie de sortir. Une porte se ferme ensuite, puis se rouvre. On voit alors apparaître Jane. Lorsque Rigsby rouvre la porte il ne le voit plus. Jane se montre dans la pièce. Il ouvre le compteur électrique et leur montre comment il a fait. Jane explique que tout est bidon et que les fantômes ça n'existe pas. Pour l'apparition d'un fantôme, il s'agit d'une feuille de papier de verre qui glisse le long du mur. Cela crée une réflexion avec la lumière. Toute cette invention est signée Beckworth et Jane dit qu'elle a servie récemment. Van Pelt comprend que quelqu'un essayait de faire peur à Foster. Rigsby se demande comme la personne est entrée puisque l'alarme fonctionnait en permanence. Jane leur explique que la maison est pleine de passages secrets. Il ouvre le tiroir d'un placard et appuie sur un bouton. Le placard se met alors à bouger. Jane leur dit d'aller regarder dedans que lui va aller jeter un oeil à l'extérieur.

Lisbon se rend dans une salle de jeu de billards. Elle souhaite parler à Jeb Haas. Elle souhaite lui parler concernant le meurtre de Foster et le matériel de construction qui a disparu. L'adjoint Fisher dit que c'est lui le voleur.

Dans le manoir, Van Pelt et Rigsby arpentent les couloirs de la cachette secrète. Ils trouvent une cave à vins.

Haas se trouve en salle d'interrogatoire devant Cho. Cho l'informe qu'ils ont retrouvés le matériel volé dans son véhicule. Le mégot retrouvé dans la remise à son ADN dessus. Haas dit qu'il a une info concernant la soirée du meurtre de Foster mais il ne la donnera pas sans conclure de marché. Cho ouvre alors le dossier de Haas et l'informe qu'il n'a pas rempli sa déclaration fiscale depuis 2002. Il peut donc être poursuivi pour évasion fiscale. Cho se lève en lui disant de réfléchir à la peine de prison qu'il encourt et à la forte amende. Haas parle. Il dit que lorsqu'il chargeait le matériel dans sa voiture il a vu une voiture dans les bois, une BMW noire. Il dit qu'il y avait quelqu'un assis au volant. Il s'agissait de la femme d'Alan Foster, Lilian Foster.

De leur côté, Van Pelt et Rigsby sont toujours à le recherche d'indice dans la cachette du manoir. Grace pousse un cri. Rigsby se rapproche d'elle. Il choisit ce moment pour dire à Grace qu'il l'aime. Alors que Rigsby est sur le point d'embrasse Grace, Jane se montre dehors par un trou. Il est content car il a trouvé l'issu de la cachette.

Cho et Lisbon sont devant la maison de Lilian Foster. Ils sont allés la chercher pour la ramener au CBI. Victoria et Drew Abner sortent de la maison de Lilian Foster. Lilian Foster est en train d'injurer Drew. Victoria dit que la maison lui appartient. Mme Foster dit qu'elle la brûlera avant qu'ils y aient mis un pied. Lilian se jette sur Victoria Abner. Cho et Lisbon arrivent en courant en les sommant de se séparer.

De retour au CBI, Lilian Abner est interrogé par Lisbon et Jane. Lisbon dit à Mme Foster qu'elle sait qu'elle ne se trouvait pas à San Francisco. Elle dit qu'elle avait honte. Jane comprend qu'elle espionnait son mari. Elle le suspectait d'être infidèle. Jane dit que son mari a été infidèle par le passé. La nuit du meurtre de son mari, Mme Foster pensait que son mari la trompait une fois de plus. Personne n'est venue et elle est donc partie vers 22h sans lui parler.

Cho apporte un café à Drew Abner et lui dit que sa tante va rester un peu au CBI. Drew dit qu'il n'est pas vraiment avocat il est assistant juridique. Rigsby les interrompt. Il informe Cho en apparté qu'il a dit à Van Pelt qu'il l'aimait. Jane les a interrompu sans qu'elle puisse répondre. Cho lui conseille alors de lui redire qu'il l'aime.

C'est au tour de Victoria Abner d'être interrogée par Lisbon et Jane. Elle dit à Jane qu'il a une aura extraordinaire. Jane lui demande pourquoi elle veut récupérer le manoir alors qu'il est inhabitable. Elle dit que c'est pour des raisons sentimentales. Jane dit que ce n'est pas vrai. Il sait qu'elle cache quelque chose et que la maison renferme un secret. Il dit que c'est quelque chose qui est la preuve de sa culpabilité. Elle dit que c'est absurde. Alors tout en l'observant il dit qu'effectivement c'est absurde et que ce qu'elle cache est quelque chose de totalement différent. Puis il lui dit "Le trésor". Elle rigole. Lisbon demande quel trésor. Jane lui explique alors qu'il s'agit du trésor caché par Walter Beckworth. Victoria Abner dit qu'elle voulait juste récupérer sa maison car elle n'aimait ce que Foster voulait en faire. Lisbon ne comprend pas puisque Foster lui-même ne savait pas ce qu'il comptait faire. Elle dit qu'il l'avait informé. Mme Abner demande à Jane si il est bon en énigmes.

Jane accompagné de Fisher et Lisbon retourne voir Raimey, l'historien. Il dit qu'il a trouvé un indice dans des papiers qu'il a acheté à Beckworth. Il y est dit qu'il a caché son grand trésor où personne ne pourra le trouver. Puis il donne cet indice : si trouver la fortune est dans vos sincères intentions, les lieux où vous la trouverez le sont. Lisbon ne comprend pas que Raimey n'est pas dévoilé ce secret avant. Jane le comprend lui c'était pour qu'il puisse garder le butin pour lui seul tout comme Mme Abner qui avait connaissance du trésor. Jane demande à voir la lettre de l'indice. Jane sent la lettre et trouve qu'elle a une bonne odeur. Jane relève que "son" est écrit "s - o - n". Jane propose alors d'aller au manoir.

Jane a réunit tout le monde au manoir. Il commence en parlant de la lettre codée. Jane explique que le mystère du trésor se trouve dans le mot "son" mal orthographié. Il demande ce que chacun pense quant il dit le mot "son". Raimey répond au bruit. Cho dit à des sons aux oreilles. Mme Abner pense à la musique. Jane demande ensuite à Cho de découvrir le piano. Il l'ouvre puis le referme. Il se couche ensuite en dessous et trouve une boîte qu'il ouvre. Raimey fait remarquer que la boîte est vide. Mais la boîte renferme un double fond. Dans le double fond se trouve un papier avec une nouvelle énigme inscrite dessus. Il est écrit "Pour trouver fortune et richesse, nul besoin d'aide. Il suffit de regarder en soit.". Drew demande ce que cela veut dire. Il dit qu'il ne sait pas mais que c'est correctement orthographié. Lisbon dit qu'ils perdent leur temps. Lisbon pense à un canular de la part de Beckworth. Lisbon demande à Cho de sécuriser les lieux de mettre l'alarme et de faire sortir tout le monde. Puis elle lui dit de demander à Van Pelt et Rigsby de surveiller le manoir. Elle dit que personne ne doit rentrer dans les lieux et surtout pas Jane. On comprend ensuite qu'il s'agit d'un piège monté par Jane et Lisbon.

Au dehors, Van Pelt et Rigsby surveillent le manoir. Van Pelt demande à Rigsby comment gérer la situation. Rigsby ne comprend pas et lui demande quelle situation. Elle lui répond la planque. Pour l'autre truc elle lui dit que c'est peut-être pas le bon moment. Van Pelt propose que l'un d'eux patrouille pendant que l'autre reste dans la voiture en planque.

On voit ensuite quelqu'un pénétrer dans le manoir par le passage secret. La personne pénètre ensuite dans la pièce principale par le meuble coulissant. On distingue alors qu'il s'agit de Drew Abner. Il regarde en face le mur le miroir et dit "Regarder en soi." Il se sait d'une chaise et casse la vitre. Il n'y a rien. Jane ouvre la lumière. A ses côtés, Lisbon tient une arme.

Drew comprend que Jane a menti sur la deuxième énigme. Il dit ne pas avoir tué Foster. Jane lui dit que rien que d'avoir pénétré dans le manoir par le passage secret prouve sa culpabilité. Lisbon lui demande si c'est juste pour l'argent ce qu'il confirme. Drew dit que pendant des années il a entendu sa famille parlée de la fortune des Beckworth et qu'au final il n'a rien eut de tout ça. Sa tante lui a parlé de l'indice et du trésor il s'est dt qu'il pourrait avoir ça pour lui. Son cousin lui a parlé de l'équipement que Beckworth avait installé. Il voulait juste lui faire peur. Foster n'a rien entendu à tout cela. Il devait donc faire quelque chose. Quand Drew a tenté de s'enfuir, Foster l'a rattrapé et une bagarre s'en est suivie. Il a frappé Foster avec sa lampe torche. Il dit qu'il ne souhaitait pas le tuer. Il dit qu'il ne savait pas quoi faire et c'est alors qu'il s'est rappelé des histoires sur Beckworthk comment il avait été tué et comment son fantôme hantait la maison. Il a donc jeté Foster par la fenêtre. Lisbon procède ensuite à son arrestation. Drew demande à Jane ce qu'il a trouvé la première quand il a ouvert la boîte sous le piano. Il lui montre alors une clef. Drew voudrait savoir ce qu'elle ouvre mais Jane ne lui répond pas.

Mme Foster parle à Jane au CBI. Elle le remercie pour tout. Elle lui dit qu'il doit comprendre ce qu'elle ressent vu qu'il a perdu sa famille. Elle lui demande si il pense que les morts peuvent comprendre combien ils sont désolés et combien ils les aiment. Il répond que non.

Cho apporte des pizzas pour l'équipe. Jane va dans la cuisine où se trouvent Van Pelt et Rigsby, chercher du vin. Une fois Jane parti, Van Pelt entraîne Rigsby dans un coin isolé. Les deux agents s'embrassent. Afin que personne ne comprenne ce qui se passe elle lui dit qu'elle va aller rejoindre les autres et elle lui demande de venir quelques minutes plus tard.

Alors que Van Pelt suivi de Rigsby rejoint les autres, Jane sert du vin à toute l'équipe. Tout le monde lève son verre à l'affaire classée. Cho demande à Jane à quoi sert la clé qu'il a trouvé. Jane dit que c'est parce que l'affaire n'était pas en or ou en argent que le trésor n'existe pas. Lisbon demande à Jane alors c'était quoi. Il sent son vin et dit qu'il sent bon.

 

Fin...

Alan Foster se trouve dans son manoir. Il travaille. Il entend unbruit puis les lumières s'éteignent.

Foster : Y'a quelqu'un ?

Derrière une porte, on voit des faiceaux lumineux

Foster : Qu'est-ce que c'est ?

Les portes s'ouvrent toute seule. Il semble surprit par ce qu'il voit.


Le lendemain, son corps est à terre, devant la maison. Jane, Lison et Cho sont accompagnés d'un policier

Fisher : Merci de venir nous aider là-dessus, agent Lisbon. J'ai pas eu beaucoup d'homicides... aucun, en fait. Sincèrement, je veux apprendre à votre contact.

Lisbon : Pas de problème, adjoint Fisher.

Fisher : Petite ville. On n'a pas de soucis.

Jane : Et bien, c'est dommage.

Fisher : Vous trouvez?

Jane : Les soucis, c'est votre business.

Fisher : Si vous voulez. La victime est Alan Foster... 43 ans, marié, pas d'enfants. Architecte. Il a acheté la maison il y a quelques mois, il a dit qu'il allait là rénover.

Cho : Sa femme était avec lui hier soir ?

Fisher : Non, elle était en ville. Ils ont une maison à San Francisco. J'ai envoyé quelqu'un lui annoncer la nouvelle.

Lisbon : Quelqu'un d'autre dans la maison avec lui ?

Fisher : Personne pour autant qu'on sache. Je ne sais pas quoi dire. La maison était mieux fermée qu'un coffre fort quand je suis arrivé. Ça m'a pris une demi-heure rien que pour éteindre l'alarme.

Lisbon : Cho, regardez le système d'alarme. Soit la victime a laissé entrer quelqu'un, soit il y a une effraction quelque part.

Il s'en va

Fisher : C'est dommage. Foster avait l'air d'un type bien.

Jane : Wow, voilà un mensonge. Vous ne l'aimiez pas du tout.

Fisher : J'ai pas dit ça !

Jane : Si vous l'avez dit. Vous le trouviez riche, arrogant, prétentieux, Un intrus. Il portait ces lunettes d'architecte à la mode. Vous l'avez tué ?

Fisher : Si je l'ai... Non. Qu'est-ce que c'est que cette question ?

Jane se penche sur le corps. Il regarde plus précisement la main.

Jane : Il a quelque chose dans la main.

Lisbon : Jane ! Les gants.

Jane : OK.

Lisbon ouvre la main et trouve un bouton doré

Lisbon : Un bouton en plomb avec la lettre "b" ?

Jane : Ça vous dit quelque chose, monsieur le shérif adjoint ?

Fisher : Non. (A Lisbon) C'est quoi son problème ?

Lisbon : Ça prendrait beaucoup de temps à expliquer. Jetons un coup d'oeil à l'intérieur.

Fisher : OK. Par ici.


Ils se rendent dans le bureau de Fisher

Fisher : Des signes évidents de lutte. C'est pas un suicide.

Lisbon : Ça, et les suicidaires ouvrent généralement la fenêtre avant de sauter.

Jane : Qu'est-ce qui vous gêne, Fisher ?

Fisher : Quoi ? Rien. De quoi vous parlez ?

Jane : Ce bouton vous a tapé dans l'oeil et là vous êtes tout pale. Qu'est-ce qu'y a, Fisher ? Qu'est-ce qui vous gêne ?

Fisher : Bon, je me suis dit que le bouton pouvait signifier "Beckworth", et j'ai eu un frisson, c'est tout.

Lisbon : C'est qui Beckworth ?

Fisher : Walter Beckworth. C'est le propriétaire d'origine de cette maison... il l'a construite. Mort il y a environ 80 ans. Les gens disent qu'il hante la maison. J'entends ces histoires depuis petit, Mais personne n'y croit.

Jane : Exact.

Cho : Le gars de l'entreprise de sécurité a fait l'historique de l'alarme. Ça fait 6h qu'elle tourne, depuis hier soir, jusqu'à ce que les adjoints l'aient éteinte ce matin. Ni alerte ni interruption de service. En ce qui me concerne, personne n'est entré ni sorti de cette maison. Excepté la victime.

Fisher : Mais c'est impossible. N'est-ce pas ?

Jane : Étrange...


Dehors, Van Pelt et Rigsby sortent de la voiture

Van Pelt : Je dis pas que le volontariat, c'est mieux que ce job, mais au final ça me fait me sentir mieux. Je vois des gens qui sourient grâce à ce que j'ai fait. Il y a quelque chose de... je sais pas, joyeux là-dedans. (A Cho qui les a rejoints) Quand est-ce qu'on voit des gens sourire dans ce job ?

Cho : Sans compter les fous ? Jamais. Le légiste a pris le corps de Foster. Je vais chercher sa femme et l'amener au bureau. Lisbon et Jane sont sous le porche.

Van Pelt : OK, merci.

Elle s'éloigne.

Rigsby : Elle fait du volontariat auprès des sans-abris.

Cho : C'est cool.

Rigsby : Il y a un mec là-bas. Je crois qu'elle... Tu vois ?

Cho : Baise avec un SDF.

Rigsby : Non ! Un volontaire. Un chef. Elle ne... Je sais pas. Pas encore... Peut-être... Je crois... Je ne... non.

Cho : Mec, t'as besoin d'aide.


Sous le porche

Lisbon : Donc le tueur est entré dans la maison sans faire sonner l'alarme ni la désactiver.

Van Pelt : Donc le tueur n'est pas entré par la porte principale.

Lisbon : Il a dû trouver une faille dans le système. Regardez les alentours et l'intérieur. Trouvez comment il est rentré.

Rigsby : Tout de suite.

Lisbon s'en va

Jane : Grace, tu es du genre spirituel. Tu crois aux fantômes ?

Van Pelt : Je crois que l'esprit survit à la mort, et qu'un esprit troublé peut se faire remarquer.

Rigsby : Oh, arrête. Tu ne crois pas sérieusement qu'il y a un fantôme là-dedans.

Jane : Meh. Je sais pas. Si t'en vois un, fais-moi signe.


Au CBI, Cho et Lisbon interrogent Mme Foster

Cho : Depuis combien de temps votre mari était-il au manoir, mme Foster ?

Mme Foster : Il y allait souvent, depuis environ 3 semaines, depuis la vente.

Cho : Pourquoi ? Elle était délabrée.

Mme Foster : Pour sentir la maison avant de commencer à travailler dessus. Il a dit qu'il fallait passer un mois dans une maison avant de penser à la changer. Il est consciencieux... Enfin, il était consciencieux.

Elle se met à pleurer

Lisbon : On peut faire une pause si vous voulez.

Mme Foster : Non, non, non. Finissons-en.

Lisbon : Donc vous étiez chez vous le soir du meurtre ?

Mme Foster : Oui.

Lisbon : Nous sommes obligés de demander... quelqu'un peut-il le confirmer ?

Mme Foster : Hum, non, j'étais seule. Alan avait passé toute la semaine au manoir.

Lisbon : C'était courant, pour votre mari et vous, de rester aussi longtemps éloignés ?

Mme Foster : Ce n'était pas rare quand il commençait un projet. Il s'immergeait.

Cho : Qui aurait pu vouloir du mal à votre mari ?
 
Mme Foster : Oh, je peux vous dire qui était en colère après lui... Victoria Abner.

Cho : Qui est-ce ?

Lisbon : C'est une femme farfelue qui vit en ville, Elle tisse des draps et des tapis. Beckworth lui appartenait. C'est une descendante de l'homme qui a construit le manoir.

Cho : Elle en voulait à votre mari d'avoir acheté la maison ?

Mme Foster : Pas au départ. Il y avait des impôts à payer attachés à la maison, donc on pensait qu'elle serait contente d'en être débarrassée. Mais... à peu près une semaine après la remise des clés, elle a explosé, elle a raconté qu'Alan avait volé la maison. C'était vicieux.

Lisbon : Est-ce qu'elle a menacé votre mari ?

Mme Foster : Elle a envoyé quelques e-mails assez effrayants.

Jane frappe à la porte

Lisbon : Excusez-moi.

Elle sort rejoindre Jane

Lisbon : Quoi ?

Il sort un bout de papier

Jane : Walter Beckworth a été tué en 1928... C'était à propos d'une femme. Vous savez comment ?

Lisbon : Non, et je m'en fous.

Jane : Il a été jeté par exactement la même fenêtre que celle par laquelle Alain Foster a été jeté. Coïncidence ?

Lisbon : Oui.

Jane : Mouais. Bref, tout est là. C'est la veuve de Foster ? Il faut que je lui parle.

Il donne le papier à Lisbon et rentre

Jane : Mme Foster ? Patrick Jane. Est-ce que votre mari a entendu ou vu des choses bizarres dans la maison... Des apparitions, des sons inhabituels, des visions ?

Mme Foster : Puisque vous en parlez, Alan a bien mentionné des choses étranges.

Jane : Du genre ?

Mme Foster : La semaine dernière, il a entendu des bruits la nuit, des espèces de grognements. Il a dit que parfois il avait l'impression qu'on déplaçait les choses. Je sais que c'est un peu spécial, mais ça ne gênait pas trop Alan. Il avait l'habitude des vieilles maisons. Qu'est-ce que ça a à voir avec la raison de sa mort ?


Au CBI, Cho et Lisbon

Cho : Victoria Abner n'a jamais été arrêtée, mais il y a trois ans, un voisin a obtenu une ordonnance de restriction contre elle--une dispute à propos du chien du voisin. Victoria s'est montrée un peu trop graphique sur le sujet.

Jane se lève du canapé

Lisbon : Essayé de trouver si elle était vraiment très en colère que Foster achète la maison.

Cho : OK.

Jane : Et pense à demander pour le fantôme, aussi.

Lisbon : Pas de question sur les fantômes.

Dans le dos de Lisbon, Jane lui fait signe d'en parler

Lisbon : Vous croyez que je sais pas ce que vous êtes en train de faire ? Pas de fantômes.

Jane : Le fantôme a quelque chose à voir avec la mort de Foster.

Lisbon : Non, rien à voir, parce que les fantômes n'existent pas.

Jane : Pas pour vous, mais si vous croyiez qu'ils existent, ils existent.


Van Pelt et Rigsby font le tour du manoir

Rigsby : Rien de spécial ?

Van Pelt : Aucune trace d'effraction sur les cadres de porte, pas d'empreintes sous les fenêtres. Je ne vois aucun signe d'entrée par effraction.

Rigsby : Peut-être que c'est un fantôme.

Van Pelt : Les fantômes ne balancent pas des hommes de 100kg par la fenêtre.

Rigsby : Ils font quoi alors ?

Van Pelt : Aucune idée. Vérifions de l'autre côté.

Rigsby : Tu vas continuer le volontariat aux restos ?

Van Pelt : Ouais.

Rigsby : Tu te fais plein de nouveaux amis, j'imagine.

Van Pelt : Plein. C'est ça qui est bien quand on fait du volontariat. SOn rencontre plein de gens qui ont les mêmes genres de valeurs et d'intérêts que soi.

Rigsby : Ouais.

Ils arrivent près d'une porte

Van Pelt : Hey, regarde ça.

Rigsby : Quoi ?

Van Pelt : La serrure sur la porte, elle a l'air neuve. Quelqu'un l'a forcée.

Ils rentrent et se retrouvent dans une pièce en chantier

Van Pelt : Finalement, les travaux avaient commencé.

Rigsby sort son portable, Van Pelt regarde les objets

Van Pelt : Tout le matériel électrique a disparu.

Rigsby : C'est quoi ça ?

Van Pelt se baisse pour ramasser quelque chose

Van Pelt : Tu crois que les fantômes fument de filtres ?

Rigsby (au téléphone) : Boss, quelqu'un est entré dans la remise, et a volé tout un paquet d'appareil et de fournitures. Peut-être qu'ils sont aussi entrés dans la maison.


Jane se trouve devant une boutique d'antiquités. Ils regardent à travers la vitre, un homme arrive

Homme : Je peux vous aider ?

Jane : Je vois que vous êtes spécialisé en histoire locale. Mr...

Raimey : Raimey. Philip Raimey. Oui, et vous êtes ?

Jane : À la recherche d'infos sur Walter Beckworth.

Raimey : Vous êtes de la police ? À propos de l'affaire Foster ?

Jane : Oui, mais ne le dites à personne. Patrick Jane.

Ils se serrent la main

Raimey : Eh bien, Mr. Jane, si vous vous intéressez à Beckworth, vous êtes venu au bon endroit.

Jane : Merci. Super boutique.


Cho interroge Victoria Abner chez elle

Victoria : Agent Cho, bien sûr que j'étais en colère après Foster. Si quelqu'un volait votre maison, vous ne seriez pas énervé vous aussi ?

Cho : Il a acheté la maison, Mme Abner.

Victoria : Vous ne comprenez pas.

Cho : Une maison où vous n'avez pas vécu depuis votre enfance.

Victoria : C'est pas ça l'important.

Un homme rentre

Drew : Désolé. Je savais pas que tu avais quelqu'un.

Victoria : Oh, voici mon neveu Drew. L'agent Cho me pose des questions concernant Alan Foster. Il veut savoir pourquoi j'étais si énervée après l'homme qui a volé Beckworth.

Drew : C'est un problème complexe.

Victoria : Non, ce n'est pas si complexe.

Drew : Il y a beaucoup de facteurs à considérer-- économiques, et émotionnels.

Victoria : Mon neveu est avocat. Il est très rationnel. Ça tombe bien, parce que moi non. Il n'y a aucun facteur à considérer. Foster était un voleur et un menteur.

Cho : Vous ne pouviez pas payer les impôts sur la maison. Vous étiez reconnaissante, au début, quand il l'a achetée. Qu'est-ce qui vous a fait changer d'avis ?

Victoria : Vous avez une très bonne aura.

Cho : Merci.

Victoria : Excellente couleur... rouge foncé...Les pieds sur terre, réaliste. Et l'aura de Foster était rose, rose impur. Ça veut dire malhonnêteté, ineptie. Quand il m'a contactée, il a dit qu'il voulait préserver Beckworth. Il m'a menti. Il voulait l'étriper-- la maison de mon enfance, et je ne pouvais pas le laisser faire.

Drew : Écoutez, monsieur, vous comprenez que Beckworth est un sujet chargé d'émotion pour ma famille, mais quoi qu'elle ait pu penser ou dire, ma tante est incapable de faire du mal à quelqu'un.

Cho : Où étiez-vous la nuit dernière ?

Victoria : Chez moi, dans mon lit, sans tuer Alan Foster.

Cho : Et vous ?

Drew : J'étais ici. Je reste avec ma tante plus ou moins régulièrement depuis qu'on l'a forcée à vendre.

Victoria : Il m'aide avec mes affaires de droit. Je serais perdue sans lui.

Drew : Impôts, huissiers, saisies... rien de bien compliqué.

Le téléphone de Cho sonne

Cho : Excusez-moi. (Il répond) Cho.

Jane : Cho, tu as demandé pour le fantôme ?

Cho : Non, t'as entendu Lisbon.

Jane : Je suis avec l'historien du coin. Apparemment, Beckworth était très intéressé par le spiritualisme. Il aimait explorer l'au-delà, il faisait des séances, et tout ce genre de conneries. Donc les fantômes ont quelque chose à voir avec ça, mon vieux. C'est très important. Cho ? S'il te plaît.

Cho se retourne et s'adresse à Victoria

Cho : Mme, vous savez quelque chose sur un fantôme dans cette maison ?

Victoria : Bien sûr. C'est l'esprit de mon grand-père, Walter Beckworth. Il me rendait visite quand j'étais enfant.

Cho : Elle dit qu'il y a un fantôme.

Jane : Merci. Pas surprenant. (A Philip qui vient de lui donner une tasse de thé)  Mmm. Miel de trèfle ?

Raimey : Oui, exactement, c'est ça.

Cho : Jane ?

Jane : Mm. Pardon. Euh, Mr. Raimey dit qu'il y a aussi un trésor caché là-bas.

Philip : Une rumeur, une simple rumeur.

Jane : Une rumeur. Une fortune que Beckworth aurait cachée dans la maison. Est-ce que Abner en a entendu parler ?

Cho se retourne pour de nouveau parler a Victoria

Cho : Le trésor de Beckworth ?

Victoria : Oh, oui. Tout le monde dans la famille sait qu'il y a un grand trésor mythique. On a abandonné les recherches il y a des années. C'était un mensonge. Sinon, vous croyez que je vivrais ici ?

Cho : Elle dit "pas de trésor".

Jane : Hmm. Compris. Merci.

Cho : OK.

Jane raccroche

Jane : (A Raimey) Pas de trésor. Du miel de trèfle.

Il boit la fin de sa tasse, la pose. Puis il prend des livres et serre la main de l'historien

Jane : Et bien... merci.

Raimey : Si je peux faire quoi que ce soit...

Jane : Eh bien, il y a quelque chose. Comment Beckworth a-t-il gagné son argent ?

Raimey : Oh, il était dans la contrebande-- avec beaucoup de succès. C'est dans, euh, celui-ci, le 2ème livre en partant du bas.

Jane : OK. Merci. Vous aviez déjà rencontré Foster ?

Raimey : Une fois ou deux. Il avait l'air assez agréable. Jamais trop fait attention.

Jane : Espèce de vieux menteur.

Raimey : Pardon ?

Jane : Vous m'avez entendu !

Il sort de la boutique

 

Rigsby et Van Pelt continuent de faire le tour

Rigsby : Rien à l'extérieur de la maison.

Van Pelt : Voyons à l'intérieur.

Ils arrivent devant une porte

Van Pelt : C'est bizarre.

Rigsby : Quoi ?

Van Pelt : Que ca soit ouvert

Ils rentrent, un bruit de porte se fait entendre

Van Pelt : T'as entendu ?

Rigsby : Ouais. Y'a quelqu'un en haut.

Van Pelt : Je croyais que tout le monde était parti.

Ils prennent les escaliers

Rigsby : Il y a quelqu'un ?

Un nouveau bruit se fait entendre, ils sortent leurs armes

Rigsby : C'est venu de là-bas.

Ils sont dans le bureau de Fisher, Van Pelt tente d'allumer les lumières

Van Pelt : Des vieux câbles, j'imagine.

Une voix résonne

Rigsby : C'était quoi ?

Van Pelt : CBI. Sortez.

Les portes derrières eux se ferment toutes seules

Rigsby : Police. Qui que vous soyez, sortez de la pièce avec les mains sur la tête.

Les portes du fond s'ouvre et on voit le reflet de Jane

Rigsby : Jane ?

Les portes se ferment. Ils les ouvrent mais Jane a disparu

Rigsby : Où il est passé ?

Van Pelt : Comment il a fait ça ?

Jane apparait

Jane : C'est facile. Je vais vous montrer.

Ils leurs montrent un petit placard sur le mur

Jane : Ah, vous voyez ? C'est que des boutons. Y'a un système de tuyaux qui transportent les sons dans la maison.

Il le tend a Rigsby

Rigsby : Bonjour

Jane : Tout est bidon... Parce que, chère et crédule Van Pelt, les esprits, c'est de la fumée et des jeux de miroirs, et rien d'autre.

Rigsby : Et le fantôme ? Comment t'as fait ça ?

Jane : Ah, le plat de résistance. Si tu peux te mettre dans le coin, ami Rigsby, et, Grace, si tu peux prendre place près des portes...

Ils s'executent

Jane : Le fantôme de Pepper. C'est un vieux truc de magicien... une simple illusion d'optique. Il suffit d'une feuille de verre, qui glisse le long du mur...

Rigsby : C'est un reflet ?

Jane : Et de la lumière.

On voit le reflet de Rigsby

Jane : Et on éteint tout.

Rigsby : Beckworth a fait construire tout ça juste pour ses séances ?

Jane : Pour pouvoir impressionner et terrifier ses invités avec sa maîtrise des sciences occultes, et ça a été utilisé récemment. Quelqu'un a nettoyé la poussière.

Van Pelt : Donc quelqu'un essayait de faire peur à Foster.

Jane : Mm-hmm.

Van Pelt : Pourquoi ?

Rigsby : Et comment ils sont entrés dans la maison ?L'alarme était activée tout le long.

Jane : Venez avec moi. Beckworth était distilleur pendant la prohibition, donc il devait faire entrer de l'alcool dans la maison et le cacher quelque part où les autorités ne le trouveraient pas. Cette maison est pleine de passages secrets.

Van Pelt : Et certains mènent dehors ?

Jane ouvre un tiroir de l'armoire près de laquelle ils se trouvent. Il appuye sur un bouton et l'armoire se déplace

Jane : Allez-y. Jetez un oeil. Je vais regarder à l'extérieur. L'un de nous va trouver le passage secret.

Van Pelt : Après toi.

Rigsby : Oh, merci.


Lisbon rentre dans une salle de billard

Lisbon : Jeb Haas ?

Jeb : Qui le demande ?

Lisbon : Agent Lisbon, C.B.I.

Jeb : Une jolie fille comme vous ?

Lisbon : J'ai des questions pour vous concernant le meurtre d'Alan Foster.

Jeb : J'ai rien à vous raconter.

Lisbon : On dirait qu'on a volé des fournitures de construction au moment du meurtre. L'adjoint Fisher dit que vous êtes le voleur, dans le coin. Celui qui vole ce genre de trucs.

Jeb : C'est Fisher qui vous envoie ? Quel salopard ! Je sais pas ce qu'il vous a dit, mais j'ai rien à voir ni avec aucune effraction, ni avec aucun meurtre.

Lisbon : Alors ça doit pas vous gêner de venir au poste avec moi.

Jeb : Et si je refuse ?

Lisbon : Monsieur, c'est pas obligé de se passer difficilement.


Van Pelt et Rigsby sont dans un souterrain

Van Pelt : Ça va ?

Rigsby : Ouais ouais. Et toi ? Hey, Regarde ça. Une cave à vins.

Van Pelt : Je me demande s'ils sont encore bons.

Rigsby : M'étonnerait.

Van Pelt : C'était quoi ?

Rigsby : Sûrement des rats.

Van Pelt : Oh, mon Dieu, non. Je hais les rats.

Rigsby : Bon, c'est juste un fantôme, alors.

Van Pelt : Tu crois pas aux fantômes.

Rigsby : Non, mais toi oui. Attends en haut si tu veux. Je m'en occupe.

Van Pelt : Oh, merci. Ça va aller.


En salle d'interrogatoire, Cho interroge Jeb Haas

Cho : La nuit où Foster a été tué, vous êtes entré par effraction dans la remise, et vous avez volé quelques milliers de dollars en outils et en équipement. On le sait parce qu'on a retrouvé les bien volés dans votre véhicule, et on a retrouvé ce mégot de cigarette dans la remise. On va trouver votre ADN dessus, c'est sûr.

Jeb : Tout le monde sait que cette maison est câblée de partout avec un super système d'alarme. J'ai tué personne. J'ai jamais vu Foster, et je suis jamais allé dans la maison.

Cho : C'est bien, si vous arrivez à le prouver.

Jeb : Je peux pas, mais j'ai une information en particulier sur cette soirée... une info que vous voulez.

Cho : J'écoute

Jeb : Non, non. Pas sans un deal sur les accusations de vol et d'effraction. Et un bon, hein.

Cho : Vous voulez un deal ? OK. Juste pour être clair, est-ce que vous voulez un deal juste pour le vol et l'effraction, ou aussi pour l'évasion fiscale ?

Jeb : Quoi ?

Cho : Selon votre dossier au fisc, Vous avez pas rempli de déclaration d'impôts depuis 2002. À moins que vous ayez pas gagné un sou en sept ans, vous risquez de sérieuses accusations d'évasion fiscale. Vous avez la moindre idée de combien de prison ça coûte ?

Jeb : De la prison ?

Cho : De la prison ferme, pour un bon bout de temps. Je vais vous laisser y réfléchir.

Jeb : Quand je chargeais les trucs de la remise, j'ai vu une voiture, dans les bois... Une BMW noire. Il y a avait quelqu'un assis au volant... la femme de Foster.

Cho : Lillian Foster ?

Jeb : Je l'ai vue en ville. Elle était assise là tout le long. Elle m'a pas remarqué. Elle regardait dans la maison.

Cho : Elle était encore là quand vous êtes parti ?

Jeb : Oui. Alors, vous allez faire quelque chose... je veux dire, pour le fisc ?

Cho : Vous inquiétez pas. J'ai menti là-dessus.


Dans le souterrain, la lampe torche de Rigsby ne marchent plus

Van Pelt : Qu'est-ce qui marche pas ?

Rigsby : Je sais pas. Les piles peut-être.

Van Pelt : Ne la tape pas.

Rigsby : D'accord. Répare-là, alors.

Van Pelt : On n'a qu'à utiliser la mienne.

Elle crie

Rigsby (paniqué) : Quoi ? Quoi ? Quoi ?

Van Pelt : Oh ! Oh, j'ai senti quelque chose remonter sur ma jambe.

Rigsby : Oh ! Il y est encore ?

Van Pelt : Non.

Rigsby : C'était sûrement juste un fantôme. Grace ?

Van Pelt : Oui ?

Rigsby : Je... Oublie. Oublie.

Van Pelt : On devrait peut-être avancer.

Elle fait quelques pas, Rigsby l'attrape par le bras

Rigsby : Grace, je t'aime. Je t'aime depuis le moment où je t'ai rencontrée. Je m'en fous des règles. Je m'en fous du CBI. Je te veux.

Grace (troublé) : Je, euh... C'est, hum...

Rigsby : À moins que tu m'empêches, je vais t'embrasser maintenant.

Ils s'apprêtent à s'embrasser, quand, soudain, une trappe s'ouvre. Jane apparait

Jane : Eurêka ! Trouvé !


Dans une voiture stationné devant la maison de la femme de Foster, se trouvent Cho et Lisbon. Cette dernière est au téléphone

Lisbon : Bon boulot. Ouais, on vous retrouve au bureau après avoir récupéré Lillian Foster. On est devant sa maison, là. (Elle raccroche) Jane dit qu'il a trouvé une autre entrée dans la maison.

Cho : Je savais qu'il devait y avoir un autre accès.

Des éclats de voix proviennent de chez Lillian Foster

Lillian : Comment osez-vous venir ici, espèce de folle ! Mon mari vient de mourir !

Lisbon : C'est Victoria Abner et son neveu ?

Cho : Qu'est-ce qu'ils font ici ?

Ils sortent de la voiture

Victoria : Ça me semblait être une bonne idée.

Lillian : Vous n'avez aucune honte ?

Drew : Mme Foster, si vous pouviez juste vous calmer, s'il-vous-plaît.

Lillian : Vous savez ce que vous êtes ? Vous êtes un vautour. Vous êtes un vieux vautour taré et obsessionnel !

Victoria : Ce manoir est à moi. Il appartient à ma famille.

Lillian : Je le brûlerai entièrement avant que vous y ayez mis un pied !

Victoria : Vous, vous avez besoin d'aide psychiatrique.

Lillian : Ah ouais ?

Elles commencent à se battre, Cho et Lisbon accourent

Cho : Hey ! Séparez-vous !!

Victoria : Ah ! Enlevez-là de moi tout de suite !
 
Lisbon : Mais c'est quoi votre problème ? Allez, allez !

Victoria : Vous avez aucune classe ! C'est vous qui êtes venue chez moi !

Lillian : Vous venez chez moi... Ah, ouais, c'est moi la folle ?


Au CBI, Lisbon et Jane interrogent Lillian Foster

Lisbon : Vous vous sentez comment, Mme Foster ?

Lillian : Honteuse.

Lisbon : Comment vous vous êtes  disputée avec Mme Abner ?

Lillian : Elle est venue demander si je voulais bien lui louer le manoir, vu que je voudrais plus y vivre maintenant.

Jane : Elle a dit pourquoi ?

Lillian : J'ai pas vraiment attendu d'entendre les détails. Elle nous a poursuivis tout ce temps, et maintenant ça ?  Je suis vraiment désolé ... J'ai craqué.

Lisbon : Il y a autre chose dont nous voulions vous parler. Vous n'étiez pas à San Francisco la nuit du meurtre de votre mari. Vous étiez au manoir.

Lillian : Ah, vous savez ...

Lisbon : Pourquoi nous mentir ?

Lillian : J'avais honte.

Lisbon : De quoi ?

Lillian : De la raison pour laquelle j'y étais.

Lisbon : C'est-à-dire ?

Jane : Elle espionnait son mari. Elle le suspectait d'être infidèle.

Lillian : Oui. Comment saviez-vous ?

Jane : Parce qu'il a été infidèle par le passé ?

Lillian : Oui. Il a eu une liaison il y a un an. Il était à l'extérieur. J'étais prise dans mon travail, et c'est arrivé.

Lisbon : C'est très compréhensif de votre part.

Lillian : Oh, j'étais furieuse, croyez-moi. Mais nous y avons travaillé... nous avons consulté, etc., et je pensais avoir dépassé ça. Je ne lui faisais pas confiance. Donc quand Alan m'a dit qu'il passerait le week-end au manoir et qu'il ne rentrerait pas à la maison, j'ai décidé que je devais y aller pour le prendre sur le fait.

Jane : Mais personne n'est venu.

Lillian : Non. Je me suis sentie si mal que je suis partie sans lui parler.

Lisbon : À quelle heure ?

Lillian : Vers 22 heures.

Lisbon : Y a-t-il un moyen de le prouver ?

Lillian : Hum, j'ai fait de l'essence sur le chemin du retour. Ma banque doit sûrement avoir une trace de la transaction, non ?

Lisbon : Oui, on va vérifier.

Lillian : Je n'arrête pas de penser que si j'étais restée là-bas, si j'étais juste allée parler à Alan, il serait encore en vie.

Jane : Mm, plus probablement, vous seriez morts tous les deux.

Lillian : Vu comment je me sens, je pourrais préférer ça...

Jane : La douleur va passer.

Lillian : Qu'est-ce que vous en savez ?

Jane : Je le sais.


Dans le couloir, Drew est assis. Cho arrive avec deux cafés

Cho : Comment ca va ?

Drew :  Bien. Merci.

Cho : Votre tante va rester avec nous encore un peu de temps. On va devoir tirer cette bagarre au clair, OK ?

Drew : J'ai essayé d'empêcher l'escalade. C'est pour ça que j'étais là en fait, Mais l'hostilité m'a un peu pris par surprise.

Cho : Ce sera à votre tante de décider si elle veut déposer plainte, mais vous êtes avocat. Vous savez comment ça marche.

Drew : Je suis pas exactement avocat. Ma tante aime embellir les faits. Je suis assistant juridique.

Rigsby arrive

Rigsby : Cho, euh, excuse-moi. T'as une seconde ?

Cho : Oui. On va quand même avoir besoin d'une déclaration de votre part. Excusez-moi une seconde. (A Rigsby) Qu'est-ce qu'y a?

Rigsby : J'ai dit à Grace que je l'aimais.

Cho : Wow. OK. Bien joué. Et il s'est passé quoi ?

Rigsby : Oh, rien. Jane nous a interrompus, et elle a pas dit un mot depuis.

Cho : Répète-lui, alors.

Rigsby : D'accord, OK. Lui répéter. OK, d'accord.


Jane et Lisbon interrogent Victoria

Victoria : Votre aura est fascinante, Mr. Jane... Tellement de tonalités.

Jane : Merci. Le manoir est inhabitable. Pourquoi vous voulez le récupérer ?

Victoria : Pour des raisons sentimentales.

Jane : Mm, non. Non, c'est pas vrai. Vous êtes fermée, fuyante. Vous cachez quelque chose. Il y a quelque chose dans cette maison, n'est-ce pas ? Quelque chose que vous ne voulez que personne d'autre ne trouve...  La preuve de votre culpabilité ?

Victoria : C'est absurde.

Jane : Non. Vous avez raison. C'est absurde. C'est quelque chose de totalement différent. Ah... Le trésor.

Lisbon : Quel trésor ?

Jane : Le trésor caché par Walter Beckworth dans le manoir.

Victoria : Je voulais récupérer ma maison parce que je n'aimais pas ce que Foster avait prévu d'en faire. Il allait la détruire.

Lisbon : Foster n'était là-bas que depuis quelques semaines. Comment auriez-vous pu savoir avant lui ce qu'il comptait faire ?

Victoria : Dans la discussion, il me l'a dit.

Lisbon : Mme, on découvre que vous mentez, et vous devenez le suspect n. 1.

Victoria : D'accord. (A Jane) Vous devez aimer l'énigme ?


Chez l'antiquaire

Raimey : J'ai trouvé l'indice il y a quelques semaines quand j'ai acheté des papiers de Beckworth dans une vente de succession. C'était une lettre à un de ses cousins, écrite juste avant sa mort. Beckworth raconte qu'il a caché son "grand trésor" où personne ne peut le trouver, et offre ensuite cet indice : "si la fortune est vraiment ce que vous cherchez, vous trouverz ici ce que vous attendez."

Jane : C'est tout ? C'est ça l'énigme ?

Raimey : Oui.

Jane : Intéressant...

Raimey : Bien sûr, je l'ai immédiatement dit à Mme Abner, mais la maison avait déjà été vendue à Foster.

Lisbon : Pourquoi ne pas en avoir parlé avant ?

Raimey : Eh bien, ça... ça ne me semblait pas de première importance.

Lisbon : C'est un mobile. C'est très important.

Jane : Mr. Raimey et Mme Abner avaient décidé de rester silencieux et d'éviter d'avoir à partager le butin avec qui que ce soit, correct ?

Raimey : Oui, mais ça ne veut pas dire que l'un d'entre nous ait tué Foster.

Jane : Tout-à-fait. Quiconque a tué Foster essayait simplement de lui faire peur pour qu'il quitte le manoir. Ça aurait pu être quiconque voulait le trésor, voir même vous, Fisher.

Fisher : C'est ça. Je l'ai tué.

Jane : Ah oui ? Vous aviez nié, pourtant !

Fisher : Ça suffit avec ça.

Jane : Je dois voir cet indice. Où est la lettre ?

Raimey la lui donne

Jane : Merci.

Raimey : Quoi ?

Jane : Elle sent bon. "Si la fortune est vraiment ce que vous cherchez, vous trouverz ici ce que vous entendez... entendez ? C'est écrit attendez

Raimey : J'ai pensé que c'était une erreur.

Jane : Hmm. Il n'y a pas d'erreur. Allons-y.


Au manoir, dans le bureau de Foster, toutes les personnes ayant un lien avec l'enquête sont réunis

Jane : Comme vous le savez, Walter Beckworth a laissé un message codé décrivant l'emplacement du trésor. Je vous ai tous amenés ici pour m'aider à le trouver. Le verbe "entendre" est mal orthographié dans l'énigme. Je ne crois pas que ce soit une erreur. Je crois que l'indice lui-même est dans ce mot... entendre, entendre au lieu d'attendre À quoi pensez-vous quand je dis "entendre" ?

Raimey : Bruit.

Drew : Des sons.

Cho : Aux oreilles.

Jane : Très bien. Quoi d'autre ?

Victoria : La musique. Des instruments de musique.

Jane : Absolument une possibilité. Ils regardent vers le fond de la pièce où semble se trouver un piano Cho ? Dévoile-le.

Cho s'execute. Il y a effectivement un piano. Jane regarde à l'intérieur puis en dessous. Il trouve une boite

Jane : Hmm. Aha.

Lisbon : Qu'est-ce que c'est ?

Jeb : Oui, qu'est-ce que c'est ?

Il ouvre la boite

Jane : La fortune de Beckworth.

Raimey : Il n'y a rien dedans.

Drew : C'est vide ?

Jane : Attendez.

Il y a un double fond, où se trouve un papier

Victoria : C'est quoi ça ?

Jane : C'est une nouvelle énigme.

Raimey : Et elle dit quoi ?

Jane : "Pour trouver fortune et richesse, nul besoin d'aide. Il suffit de regarder en soi."

Drew : Qu'est-ce que ça veut dire ?

Jane : Je ne sais pas, mais c'est correctement orthographié.

Lisbon : Ça veut dire qu'on perd notre temps.

Jeb : Ça n'a même pas de sens.

Jane : Ne hâtons pas notre jugement.

Lisbon : Beckworth l'a probablement mis là pour faire un canular.

Cho : Plutôt nul comme canular.

Victoria : Mais la fortune est peut-être encore là !

Jane : J'ai juste besoin de temps pour la trouver.

Lisbon : On ne va pas perdre plus de temps. Le spectacle est terminé. Tout le monde dehors. Cho, sécurisez les lieux et branche l'alarme. Demandez à Rigsby et Van Pelt de surveiller le manoir ce soir. On prendra la relève après eux. Personne n'entre dans cette maison, et surtout pas Jane. Compris ?

Cho : Compris. Tout le monde dehors.

Jane : Lisbon. Lisbon. Je... Vous... Lisbon, c'est...

Lisbon : Allez vous faire voir! On en a fini pour ce soir.

Jane attend que le reste parte

Jane : "Allez vous faire voir ?"

Lisbon : C'était trop ?

Jane : Euh, un tantinet. Ça a marché. Ca va. Un peu exagéré quand même


Rigsby et Van Pelt sont stationnés devant le manoir

Rigsby : Donc, euh, Grace...

Van Pelt : Oui ?

Risgby : Je me demandais si on pouvait...

Van Pelt : Comment on gère le truc ?

Rigsby : Gérer quoi ?

Van Pelt : La planque.

Rigsby : Oh. Hum, oui.

Van Pelt : Écoute, pour l'autre truc, c'est peut-être pas le bon moment.

Rigsby : Ouais. Ouais. Hum, on pourrait, euh, marcher... patrouiller les environs.

Van Pelt : Ou peut-être qu'un de nous peut rester ici pendant que l'autre patrouille. On alterne ?

Rigsby : Ouep, c'est mieux. Je, euh, j'y vais en premier.

Van Pelt : Oh, ça va, je peux le faire.

Rigsby : Comme tu veux.

Van Pelt : Ben, si tu veux y aller en premier, ça me va aussi.

Rigsby : Non, non, non.


Pendant ce temps, un homme pénétre danc le jardin du manoir. Il ouvre les portes qui cachent accés aux souterrains.  On voit qu'il s'agit de Drew. Il se retrouve dans le bureau de Foster. Il se dirige vers un miroir.

Drew : "Regarder en soi."

Il prend une chaise et le casse. Mais il n'y a rien derrière

Drew : Non !

Jane et Lisbon allume la lumière.

Jane : Y'a rien ici, Drew. Y'a jamais rien eu.

Drew : Vous avez inventé le deuxième indice ?

Jane : Aha. Oui.

Drew : J'ai pas tué Foster.

Jane : Ne soyez pas ridicule. Bien sûr que oui. Seul le tueur savait comment entrer par le passage secret.

Lisbon : Vous avez prouvé votre culpabilité rien qu'en entrant dans cette pièce. Tout ça, juste pour l'argent ?

Drew : Juste pour l'argent ? J'ai passé des années à entendre ma famille rabâcher sur les Beckworth et tout ce qu'ils avaient. J'ai rien eu de tout ça, pas une miette. Alors quand ma tante m'a parlé de l'indice et du trésor, je me suis dit que je pourrais avoir ça pour moi. Je pourrais avoir ce que j'ai mérité toute ma vie. Tout ce que j'avais à faire, c'était faire sortir Foster.

Lisbon : Donc vous l'avez hanté.

Drew : Mon cousin m'a parlé de... l'équipement que Beckworth avait installé. Je voulais juste lui faire peur. Mais Foster n'y a rien entendu. Donc je devais faire quelque chose.

Flashback, Foster découvre le "fantôme" de Drew. Il rentre dans la pièce. Drew tente de s'enfuir. Foster le rattrape. Drew le frappe avec un marteau

Drew : Je voulais pas le tuer.

Fin du flashback

Drew : Oh, je ne savais pas quoi faire. Et là, euh, je me suis rappelé des histoires sur Beckworth, comment il avait été tué, que son fantôme hantait encore la maison. Donc je l'ai jeté par la fenêtre de la même façon dont Beckworth s'est fait tuer. C'était pas la maison de Foster. Elle appartient à ma famille.

Lisbon : Mettez vos mains dans le dos. Maintenant.

Elle lui passe les menottes

Drew : Quand vous avez ouvert la boîte sous le piano, la première fois, il y a avait quelque chose dedans ?

Jane sort une clé de sa poche

Jane : Ceci. Vous avez tué Foster pour une vieille clé.

Drew : Je me demande ce qu'elle ouvre.

Jane : Oh, je sais ce qu'elle ouvre.

Drew : Quoi ?

Lisbon : Il vous taquine. Il est méchant, c'est tout. Allez.


Au CBI, dans la salle de réfectoire, Lillian Foster vient voir Jane

Lillian : Mr. Jane. Je viens d'être briefée par un de vos agents.

Jane  : Eh bien, j'espère qu'ils se sont comportés de façon professionnelle.

Lillian : Merci pour tout.

Jane : Je vous en prie.

Lillian : Puis-je vous poser une question ?

Jane : Allez-y.

Lillian : Je me suis renseignée sur vous. Ce qui est arrivé à votre famille... Vraiment désolée. Et je me disais que peut-être ça vous permet de comprendre ce que ça fait de perdre quelqu'un.

Jane : C'était votre question ?

Lillian : Vous pensez qu'il savent ce que nous ressentons ? Les morts, je veux dire... À quel point nous sommes désolés... Combien nous aurions aimé que les choses de passent différemment ? Vous pensez qu'ils comprennent ?

Jane : Non. Désolé.


Cho apporte les pizzas

Jane : Pizza de clôture de dossier ?

Lisbon : Pizza de clôture de dossier.

Cho : Si Rigsby mange encore tous les anchois, je vais m'énerver.

Lisbon : Ca va ?

Jane : Comme un charme. Oh, j'ai exactement ce qu'il faut pour aller avec.

Il va au refectoire ou se trouve Van Pelt et Rigsby. Il prend une bouteille

Van Pelt : Du vin ?

Rigsby : Juste un petit quelque chose de spécial.

Il s'en va. Rigsby ouvre la porte du placard près de Van Pelt

Rigsby : Excuse-moi. Je prends un verre. Pardon.

Il retourne vers la table. Van Pelt soupire. Elle le prend par le bras et l'emmene vers une pièce vide. Une fois à l'intérieur, ils s'embrassent

Van Pelt : Je vais partir dans quelques minutes. Attends 5 minutes, et rejoins-moi dans ma voiture.

Rigsby : OK.

Ils rejoignent le reste de l'équipe, Jane sert le vin

Cho : Juste une goutte.

Jane : Van Pelt.

Van Pelt : Oh, merci.

Rigsby : Mr. Rigsby.

Lisbon : Affaire classée.

Toute l'équipe : Affaire classée.

Lisbon : (en parlant du vin) Mmm. Il est bon.

Jane : Content que vous aimez.

Cho : Alors, la clé ouvrait quoi, Jane ? Celle que t'as trouvée dans la boîte.

Jane : La clé ? La fortune de Beckworth.

Lisbon : Lâche l'affaire.

Jane : Eh bien, c'est pas parce que la fortune n'était pas en or ou en argent qu'elle n'existe pas.

Van Pelt : Alors c'était quoi ?

Jane : Beckworth était collectionneur. Il collectionnait des centaines d'exemplaires d'une seule chose... L'un des exemples les plus rares, les meilleurs du monde, qui vaut des dizaines de millions.

Lisbon : Alors c'était quoi ? Quoi ?

Jane (en reniflant le vin) : Il sent bon. Santé !

Foster : Hello? What the hell?

Beckworth Mansion,

Eagle Creek, California

Fisher : I appreciate your people coming in on this, agent Lisbon. Haven't handled many homicides-- none, in fact Frankly, I'm looking to learn from you.

Lisbon : Not a problem, deputy Fisher.

Fisher : Small town. We don't get much trouble.

Jane : Well, that's a shame. Trouble's your business.

Fisher : You could say. Victim's Alan Foster-- 43 years old, married, no children. Architect. He bought the house a few months back, said he was gonna rehab it.

Cho : Was the wife with him last night?

Fisher : No, she was in the city. They have a house in San Francisco. I sent a man to break the news.

Lisbon : Was anybody else in the house with him?

Fisher : Nobody as far as we can tell. I don't know what to say. The house was locked up tighter than a drum when I got here. Took me half an hour just to shut off the alarm.

Lisbon : Cho, check the alarm system. Either the victim let somebody in, or they broke in someplace.

Fisher : It's a shame. Foster seemed like a nice guy.

Jane : Whoa, that's a lie. You didn't like him one bit.

Fisher : W--i-I didn't say that.

Jane : Yes, you did. You thought he was rich, arrogant, pretentious, an interloper. He wore those trendy architect's glasses. Did you kill him?

Fisher : Did i... No. No. What kind of question is that?

Jane : He's got something in his hand.

Lisbon : Jane! Gloves.

Jane : Right.

Lisbon : A brass button with the letter "b"?

Jane : That mean something to you, deputy?

Fisher : No. What's this guy's problem?

Lisbon : That would take way too long to answer. Let's take a look inside.

Fisher : Okay. It's this way.

Fisher : Clear signs of struggle rules out suicide.

Lisbon : That, and suicides usually open the window before they jump.

Jane : What's troubling you, Fisher?

Fisher : What? Nothing. What are you talking about?

Jane : That button made your pupils dilate. Now you've gone pale. What's up, Fisher? What's troubling you?

Fisher : Well, it occurred to me that the button could stand for "Beckworth," And I got a little chill, that's all.

Lisbon : Who's Beckworth?

Fisher : Walter Beckworth. He was the original owner of this house--built it. Died 80-something years ago. People say he haunts the place. I've heard the stories since I was a kid, but nobody believes them.

Jane : Right.

Cho : Guy from the security company ran the alarm history. It's been up 6 hours since last night until the deputies turned it off this morning. No alarms or interruptions of service. As far as I can tell, no one's entered or left this building except the victim.

Fisher : But that's impossible. Isn't it?

Jane : Spooky.

Outside, Van Pelt and Rigsby

 

Van Pelt : I'm not saying volunteering is better work than this, but it makes me feel better at the end of the day. I see people smiling because of what I've done. There's something, I don't know, joyous in it. (to Cho) How often do we see people smile in this job?

Cho : Leaving or crazy, never. The coroner took Foster's body. I'm gonna get his wife and bring her to the office. Lisbon and Jane are up on the porch.

Van Pelt : Okay, thanks.

Rigsby : She's volunteering at a homeless kitchen.

Cho : That's cool.

Rigsby : There's a man there. I think she's, you know banging home with this guy No! A volunteer. A chef. And she's not-- I don't know. Not yet... maybe... I think... I don't... no.

Cho : Dude, you need counseling.

 

 

Lisbon : Somehow the killer got into the house without tripping the alarm or turning it off.

Van Pelt : So the killer didn't come through the front door.

Lisbon : Probably found some kind of hole in the system. Check the grounds and inside the house. Find out how they got in.

Rigsby : On it.

Jane : Grace, you're the spiritual sort. Do you believe in ghosts?

Van Pelt : I believe the spirit survives death, and a troubled spirit can make itself known.

Rigsby : Oh, come on. You don't seriously think there's a ghost here.

Jane : Meh. I don't know. If you see one, let me know.

 

CBI HQ, Sacramento. California

Cho : How long had your husband been staying at Beckworth mansion, Mrs. Foster?

Lilian : Off and on for about three weeks, since we closed on it.

Cho : Why? It's pretty run-down.

Lilian : To get a feel for the house before he worked on it. He said you should spend a month in a house before you thought about changing it. He's conscientious that way... Or was conscientious that way.

Lisbon : We can take a break if you'd like.

Lilian : No, no, no. Let's-- let's just get through it.

Lisbon : So you were at home the night of your husband's murder?

Lilian : Yes.

Lisbon : We have to ask--is there anyone who can verify that?

Lilian : Um, no, I was alone. Alan had been at the mansion all week.

Lisbon : Was it common for you and your husband to be apart that long?

Lilian : It was not uncommon when he started a project. He got immersed.

Cho : Who might have wanted to hurt your husband?

Lilian : Oh, I can tell you who was angry with him-- Victoria Abner.

Cho : Who's she?

Lisbon : She's this hippie-dippy woman who lives in town, and she weaves linens and rugs. She used to own Beckworth. She's a descendant of the man who built it.

Cho : She resented your husband for buying the place?

Lilian : But not at first. There were tax issues that came with the property, so we thought she'd be but... about a week after we closed, she just blew up, claimed that Alan stole the house. It was vicious.

Lisbon : Did she ever threaten your husband?

Lilian : She sent some pretty scary e-mails.

Lisbon : Excuse me. We need to see those e-mails.

 

Lisbon : What?

Jane : Walter Beckworth was killed in 1928-- fight over a woman. You know how?

Lisbon : No, and I don't care.

Jane : He was thrown out of the exact same window that Alan Foster was thrown out of. Coincidence?

Lisbon : Yes.

Jane : Yeah. Well, it's all here. Is that, uh, Foster's widow? I need to talk to her.

Lilian : As a matter of fact, Alan did mention some strange things.

Jane : What kind of things?

Lilian : Um, in the last week or so he heard some noises at night, like groans. He said sometimes it looked like things were being moved. I know it's a little creepy, but Alan wasn't too bothered. He was used to old houses. What does this have to do with how he died?

 

Cho : Victoria Abner has no arrests, but three years ago a neighbor took out a restraining order against her--some argument about the neighbor's dog. Victoria got a little in-your-face about it.

Lisbon : Go and see how mad she really was about Foster buying the mansion.

Cho : Okay.

Jane : And be sure to ask about the ghost, too.

Lisbon : Do not ask about ghosts. Don't you think I know what you're doing? No ghosts.

Jane : The ghost has something to do with Foster's death.

Lisbon : No, it doesn't, because ghosts don't exist.

Jane : Don't exist in your mind, but if you believe they exist, then they exist.

 

The Beckworth mansion

 

Rigsby : Anything?

Van Pelt : No pry marks on any of the frames so far, no footprints under the windows. I don't see any sign of forced entry.

Rigsby : Maybe it was a ghost.

Van Pelt : Ghosts don't throw 200-pound men out windows.

Rigsby : What do ghosts do?

Van Pelt : I have no idea. Let's check the other side.

Rigsby : So you gonna keep volunteering at the, uh, kitchen?

Van Pelt : Oh, yeah.

Rigsby : Making a lot of new friends, I expect.

Van Pelt : I am. Yeah, that's the great thing about doing volunteer work. You meet so many new people that have the same kind of values and interests as you.

Rigsby : Right.

Van Pelt : Hey, look at that.

Rigsby : What?

Van Pelt : The lock on the door-- looks new Someone cut it open.

Well, if they haven't started work on the house yet... All the power tools are missing.

Rigsby : What's there?

Van Pelt : You think ghosts smoke filtered?

Rigsby : (phone)Boss, someone broke into a storage area, stole a whole bunch of equipment and supplies. Maybe they broke into the house, too.

Store

Raimey : Can I help you?

Jane : I see you specialize in local history.

Raimey : Mr... Raimey. Philip Raimey. Yes, and you are?

Jane : Looking for information on Walter Beckworth.

Raimey : Are you with the police? Here about the Foster incident?

Jane : Yes, but don't tell anyone. Patrick Jane.

Raimey : Well, Mr. Jane, if it's Beckworth you're interested in, you've come to the right place.

Jane : Thank you. Great store.

 

 

Victoria : Agent Cho, of course I was angry with Foster. If someone stole your home, wouldn't you be angry as well?

Cho : He bought the house, Mrs. Abner.

Victoria : You don't understand.

Cho : A house you haven't lived in since you were a child.

Victoria : That's not the point.

Drew : Sorry. I didn't know you were with somebody.

Victoria : Oh, this is my nephew Drew. Agent Cho is asking questions about Alan Foster. He wants to know why I was so upset with the man who stole Beckworth.

Drew : It is a complicated issue.

Victoria : No, it's not that complicated.

Drew : There are many factors to be considered-- Economic and emotional.

Victoria : My nephew is a lawyer. He's very sensible. That's good, because I'm not. There are no factors to consider. Foster was a thief and a liar.

Cho : You couldn't afford the taxes on the house. You were grateful when he first purchased it. What changed your mind?

Victoria : You have a very good aura.

Cho : Thank you.

Victoria : Excellent color--deep red... Grounded, realistic. And Foster's aura was pink, dirty pink. That's dishonesty, fecklessness. When he came to me he said he wanted to preserve Beckworth. He lied to me. He wanted to gut it-- my childhood home, and I couldn't let him do that.

Drew : Look, agent, the Beckworth mansion is understandably a very emotional subject for my family, but whatever she may have felt or said, my aunt is incapable of hurting anybody.

Cho : Where were you last night?

Victoria : In my home, in my bed, not killing Alan Foster.

Cho : What about you?

Drew : I was here. I've been staying with my aunt on and off ever since she was forced to sell the place.

Victoria : He's been helping me out with my legal things. I'd be lost without him.

Drew : Tax liens and escrow-- nothing too complicated.

Cho : Excuse me. (Phone) Cho.

Jane : Cho, did you ask about the ghost?

Cho : No, you heard Lisbon.

Jane : I am talking to the local historian. Apparently, Beckworth was deeply involved in spiritualism. Liked to explore the world beyond, held sences and all that kind of malarkey. So ghosts are relevant, my friend. This is very important. Cho? Don't leave me hanging.

Cho : Ma'am, do you know anything about ghost at the mansion?

Victoria : Of course. That's the spirit of my grandfather Walter Beckworth. He used to visit me when I was a child.

Cho : She says there's a ghost.

Jane : Thank you. No surprise there. Mmm. Clover honey?

Raimey : Yes, as a matter of fact it is.

Cho : Jane?

Jane : Mm. Sorry. Uh, Mr. Raimey says there's also a hidden treasure there.

Raimey : Rumored treasure, purely rumored.

Jane : Rumored treasure some fortune Beckworth hid in the house. Does Abner know anything about that?

Cho : Beckworth's treasure?

Victoria : Oh, yes. Everybody in the family knew that there was a great, mythic treasure. We gave up looking for it years ago. It was a fraud. If it wasn't, do you think I'd be living here?

Cho : She says no treasure.

Jane : Hmm. Got it. Thank you.

Cho : Okay.

Jane : No treasure. Clover honey.

Jane : Well... thank you.

Raimey : If there is anything else I can do...

Jane : Well, there is one more thing. How did Beckworth make his money?

Raimey : Oh, he was a bootlegger-- very successful one. It's in, uh, that one, the second from the bottom.

Jane : Okay. Thank you. Uh, did you ever cross paths with Foster?

Raimey : Once or twice. He seemed pleasant enough. Never paid very much attention.

Jane : You deceitful old bag of bones.

Raimey : Excuse me?

Jane : You heard me.

 

The Beckworth mansion

 

Rigsby : Nothing on the exterior of the house.

Van Pelt : Let's check inside. That's weird.

Rigsby : What?

Van Pelt : Thought this was shut. Did you hear that?

Rigsby : Yeah. Someone's upstairs.

Van Pelt : I thought everybody left.

Rigsby : Hello? It came from in there.

Van Pelt : Old wiring, I guess.

Rigsby : What was that?

Van Pelt : CBI. Come out.

Rigsby : Police. Whoever you are, come out of the room with your hands above your head. Jane?

Where'd he go?

Van Pelt : How'd he do that?

Jane : It's easy. I'll show you. Ah, you see? It's all switches. There's a system of pipes that carry sound throughout the house.

Rigsby : Hello?

Jane : Yeah. It's all fake-- Because, my credulous Van Pelt spirits are smoke and mirrors and that's all that they are.

Rigsby : And the ghost? How did you do that?

Jane : Ah, the pièce de résistance. If you could stand in the corner, my friend Rigsby, and, Grace, if you could take your place out by the doors. Pepper's ghost. It's an old conjurer's trick-- a simple optical illusion. All you need is a sheet of glass that slides out of the wall...

Rigsby : It's a reflection?

Jane : And lighting. And off.

Rigsby : Beckworth had all this built just so he could hold séances?

Jane : So he could amaze and terrify his guests with his mastery of the occult, and it's been used recently. Someone has cleaned the dust off.

Van Pelt : So somebody was trying to scare Foster.

Jane : Mm-hmm.

Van Pelt : Why?

Rigsby : And how did they get in the house? The alarm would have been on the whole time.

Jane : Come with me. Beckworth was a bootlegger during prohibition, which meant he had to smuggle liquor into the house and hide it someplace the authorities couldn't find it. This house is riddled with secret passages.

Van Pelt : Including ones that lead outside?

Jane : Head down. Take a look. I'll check the outside walls. No doubt one of us will find the secret passage.

Van Pelt : After you.

Rigsby : Oh, thank you.

 

Lisbon : Jeb Haas?

Jeb : Who wants to know?

Lisbon : Agent Lisbon, C.B.I.

Jeb : Pretty little thing like you?

Lisbon : I have some questions for you regarding Alan Foster's murder.

Jeb : I got nothing to tell you.

Lisbon : Looks like there were some construction supplies stolen around the time of the murder. Deputy Fisher says you're the local thief most likely to steal that kind of stuff.

Jeb : Fisher sent you? That son of a bitch. I don't know what he told you, but, um, I don't know anything about a break-in or any murder.

Lisbon : Then you won't mind coming down to the station with me.

Jeb : What if I don't want to go?

Lisbon : Sir, this doesn't have to be difficult.

 

The Beckworth mansion

Van Pelt : You okay?

Rigsby : Yeah, yeah. You? Hey, look at that. Wine cellar.

Van Pelt : Wonder if any of it's still good.

Rigsby : I doubt it.

Van Pelt : What was that?

Rigsby : Eh, probably rats.

Van Pelt : Oh, god, no. I hate rats.

Rigsby : It's just a ghost then.

Van Pelt : You don't believe in ghosts.

Rigsby : Yeah, but you do. Wait upstairs, if you like. I'll take this one.

Van Pelt : Oh, thanks. That's okay.

 

CBI

Cho : Same night that Foster was killed, you broke into his pool house and stole a few thousand dollars worth of tools and equipment. We know because we found some of the stolen equipment in your vehicle and we found this cigarette butt in the pool house. It'll definitely have your D.N.A. on it.

Jeb : Everybody knows that place is all wired up with some fancy alarm system. I didn't kill anybody. I never saw Foster, and I never went into his house.

Cho : Nice if you could prove that.

Jeb : I can't, but I do have some particular information on that evening-- Information that you want.

Cho : Okay.

Jeb : Unh-unh. Not until I get a deal on the theft and the breaking and entering charges-- A good one, too.

Cho : You want a deal? Okay. And just to be clear, is this a deal for the theft and the breaking alone, or the tax evasion as well?

Jeb : What?

Cho : According to your I.R.S. records, you haven't filed a tax return since 2002. Unless you haven't earned a dime in income in seven years, You're facing some pretty serious tax evasion charges. Do you have any idea how much prison time that carries?

Jeb : Prison time?

Cho : Serious time, massive fines. I'm gonna let you think about it.

Jeb : When I was loading stuff out of the pool house, I saw a car in the woods-- A black BMW. There was somebody sitting in the driver's seat-- Foster's wife.

Cho : Lillian Foster?

Jeb : I've seen her in town. She sat there the whole time. She never even noticed me. She just stared at the house.

Cho : Was she still there when you left?

Jeb : Yes. So you'll do I mean, about the tax thing?

Cho : Don't worry. I was lying about that.

 

The Beckworth mansion

Van Pelt : What's wrong with it?

Rigsby : I don't know. Maybe the batteries.

Van Pelt : Don't hit it.

Rigsby : Fine. You fix it then.

Van Pelt : Let's just use mine.

Rigsby : What? What? What?

Van Pelt : Oh! Oh, I felt something crawling up my leg.

Rigsby : Oh! Is it still there?

Van Pelt : No.

Rigsby : It was probably just a ghost. Grace?

Van Pelt : Yes?

Rigsby : I... Never mind. Never mind.

Van Pelt : Maybe we should keep going.

Rigsby : Grace, I love you. I've loved you from the first moment I met you. Screw the rules. Screw the CBI. I need you.

Van Pelt : I, uh... That's, um...

Rigsby : Unless you stop me, I'm gonna kiss you now.

Jane : Eureka! Found it!

 

Lisbon : (phone) Good work. Yeah, we'll meet you back at the office after we pick up Lillian Foster. We're outside her house now. Jane says he found another entrance to the mansion.

Cho : I knew there had to be another way in.

Lillian : How dare you come here, you crazy bitch! My husband just died!

Lisbon : Is that Victoria Abner and her nephew?

Cho : What are they doing here?

Victoria : It seemed like a good idea to me.

Lillian : Have you no shame?

Drew : Mrs. Foster, if you could just please calm down.

Lillian : You know what you are? You're a vulture. You're a crazy, obsessed old vulture!

Victoria : That mansion is mine. It belongs to my family.

Lillian : I will burn it down before you step foot in that place!

Victoria : Lady, you need psychiatric help.

Lillian : Oh, yeah? Hey!

Cho : Hey! Break it up!

Victoria : Aah! Get her off of me now!

Lisbon : What the hell is the matter with you?! Come on. Come on.

Victoria : You have no class! You're the one that came to my house!

Lillian : You come to my house-- Oh, yeah, I'm the crazy bitch?

 

CBI

Lisbon : How you feeling, Mrs. Foster?

Lillian : Embarrassed.

Lisbon : How'd you get into the ruckus with Ms. Abner?

Lillian :She came by to ask if she could rent the mansion back from me, seeing as how I won't want to be living there.

Jane : Did she say why?

Lillian : I, uh, didn't wait to hear the details. She had been plaguing us all this time, and now this? I'm afraid I just... lost it.

Lisbon : There is something else we wanted to talk to you about. You weren't in San Francisco the night of your husband's murder. You were at the mansion.

Lillian : You know about that?

Lisbon : Why'd you lie to us?

Lillian : I was ashamed.

Lisbon : Of what?

Lillian : Of why I was there in the first place.

Lisbon : Why was that?

Jane : She was spying on her husband. She suspected him of being unfaithful.

Lillian : Yes. How did you know that?

Jane : Because he's been unfaithful before?

Lillian : Yes. He had an affair about a year ago. He was out of town. I was caught up with my work, and it happened.

Lisbon : That's very understanding of you.

Lillian : Oh, I was furious, believe me. But we worked on it-- counseling and so forth, and I thought I had moved on. But I hadn't. I didn't trust him. So when Alan told me he would be spending this weekend at the mansion and wouldn't be coming home, I decided I had to go there to catch him in the act.

Jane : But no one showed up.

Lillian : No. I felt so awful that I left without talking to him.

Lisbon : What time did you leave?

Lillian : Around 10:00.

Lisbon : Is there any way to prove that?

Lillian : Um, I bought gas on the way home. The credit card company will have a record of that, right?

Lisbon : Yes, we'll verify that.

Lillian : I can't help thinking that if I'd stayed there, If I'd just gone and talked to Alan, he would still be alive.

Jane : Mm, most likely you'd both be dead.

Lillian : With the way that I feel, I might prefer that.

Jane : That feeling will pass.

Lillian : What do you know about that?

Jane : Enough.

 

Cho : How you doing, Drew?

Drew : Fine. Thank you. Thanks.

Cho : Your aunt's gonna be in with us a little longer. This fight's gonna take some sorting out, okay?

Drew : I tried to stop it from escalating. That's why I was there in the first place, but the hostility just kind of caught me off guard.

Cho : It'll be up to your aunt whether or not to press charges, but you're a lawyer. You know the deal.

Drew : I'm not exactly a lawyer. My aunt likes to exaggerate. I'm a paralegal.

Rigsby : Cho, uh, I'm sorry. You got a second?

Cho : Sure. We're still gonna need a statement from you. Excuse me for a second. What's up?

Rigsby : I told Grace I love her.

Cho : Wow. Okay. Well done. Then what happened?

Rigsby : Oh, nothing. Jane interrupted, and she hasn't said a word since.

Cho : So tell her again.

Rigsby : Right, okay. Tell her again. Okay, right.

 

Victoria : Your aura is fascinating, Mr. Jane-- So many hues.

Jane : Thank you. The mansion's uninhabitable. Why would you want it back?

Victoria : Sentimental reasons.

Jane : Mm, no. No, that's not right. You're closed, furtive. You're hiding something. There's something in that house, isn't there? Something you don't want anyone else to find... Evidence of your guilt, perhaps.

Victoria : That's absurd.

Jane : No. You're right. That is absurd. It's something else entirely. Ah—the treasure.

Lisbon : What treasure?

Jane : Walter Beckworth's treasure he hid in the mansion.

Victoria : I wanted my house back because I didn't like what Foster planned for it. He was going to destroy it.

Lisbon : Foster had only been there a few weeks. How could you have known what he was gonna do before he did?

Victoria : In conversation, he told me.

Lisbon : Ma'am, we find out you're lying, you become suspect number one.

Victoria : All right. How are you with riddles?

 

Store

Raimey : I found the clue a few weeks ago when I bought some of Beckworth's papers at an estate sale. It was in a letter to one of his cousins just before his death. Beckworth boasts that he's hidden his "great treasure" where no one can find it, and then he offers this clue--"if fortune is what you seek sincere, the only place to look is here."

Jane : That's it? That's the riddle?

Raimey : Yes.

Jane : Interesting.

Raimey : Of course, I told Mrs. Abner right away, but the house had already been sold to Foster.

Lisbon : Why didn't you mention this before?

Raimey : Well, it... it didn't seem relevant.

Lisbon : It's motive. It's very relevant.

Jane : Mr. Raimey and ms. Abner had agreed to keep quiet to avoid having to share the loot with anyone else, correct?

Raimey : Yes, but that doesn't mean either of us killed Foster.

Jane : Oh, absolutely right. Whoever killed Foster was simply trying to scare him from the mansion. It could have been anyone that wanted the treasure, even you, deputy Fisher.

Fisher : That's right. I killed him.

Jane : Did you? You denied it earlier.

Fisher : Stop doing that.

Jane : I need to see this clue. Where's the letter? Thank you.

Raimey : What?

Jane : Smells good. "If fortune is what you seek sincere, The only place to look is... hear." "Hear"-- It's spelled h-e-a-r.

Raimey : Well, I assumed it was a mistake.

Jane : Hmm. There are no mistakes.

The Beckworth Mansion

 

Jane : Let's go. As you know, Walter Beckworth left a coded message describing the location of his treasure. I brought you all here to help me find it. The word "here" is misspelled in the riddle. I don't believe that's a mistake. I think that the clue itself. Lies in that word-- "hear"--h-e-a-r. What comes to mind when I say the word "hear"?

Raimey : Noise.

Drew : Sounds.

Cho : Ears. Very good. What else?

Victoria : Music. Musical instruments.

Jane : Definite possibility. Cho? Unveil it. Hmm. Aha.

 

Lisbon : What is it?

Jeb : Yeah, what is it?

Jane : Beckworth's fortune

Raimey : There's nothing in it.

Drew : It's empty?

Jane : Wait.

Victoria : What is that?

Jane : It's another riddle.

Raimey : What does it say?

Jane : "To find fortune and riches, one doesn't need help. All one must do is look to oneself."

Drew : What does it mean?

Jane : I don't know, but it's spelled correctly.

Lisbon : It means we're wasting our time.

Jeb : It doesn't even make any sense.

Jane : Let's not rush to judgment.

Lisbon : Beckworth probably put it there as a practical joke.

Cho : Pretty lame joke.

Victoria : But the fortune could still be here.

Jane : I just need time to find it.

Lisbon : We're not gonna waste any more time. I'm shutting this down. Everybody out. Cho, secure the place and set the alarm. Have Rigsby and van pelt set up on the mansion tonight. We'll take the shift after them. Nobody gets in this place, especially Jane. Understood?

Cho : Got it. Everybody out.

Jane : Lisbon. Lisbon. I--you--Lisbon, this

Lisbon : bite me. We're done for the night.

Jane : "Bite me"?

Lisbon : It's too much?

Jane : Uh, a smidge. Worked. It's fine, just a little over-the-top.

Rigsby : So, uh, Grace...

Van Pelt : Yes?

Rigsby : I was wondering if we could do...

Van Pelt : how do you want to handle this?

Rigsby : Handle what?

Van Pelt : The stakeout.

Rigsby : Oh. Um, right.

Van Pelt : Listen, about the other thing, maybe it's not the right time.

Rigsby : Yeah. Yeah. Um, we could, uh, walk... Patrol the grounds.

Van Pelt : Or maybe one of us could stay here while the other one patrols-- alternate?

Rigsby : Yep, that's better. I'll, uh, I'll go first.

Van Pelt : Oh, that's okay. I can do it.

Rigsby : I'm easy.

Van Pelt : Well, if you want to go first, that's fine also.

Rigsby : No, no, no.

Drew : "Look to oneself." No!

Jane : Nothing there, Drew. Never was.

Drew : You planted the second clue?

Jane : Aha. Yes.

Drew : I didn't kill Foster.

Jane : Don't be ridiculous. Of course you did. Only the killer knew how to get in here via the secret passageway.

Lisbon : You proved your guilt just by walking in the room. Was it all just for the money?

Drew : Just for the money? I spent years listening to my family go on about the Beckworths and everything that they had. I didn't get any of it, not one thing. And then my aunt told me about the clue and the treasure, and I thought I could get that for myself. I could have what I've deserved all my life. All I had to do was get Foster out of the house.

Lisbon : So you haunted him.

Drew : My cousin told me about the, uh, equipment Beckworth had built in. I just wanted to scare him. But Foster wouldn't take the hint. So I had to do something. I didn't mean to kill him. Oh, I didn't know what to do. And then, uh, I remembered the stories about Beckworth, how he was killed, how his ghost still haunts this place. So I threw him out the window the same way Beckworth was killed. It wasn't Foster's house. It belonged to my family.

Lisbon : Put your hands behind your back. Now.

Drew : When you first opened the box under the piano, was there anything in it?

Jane : This. You killed Foster for an old key.

Drew : I wonder what it opens.

Jane : Oh, I know what it opens.

Drew : What?

Lisbon : He's just messing with you. He's mean like that. Come on.

 

Lilian : Mr. Jane. I was just being briefed by one of your agents.

Jane : Well, I hope they conducted themselves in a professional manner.

Lilian : Thank you for everything.

Jane : Well, my pleasure.

Lilian : Do you mind a question?

Jane : Uh, no.

Lilian : I asked about you. What happened to your family-- I'm very sorry. And I thought maybe it means you understand how it feels to lose somebody.

Jane : Was that your question?

Lilian : Do you think they know how we feel? The dead, I mean... How sorry we are... How we wish things could be different? Do you think they understand?

Jane : No. Sorry.

 

Cho : Case closed pizza?

Lisbon : Case closed pizza.

Cho : Rigsby eats all the sausage again, I'll be pissed.

Lisbon : Are you okay?

Jane : Right as rain. Oh, I have the perfect thing to go with this.

Van Pelt : Wine?

Rigsby : Just a little something special. Excuse me. I need a glass. Sorry.

Van Pelt : Sure. I'm gonna leave in a few minutes. Wait five, then meet me at my car. Okay.

Rigsby : Okay.

Cho : Just a little. Please.

Van Pelt : Oh, thanks. Mr. Rigsby.

Rigsby : Cheers.

Lisbon : Case closed.

All : Case closed.

Lisbon : Mmm. It's nice.

Jane : Glad you like it.

Cho : So what was the key to, Jane? The one you found in the box.

Jane : The key? Beckworth's fortune.

Lisbon : Give it up.

Jane : Well, just because the fortune wasn't gold or cash doesn't mean it doesn't exist.

Van Pelt :So what was it?

Jane : Beckworth was a collector. He collected hundreds of one thing... Some of the finest, rarest examples in the world worth tens of millions of dollars.

Lisbon : So what was it? What?

Jane : Smells good. Cheers.

 

 

Kikavu ?

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AllisonMe  (03.12.2016 à 19:07)

Un épisode qui fait preuve d'originalité, fantaisie en faisant croire à l'esprit de l'ancien propriétaire de la demeure. Et on en apprend comme sur le peppers ghost. J'aime quand Jane s'y essaye, intriguant Rigsby et Van Pelt. La fin est émouvante lorsque la veuve va à la rencontre du mentaliste, lui disant qu'elle est au courant du drame qu'il a vécu, lui demandant ensuite si il croit que les morts ressentent la peine des vivants et qu'il répond non. A mon avis, son regard pense le contraire mais n'a pas envie de l'avouer, de se l'avouer.

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choup37, 19.04.2024 à 19:45

Maintenant j'en ai plus que deux, je joue aussi sur kaa

CastleBeck, Hier à 11:48

Il y a quelques thèmes et bannières toujours en attente de clics dans les préférences . Merci pour les quartiers concernés.

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